Regardez autour de vous : les gens ont besoin de Jesus

Dieu a besoin de vous pour accomplir son plan pour ce monde. Cette émission vous présente pourquoi vous devriez parler de Jésus aux gens. Car le Seigneur dit que la moisson est grande. Commencez aujourd’hui et non dans le futur. Bayless Conley nous encourage à saisir chaque opportunité pour faire part de l’amour de Dieu aux autres.

  • Bonjour, cher ami. Merci de vous être joint à moi.
    Je veux juste vous demander quelque chose. Si vous le pouvez, et j’espère que vous le pourrez, pourquoi ne pas vous asseoir et passer les prochaines 30 minutes avec moi ?
    Lisons la parole de Dieu ensemble. La parole de Dieu devrait capter toute notre attention.
    Dans le livre des Proverbes, il est écrit que Dieu dit : « Sois attentif à mes paroles, tends l’oreille vers mes discours ! Qu’ils ne s’éloignent pas de tes yeux ! Garde-les au fond de ton cœur, car ils apportent la vie à ceux qui les trouvent, la guérison à tout leur corps. »
    Alors, soyons attentifs. Ne la laissons pas s’éloigner de nos yeux. Tendons l’oreille. Gardons-la au plus profond de notre cœur. Faisons-en notre priorité.
    Je crois que si vous le faites avec moi ces quelques minutes, pendant que je partage avec vous des pensées de la Parole de Dieu, cela peut transformer votre vie.
    Il suffit que le Saint-Esprit murmure à votre cœur une vérité tirée de la Bible qui peut changer la trajectoire de votre vie.
    Tout peut changer quand l’Esprit de Dieu vous révèle quelque chose.
    Dans les derniers messages, nous avons parlé des choses que Dieu, d’après sa Parole, veut que nous élevions.
    Nous avons commencé, la dernière fois, à parler du fait que Dieu nous commande et nous dit de lever les yeux.
    Il veut que nous voyions plusieurs choses. J’ai commencé la série en parlant de quatre choses. Et puis je me suis dit : « En fait, il y en a cinq. »
    Il y en a bien quatre, mais la dernière, dont je vais vous parler dans un instant, est tellement importante qu’elle mérite un traitement à part.
    On pourrait donc dire qu’il y en a cinq, mais en réalité, elle fait partie de la quatrième sur le thème de lever les yeux.
    Premièrement, nous devons lever les yeux pour regarder les champs prêts pour la moisson.
    Jésus se trouve près du puits de Sychar et parle avec une femme qui a eu cinq maris et qui vit actuellement avec un homme avec lequel elle n’est pas mariée.
    Elle avait soif de Dieu, cela se sent dans sa façon de parler. Elle a dit : « Je sais que quand le Messie viendra, il nous enseignera toutes choses. »
    Pour moi, cela veut dire : « Je sais que ma vie est gâchée, mais ils nous disent à la synagogue et à l’église que le Messie connaîtra le remède. Il va tout remettre en ordre. Je dois remettre mes pensées en ordre. J’ai tellement de questions. Je ne me suis jamais engagée dans ces mariages pour que tout s’écroule et soit détruit. »
    Personne ne se marie en pensant que son mariage va échouer, mais pour elle, cela a été le cas, ou plutôt ses mariages ont échoué à cinq reprises. Finalement, elle se dit : « À quoi bon essayer ? Je vais simplement vivre avec un homme. »
    Jésus a révélé les secrets de son cœur. Il s’est révélé lui-même à elle comme étant le Messie.
    C’est la première à qui il a lui-même révélé, en fait, à part les disciples, qu’il était le Messie.
    Elle court en ville, le dit à tout le monde, et toute la ville accourt. Pendant que la foule d’humanité vient vers lui, Jésus dit à ses disciples, là, au puits :
    « Levez les yeux et regardez les champs. Ils sont déjà blancs pour la moisson. C’est le moment de manier la faucille. Ils sont prêts pour la moisson. »
    Il parle des Hommes. Jésus dit : « Ne dites pas qu’il faut encore plusieurs mois, et qu’alors la moisson va venir. La moisson, c’est maintenant. » Il parle de faire entrer des gens dans le Royaume.
