Mon accident grave et les promesses de Dieu
Dieu ne promet pas en vain. Bayless Conley l’a expérimenté dans le cadre d’un accident de bateau qui lui coûta presque la vie. Dans cette vidéo, il relate comment les promesses de Dieu furent son appui pendant cette période sombre. Il nous encourage aussi à compter sur la fidélité immuable de Dieu.
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Bonjour, je m’appelle Bayless Conley. Dans la vie, nous sommes tous confrontés à l’incertitude.
Qu’il s’agisse de problèmes financiers, de difficultés relationnelles, d’une crise de santé ou de la recherche d’un but, une chose est sûre : Dieu vous voit.
Il vous aime. Et quelle que soit la situation à laquelle vous êtes confronté, il a les réponses.
Bonjour, mon ami. Je suis très heureux que vous ayez choisi de vous joindre à moi.
Aujourd’hui, je vais partager avec vous quelque chose de quelque peu particulier.
Alors que je suis assis sur ce siège aujourd’hui, devant cette caméra à m’adresser à vous, cela fait 11 ans et environ 36 heures que j’ai été victime d’un terrible accident de bateau.
Je n’aurais pas dû survivre, en raison de la gravité de mes blessures.
J’étais allé avec quelques amis sur une île située à environ 40 kilomètres de la côte californienne, appelée Catalina. Il était tard dans la nuit et nous allions faire de la plongée en apnée pour pêcher du homard.
C’était une nuit sans lune. On ne voyait pas grand-chose.
Je n’entrerai pas dans les détails, mais si seulement nous avions été décalés de 4 mètres sur le côté, tout se serait bien passé, mais nous avons heurté un rocher qui se trouvait juste à l’entrée d’une crique, et nous allions probablement à environ 30 kilomètres à l’heure.
Je n’ai absolument aucun souvenir de l’accident.
J’étais accompagné de deux amis qui ont tous deux été gravement blessés, mais de nous trois, c’est moi qui ai subi les blessures les plus graves.
J’avais une hémorragie cérébrale. Mon menton avait été déchiré d’un côté à l’autre et il pendait comme ceci.
Ma gorge avait été trouée et elle était écrasée comme si on avait marché sur une boîte de conserve pour la piétiner.
D’ailleurs, quelques personnes ont pris des photos après coup et me les ont envoyées, je les ai sur mon téléphone, et tout le pont du bateau était rempli de sang.
Il y avait du sang partout sur le tableau de bord, là où se trouvait la barre à roue, et tout ce sang était sorti de ma gorge.
En plus de cela, une de mes artères avait été tailladée et elle saignait abondamment. Mon artère carotide présentait une grosse déchirure et saignait également.
Ma langue avait été lacérée en plusieurs petits morceaux, et il a fallu la recoudre.
En bref, j’étais en très mauvais état après cet accident. Voici quelques détails intéressants.
Lorsque cela s’est produit, nous étions à l’extrémité ouest de l’île. Il n’y avait rien là-bas. Sur des kilomètres et des kilomètres, il n’y avait pas d’habitations, rien du tout.
L’un des blessés a lancé un SOS à l’aide de la radio, mais lorsque le bateau a heurté le rocher, la radio a rebondi et nous l’avons perdue. C’est à ce moment précis qu’un avion des garde-côtes a survolé la zone et qu’il a capté le signal.
Ils ont donc envoyé un message radio vers le continent, et comme par hasard, un seul jour par an, les garde-côtes s’entraînent sur l’île de Catalina en prévision d’événements semblables.
Et donc, ils étaient dans un lagon voisin, et ils s’entraînaient en vue d’événements similaires.
Les garde-côtes étaient donc sur leur bateau quand ils ont reçu l’appel d’urgence et ont cru à une blague.
Ils ont dit : « Nous sommes en train de faire nos exercices. Ce n’est pas drôle. » Ils ont répondu : « Ce n’est pas une blague. Allez-y tout de suite. » Ils sont arrivés dans les 10 minutes qui ont suivi l’accident.
Encore une fois, je n’ai aucun souvenir de tout cela.
Ils étaient là, car c’était le seul jour de l’année où les garde-côtes avaient un hélicoptère de prêt sur l’île, et ils nous ont ramenés sur le continent.
Je pense que six ou sept chirurgiens ont dû travailler sur moi pendant six heures environ.
Lorsque le médecin-chef est sorti de la salle d’opération pour parler à ma femme, elle a dit : « Nous pensions tous que nous allions le perdre. Nous pensions qu’il n’y avait aucune chance qu’il survive. Si on l’avait amené à l’hôpital 15 minutes plus tard, il se serait vidé de son sang et serait mort. »
J’étais dans le coma et je ne me suis pas réveillé pendant 10 jours. Ensuite, je suis resté longtemps à l’hôpital.
Après mon séjour à l’hôpital, j’ai subi une longue convalescence à la maison. Des choses miraculeuses se sont produites pendant cette période.