    Il est courant de penser : « Dieu l’a fait dans le passé. Vous auriez dû être là ! Dieu s’est tellement manifesté… Oh, la façon dont Dieu s’est manifesté… et nous avons vécu un réveil. Nous savons que Dieu le fera de nouveau. »
    C’est un peu comme quand Jésus parle à Marthe au sujet de son frère Lazare, qui était mort.
    Il dit : « Marthe, je suis la résurrection, je suis la vie. » Elle répond : « Seigneur, si tu avais été là, mon frère ne serait pas mort. » Et : « Je sais qu’un jour, la résurrection va venir. »
    Marthe avait foi pour le passé, elle avait foi pour l’avenir, mais elle n’avait aucune foi pour le présent.
    Jésus a dit : « Je suis la résurrection et la vie. »
    Je crois que Dieu veut que nous levions les yeux, car il y a des épis mûrs tout autour de nous.
    Certains marchent tous les jours dans des champs pleins d’épis mûrs, des gens prêts à être moissonnés et à entrer dans le Royaume de Dieu pour donner leur vie à Jésus.
    Il suffit que quelqu’un leur parle.
    Je crois à la prière, et je vais sans doute en parler un peu dans un instant.
    Nous devons parler à Dieu au sujet des hommes, bien sûr. Mais nous devons aller parler aux hommes au sujet de Dieu.
    On commence par parler à Dieu au sujet des âmes des hommes, pour qu’il prépare leur cœur et qu’ils soient prêts, qu’il aplanit le chemin et nous donne les mots qu’il faut dire et le bon moment.
    Ensuite, nous devons aller et dire : « Me voici, Seigneur, envoie-moi. »
    Jésus a dit : « La moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson. »
    C’est ce que Jésus a dit. Nous devons prier que Dieu envoie des ouvriers dans la moisson.
    Il parlait de tous les Hommes qui ont besoin d’entrer dans le Royaume de Dieu. Mais savez-vous ce qu’il a dit tout de suite après ?
    Après avoir dit : « Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson », voici les mots suivants qui sont sortis de la bouche de Jésus : « Allez-y ! Je vous envoie ».
    Nous devons donc prier que Dieu envoie des gens. Nous devons dire: « Dieu, je suis là. Envoie-moi. Je suis prêt à y aller.
    Je vais aller au marché du coin et je vais parler à quelqu’un de Jésus. Je vais aller à la salle de sport parler à quelqu’un qui est sur le tapis roulant à côté de moi.
    Je vais parler à un voisin. Je vais parler à quelqu’un… même à un inconnu. »
    Certains doivent prendre courage et le faire. Je sais que c’est bien en dehors de votre zone de confort.
    C’est en dehors de ma zone de confort à moi aussi, mais quand je sens que Dieu m’incite à faire quelque chose, je le fais.
    J’étais dans un aéroport en Louisiane il y a de cela seulement quelques semaines.
    Dans l’aéroport, je vois une femme qui marche et qui boite beaucoup, et je me suis senti poussé… J’ai été lui dire : « Madame, excusez-moi. » Elle se retourne, un peu surprise.
    Je dis : « Dieu veut que je prie pour vous. À quel sujet puis-je prier pour vous ? »
    Je lui tends les mains, elle me serre les mains et dit : « Je veux être guérie. »
    Nous avons prié ensemble, Dieu a touché cette femme, et elle m’a serré tellement fort que je pensais qu’elle allait me briser les os.
    Des occasions se présentent autour de nous tout le temps, que ce soit dans un aéroport, ou avec un voisin de l’autre côté de la clôture.
    Nous devons parler de Jésus à quelqu’un.
    Jésus a dit : « Ne dites-vous pas qu’il y a encore quatre mois jusqu’à la moisson ? Je vous le dis, les champs sont déjà blancs pour la moisson. »
    Je crois que c’est vrai dans chaque génération. Comprenez-moi bien.
    Je crois qu’il y a des saisons pendant lesquelles l’Esprit de Dieu agit de façon unique et profonde. Je le crois.
    Nous prions pour qu’il y ait un réveil dans nos assemblées et un réveil dans notre pays, et en fait un réveil mondial où que vous vous trouviez à présent.
    Sachez que nous prions pour un réveil, pour que les gens se rendent compte qu’il y a un paradis à gagner, un enfer à éviter,
    que le péché les sépare de Dieu, et que Jésus-Christ est la seule réponse, qu’il est mort sur la croix pour les péchés du monde et qu’il est ressuscité des morts pour leur justification.
    Nous prions pour un réveil mondial et nous prions pour un réveil dans l’Église, mais il y a toujours un champ prêt pour la moisson autour de nous, tout le temps.
    Il y a des gens dans la vie desquels la semence de l’Évangile a été semée.
    Les gens ont prié, et la pluie du Saint-Esprit est descendue dans leur cœur ; ils sont prêts.
    Il suffit que quelqu’un vienne, manie la faucille, et récolte cette moisson.
    Je prêchais un jour dans un certain pays. Je présidais une réunion de ministères, et la pièce était remplie de pasteurs.
    C’était dans une grande ville de ce pays où je donnais la conférence. Je prêchais un message au sujet d’éliminer les idées erronées.
    Les idées erronées conduisent à des croyances erronées. Parfois, une seule idée erronée peut empêcher la grâce de Dieu de nous toucher. C’est vrai.
    Si vous pensez que l’on gagne le salut grâce à des bonnes œuvres, alors, mes amis, c’est une idée erronée, et il faut l’éliminer.
    Il faut l’éliminer, parce que c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas par les œuvres, afin que personne ne puisse se vanter.
    Lors de mon enseignement, je traitais différentes idées communes chez les pasteurs, et auxquelles nous avons tendance à rester attachés.
    C’est une idée erronée et cela empêche littéralement le Saint-Esprit de se manifester dans notre vie et notre ministère.
    Une des idées dont je parlais dans cette conférence, c’était que les gens pensent toujours – les pasteurs aussi : « Oui, le réveil va venir. La moisson va arriver. »
    C’est comme quand Jésus a dit : « Arrêtez de dire que la moisson viendra dans des mois. Elle est prête. »
    Alors, je leur ai dit qu’il y a des gens dans leur ville, dans leur pays, tout comme dans le mien, qui sont prêts et veulent recevoir Jésus.
    Nous devons partager l’Évangile avec eux.
    Nous devons bien sûr prier pour que le Saint-Esprit agisse en profondeur et que de grandes choses se passent, mais nous ne pouvons pas ignorer la moisson qui est autour de nous.
    Je leur ai dit que nous devions traiter cette idée erronée qui nous empêche parfois d’évangéliser.
    Bref, après mon enseignement, l’un des pasteurs locaux s’est approché de moi, très contrarié, et il m’a dit : « Vous, les Américains, vous pensez tout savoir. »
    Je lui ai répondu : « Que voulez-vous dire ? » Il m’a répondu : « Vous dites que c’est le moment de la moisson. Vous ne connaissez rien de notre pays. Non, c’est le moment de prier. »
    J’ai répondu : « Je suis d’accord. C’est le moment de prier. C’est toujours le moment de prier, mais il y a une moisson autour de vous. » Il était originaire de cette ville. Il avait son église dans cette ville.
    Il a dit : « Vous vous trompez. Vous croyez comprendre, mais ce n’est pas le temps d’évangéliser. Vous vous trompez. Ce n’est pas ce que Dieu fait en ce moment. »
    Il ne voulait pas m’écouter. J’ai dit : « S’il vous plaît, écoutez-moi… J’ai une réunion ce soir. »
    Nous avions en effet loué une salle dans sa ville, et nous avions annoncé la réunion.
    Je lui ai dit : « Écoutez, venez ce soir, s’il vous plaît. Je vous garderai un siège au premier rang. Venez juste voir ce que Dieu peut faire dans votre ville. »
    Il a refusé, et s’est éloigné. Il n’est pas venu à la réunion ce soir-là.
    Bon, alors… C’était tout près de là où nous tenions la réunion de pasteurs. Très près de son église.
    J’arrive, et la salle est complètement bondée. Il ne restait pas un seul siège de libre dans le bâtiment.
    Nous avons chanté quelques chants, je me suis levé et ai prêché un message d’encouragement, j’ai prêché un profond message sur le salut.
    Puis j’ai demandé aux gens qui voulaient recevoir Christ, des gens qui n’étaient pas sauvés, qui savaient que s’ils mouraient, ils n’iraient pas au ciel, qui voulaient accepter Christ comme Seigneur et Sauveur, de s’avancer.
    Tout le devant du bâtiment s’est retrouvé rempli, sur toute sa largeur. Cela faisait environ 12 mètres de large sur 2 mètres de profondeur.
    C’était bondé par les gens qui s’avançaient, priaient et acceptaient Jésus comme Sauveur.
    Il y avait des gens qui venaient du quartier de cet homme, et aussi de son église.
    Il pensait à tort : « Non, Dieu ne va pas agir maintenant. »
    Non, nous devons lever les yeux et regarder les champs prêts pour la moisson tout autour de nous. Les gens ont soif.
    Jésus est la réponse. Nous devons lever les yeux. Le livre de Jacques parle justement de cela, en fait.
    Je vais m’appuyer sur quelques versets, car ce que Jacques écrit est intéressant. Nous devons nous rappeler que cette lettre est en fait adressée aux croyants. Elle n’est pas écrite au monde. Elle est écrite aux croyants.
    Je vous accorde que les premiers versets que je vais lire peuvent être compris de différentes manières. Je crois que les deux manières sont valables.
    Mais j’aimerais partager avec vous une idée que je crois correcte à cause du contexte de tout le chapitre et surtout des versets qui viennent tout de suite après ceci.
    Voici ce qui est écrit en Jacques 5:1. Encore une fois, c’est écrit à des chrétiens.
    « À vous maintenant, les riches ! Pleurez et gémissez à cause des malheurs qui viendront sur vous ! »
    Il n’écrit pas aux riches de ce monde, bien que certainement, cela pourrait les concerner.
    En lisant le contexte, cela pourrait peut-être s’adresser aux riches qui maltraitent leurs serviteurs et à des employeurs qui maltraitent leurs employés.
    Il y a là une merveilleuse vérité, qui je crois mérite que l’on s’y arrête, mais je veux l’étudier d’une façon différente, en gardant en tête qu’il s’agit exclusivement d’un contexte chrétien, d’une assemblée de chrétiens.
    « À vous maintenant, les riches ! Pleurez et gémissez à cause des malheurs qui viendront sur vous !
    Vos richesses sont pourries et vos vêtements sont rongés par les mites. Votre or et votre argent sont rouillés, et leur rouille s’élèvera en témoignage contre vous et dévorera votre chair comme un feu. Vous avez amassé des trésors dans les derniers jours ! »
    Ils ont donc amassé des trésors. Ils ont été cupides. Ils ont tout gardé pour eux-mêmes.
    Puis, il est dit : « Le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs et dont vous les avez frustrés crie, et les cris des moissonneurs sont parvenus jusqu’aux oreilles du Seigneur de l’univers.
    Vous avez vécu sur la terre dans les plaisirs et dans le luxe, vous avez rassasié votre cœur comme le jour de la boucherie. Vous avez condamné, tué le juste sans qu’il vous résiste. »
    Donc, bien sûr, il semble s’agir à priori de quelqu’un qui vole ses employés.
    Écoutez, un jour, on fera les comptes de tout cela, pour sûr. Le jugement va venir, et tout sera dans les livres de comptes. Rien ne va rester caché. Tout sera révélé au grand jour.
    Certains se préparent à vivre un terrible jour du jugement, parce qu’ils ont dupé les gens, ils ont tout dépensé pour eux-mêmes, et ils se sont engraissés, dans leur cœur et dans leur vie aux dépens des autres, d’accord.
    Mais si vous considérez ce verset comme la métaphore d’une vérité, et j’en parle parce que ce qu’il dit ensuite, c’est : « Soyez donc patients, frères ».
    « Frères ». Il écrit à des chrétiens, pas à des gens en dehors de l’Église.
    « Soyez donc patients, frères et sœurs, jusqu’au retour du Seigneur. Voyez le cultivateur : il attend le précieux fruit de la terre en faisant preuve de patience envers lui jusqu’à ce qu’il ait reçu les premières et les dernières pluies.
    Vous aussi, soyez patients, affermissez votre cœur, car le retour du Seigneur est proche. »
    Les premières et les dernières pluies, dans la Bible, sont une image de l’effusion du Saint-Esprit.
    La première pluie venait sur le pays d’Israël pour préparer et amollir le sol afin de planter la semence.
    La dernière pluie venait juste avant la moisson, afin qu’elle mûrisse et que l’on puisse y mettre la faucille et récolter la moisson.
    Notez, il est écrit : « Voyez le cultivateur : il attend le précieux fruit de la terre ».
    Il utilise ici une analogie. Mes amis, c’est Dieu, le cultivateur qui attend le précieux fruit de la terre.
    Jésus a dit : « Levez les yeux et regardez les champs. Ils sont déjà blancs pour la moisson. »
    Jésus a dit : « La moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson. »
    Il parlait spécifiquement d’atteindre les perdus avec l’Évangile.
    Donc ici, Jacques dit : « Le Seigneur revient bientôt. Mais la raison pour laquelle il n’est pas encore venu, la seule raison, c’est que le Père attend le précieux fruit de la terre.
    Il attend la moisson de la fin des temps.
    Il attend le précieux fruit de la terre. »
    Ce n’est pas juste le fruit des États-Unis où j’habite. Ce n’est pas juste le fruit de l’Australie. Ce n’est pas juste le fruit de l’Indonésie.
    Ce n’est pas juste le fruit de Bornéo. Ce n’est pas juste le fruit de l’Espagne ou de l’Europe, ou le fruit de l’Afrique ou le fruit de l’Amérique centrale ou le fruit des îles du Pacifique.
    Il attend le précieux fruit de la terre. Il y aura un réveil mondial, une moisson mondiale de gens qui vont entrer dans le Royaume de Dieu.
    La Bible dit que Dieu veut « qu’aucun ne périsse mais que tous parviennent à la repentance ».
    Ne pensez pas que Dieu néglige sa promesse du retour du Seigneur.
    Qu’attend-il ? Il donne aux gens l’occasion d’être sauvés. Le cœur de Dieu, c’est que les gens soient sauvés.
    Nous devons donc comprendre que Dieu attend les précieux fruits de la terre.
    Il a dit dans les versets précédents à ceux qui sont riches dans l’église, à ceux qui ont accès aux ressources, que « le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs et dont vous les avez frustrés crie, et les cris des moissonneurs sont parvenus jusqu’aux oreilles du Seigneur de l’univers ».
    Si nous rattachons cela à ce qu’il y a tout de suite après, et en fait plus loin dans le chapitre, il parle encore de cela aussi, en citant Élie, en parlant de gens sauvés d’une multitude de péchés.
    En tous cas, l’analogie continue. Élie a prié, « et le ciel a donné de la pluie et la terre a produit son fruit ».
    Plus tard, dans le même chapitre, le thème continue tout du long.
    Si j’ai été béni par Dieu et que j’ai accès à des ressources, et que je ne les investis pas dans l’Évangile, mais laisse cet argent sur mon compte, s’il reste dans ma banque, et que je gaspille…
    Jésus dit : « Vos richesses sont pourries. Elles sont rouillées. Vos vêtements sont rongés par les mites. Elles s’élèveront contre vous au jour du jugement. »
    Il a parlé de deux choses qui crient : littéralement, le salaire des ouvriers crie, et les ouvriers eux-mêmes crient.
    Il y a des fonds non attribués, peut-être des milliards de dollars dans le monde, et des disciples de Jésus ont accès à cette grande richesse et pour je ne sais quelle raison, ils croient qu’ils vont l’emmener avec eux.
    Mais Dieu les appelle, ils n’ont jamais compris le but principal, celui d’apporter leur soutien à l’Évangile de Jésus-Christ.
    C’est pour cela que Dieu vous a donné le sens des affaires. Oui, vous pouvez vous réjouir avec le fruit de votre travail. Il n’y a rien de mal à cela.
    Il nous donne pratiquement tout pour que nous en jouissions. Mais sa principale raison pour nous faire prospérer, c’est pour que nous apportions un soutien à l’Évangile.
    Il y a des fonds, des milliards de dollars – chez certains, des centaines de dollars, chez d’autres personnes des milliers, pour d’autres, des millions – qui devraient être investis dans la mission, investis dans l’œuvre de l’église locale, pour que ceux qui sont appelés puissent aller récolter la moisson.
    Faites quelque chose avec les bénédictions que Dieu vous a accordées, avec les finances avec lesquelles Dieu vous a bénis.
    Nous avons une vision immense. Nous n’avons pas assez pour faire tout ce que nous avons dans le cœur.
    Je crois qu’en ce moment, nous sommes traduits en 11 langues. Nous allons dans différentes régions du monde avec ces messages de l’Évangile, et apportons la Parole de Dieu aux gens.
    Leur réponse est stupéfiante.
    Mais il y a tellement d’autres régions du monde où nous voudrions émettre, et de langues dans lesquelles nous voudrions le faire, mais il nous manque les fonds.
    Nous avons la vision, mais nous n’avons pas les fonds pour le faire. Certains d’entre vous sont si richement bénis.
    Vous n’avez qu’à prier : « Dieu, dans quoi m’appelles-tu à investir ? »
    Je ne dis pas… Nous serions ravis que vous investissiez chez nous. Cela nous sera utile.
    C’est sacré, et nous rendrons compte devant Dieu de la façon dont nous gérons les finances qu’il procure à notre ministère.
    Mais bien sûr, nous ne sommes pas les seuls.
    Sachez que la raison première de votre prospérité, c’est d’apporter un soutien à l’Évangile de Jésus-Christ.
    Levez les yeux et regardez les champs à moissonner.
    Il ne me reste que quelques minutes. Je vais traiter le dernier point, qui est lié au fait de lever les yeux, mais c’est très important et c’est vraiment un concept à lui seul.
    Il est écrit ici en Jacques que le retour du Seigneur est proche : « Affermissez votre cœur, car le retour du Seigneur est proche. »
    La dernière chose pour laquelle nous devons lever les yeux et regarder, c’est le retour de Jésus.
    Jésus revient bientôt.
    Jésus l’a dit lui-même dans le livre de l’Apocalypse : « Je viens bientôt. »
    Si vous avez la moindre connaissance des prophéties bibliques sur la fin des temps, vous ne pouvez pas ignorer les grands titres de l’actualité.
    Nous ne sommes pas seulement dans les derniers jours. Nous sommes dans les derniers moments des derniers jours.
    En Matthieu 24 et en Luc 21, nous pouvons lire un récit dans lequel les disciples posent des questions.
    Ils questionnent Jésus à cause de ce qu’il a dit sur la destruction du temple, et son retour, à la fin des temps.
    Ils demandent : « Quand cela arrivera-t-il ? » Jésus savait que leur compréhension était limitée.
    À ce moment-là, ils n’avaient pas saisi le concept de sa seconde venue. Mais Jésus savait que très bientôt, ils allaient comprendre de quoi il s’agissait.
    Alors il leur a parlé, en sachant que dans l’avenir, leur vision et leur compréhension seraient plus complètes.
    Il leur a parlé de cela, mais il leur a aussi parlé de ce qui allait se passer tout de suite avant la destruction du temple, qui est arrivée en 70 apr. J.-C.
    Quand Titus, le général romain, est venu et a mis Jérusalem à sac, a totalement rasé le temple, et l’a brûlé.
    Ensuite, il a également parlé de ce qui allait se passer juste avant son retour.
    Bien qu’ils ne le comprenaient pas à l’époque, c’est en fait ce dont il parlait.
    Nous pouvons lire cela en Luc 21 et en Matthieu 24.
    Il a dit qu’on entendra parler de guerres et de menaces de guerre, d’une nation qui se dressera contre une nation, de maladies incurables et de la peste,
    de la persécution de l’Église, de la montée de fausses religions, de crises mondiales, de tremblements de terre en divers endroits,
    de l’Évangile du Royaume – le mot grec est ethnos – prêché dans leur langue à chaque ethnie, et cela arrive juste en ce moment.
    Cela va arriver de mon vivant.
    Ça n’avait jamais été possible dans l’Histoire du monde auparavant. Ce sont les dernières secondes avant le retour de Jésus.
    Jésus a dit : « Quand ces événéments commenceront à se produire », il l’a dit en Luc 21, je crois au verset 28 :
    « Quand ces évènements commenceront à se produire, redressez-vous et relevez la tête, parce que votre délivrance est proche. Alors on verra le Fils de l’homme venir sur une nuée avec beaucoup de puissance et de gloire. »
    Vous ne voulez pas être surpris avec votre vie en désordre. Vous ne voulez pas être surpris avec des fonds sans affectation par lesquels Dieu vous a bénis, et qui auraient dû être investis dans le Royaume de Dieu.
    Mes amis, Jésus revient bientôt. La seule chose que vous emporterez, c’est ce que vous êtes, votre personnalité, votre relation avec Dieu, et les précieuses âmes que nous avons gagnées pour Jésus-Christ.
    Je crois que nous devons lever les yeux et regarder, à cause des signes des temps, à cause de ce que Jésus a dit, et parce qu’il revient bientôt.
    Nous devons nous occuper des affaires du Maître.
    Si vous qui me regardez, vous avez confessé Jésus comme votre Seigneur et Sauveur, et que vous vous êtes détourné de lui, écoutez-moi. Repentez-vous, réconciliez-vous avec Dieu. Jésus revient bientôt, et vous voulez être prêt à le rencontrer.
    Mon ami, il vous aime, mais vous ne voulez pas être puni avec les méchants. Vous devez vous repentir. Si vous êtes croyant, vous devez vivre en tant que tel. Il doit y avoir une différence entre votre vie et celle des gens qui vous entourent.
    Réveillez-vous, dormeurs.
    S’il y a un champ rempli de cadavres, et que je vais m’allonger et m’endormir parmi eux, personne ne verra que je ne suis pas mort.
    Si vous agissez comme ceux qui sont spirituellement perdus autour de vous, personne ne pourra faire la différence. Ils ne savent pas que vous avez la vie éternelle au fond de votre cœur.
    Si vous êtes dans le péché, mon frère, ma sœur, il faut vous repentir.
    Secouez-vous et allez à l’église, commencez à aimer Jésus, commencez à investir dans le Royaume, commencez à vivre pour lui. Car vous savez qu’il n’y a rien d’autre qui en vaut la peine dans ce monde.
    Je pourrais continuer encore longtemps, mais je vais m’arrêter là.
    J’espère que cela vous a encouragé. Je vous ai prêché tout ce qu’il y a dans mon cœur.
    Je vous aime. Jésus vous aime. À bientôt.

  • Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Avez-vous aimé l’émission ?

Alors n’hésitez pas à la partager sur les médias sociaux pour encourager les autres !

Cela pourrait aussi vous intéresser
Émission de la semaine

Comme se confier entièrement à Dieu

Soutenez notre travail

Joignez-vous à nous pour apporter de l’espoir aux gens à domicile !

Nous considérons que c'est un privilège de pouvoir apporter aux personnes une nouvelle espérance à travers la Parole de Dieu.