Je ne vais pas vous raconter tous les détails, mais je suis assis ici aujourd’hui, 11 ans et 36 heures plus tard, et je peux manger tout ce que je veux et boire tout ce que je veux.
Au fait, j’ai dû réapprendre à parler. Ma voix est aujourd’hui très différente de ce qu’elle était auparavant, parce que l’acoustique à l’intérieur de ma gorge est différente.
Mais j’ai dû travailler, travailler et travailler pour réapprendre à parler, parce que je dois former certains sons d’une manière différente de celle que j’utilisais auparavant.
C’était difficile, j’y ai travaillé pendant un an. Je le fais inconsciemment maintenant, mais il n’en reste pas moins que parler et prêcher me demande beaucoup d’efforts.
Mais je suis là.
Je voudrais simplement vous dire que ça n’a pas été une partie de plaisir. J’ai passé six mois sans travailler avant de retourner à l’église.
Lorsque des événements graves comme celui-ci se produisent, de nombreuses personnes se posent des questions. En toute honnêteté, nous avons quelques réponses, mais nous n’avons pas toutes les réponses.
Cependant, je n’ai pas une théologie qui m’oblige à tout comprendre et à avoir une réponse à tout avant de croire que Dieu est bon. Je crois que Dieu est bon même quand je ne comprends pas.
Je sais que certains d’entre vous ont connu des tragédies, des pertes, et qu’il s’est passé des choses auxquelles vous ne vous attendiez pas et pour lesquelles vous n’avez pas de réponse.
Écoutez, Dieu est toujours bon. Nous vivons dans un monde déchu. Tout ne fonctionne pas comme Dieu l’avait prévu à l’origine. Le péché a des conséquences universelles sur la race humaine. Les gens prennent de mauvaises décisions.
Nous avons un adversaire appelé le diable, dont le travail consiste à voler, égorger et détruire. Il rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer.
Il y a beaucoup de facteurs qui entrent en jeu, mais je suis convaincu que Dieu est bon, même concernant ce que je range dans la catégorie « incompréhensible » en ce moment. Je dis : « Dieu, je ne comprends pas cela, mais je te le confie. J’aimerais vraiment avoir une réponse. Je ne l’ai pas pour l’instant, mais j’aimerais en avoir une. Mais je sais que tu es bon, et je sais que ta Parole est vraie ».
Écoutez ce verset en 1 Corinthiens 13:12 basé sur la New Living Translation en anglais :
« Aujourd’hui, nous voyons les choses de manière imparfaite, comme des reflets confus dans un miroir, mais alors nous verrons tout avec une clarté parfaite. Tout ce que je sais aujourd’hui est partiel et incomplet, mais alors je connaîtrai tout complètement, tout comme Dieu me connaît complètement. »
Le jour viendra où nous comprendrons les choses dans leur intégralité. Nous verrons tout clairement. Ces choses que nous ne voyons pas clairement maintenant, nous les verrons clairement quand nous serons au ciel, mon ami.
Je vous garantis que certaines des choses qui sont des problèmes majeurs pour certaines personnes qui m’écoutent en ce moment et qui se demandent : « Dieu, pourquoi cela est-il arrivé ? Je vais être en colère contre toi », etc.
Quand vous arriverez au paradis, ce ne sera plus un problème. Vous ne voudrez peut-être même plus demander une fois que vous serez là-haut, que vous verrez les gloires du ciel et que vous regarderez dans les yeux d’amour pur qui appartiennent à Jésus.
Je voudrais partager avec vous cinq réflexions, en rapport avec tous les drames que j’ai traversés, ainsi que l’accident que j’ai subi.
Ce sont des choses qui me sont venues à l’esprit dans les premiers temps qui ont suivi l’accident, lorsque j’ai été capable de recommencer à étudier la Bible.
Ce sont des choses qui m’ont sauté aux yeux, qui m’ont réconforté et qui m’ont béni et j’espère que vous y trouverez aussi une certaine bénédiction : les promesses, les personnes, la patience, la prétention et la paix.
Je voudrais vous parler de ces cinq P. Le premier P concerne les promesses.
Josué a dit ceci à la fin de sa vie, en Josué 23:14 : « Voilà que je m’en vais par le chemin que prend tout être humain. Reconnaissez de tout votre cœur et de tout votre être qu’aucune des promesses de bienfaits que l’Éternel votre Dieu vous a faites n’est restée sans effet : elles se sont toutes accomplies pour vous, sans exception aucune. »
Alors que je suis assis ici aujourd’hui, dans la 69e année de ma vie, je peux vous dire la même chose : aucune des promesses de bienfaits de Dieu n’est restée sans effet.
C’est grâce à la fidélité et à l’intégrité de l’auteur de la promesse. La promesse n’est bonne que dans la mesure où celui qui l’a faite est bon également.
Tite 1:2 dit : « Le Dieu qui ne ment pas l’avait promise. »
De nombreuses personnes ont prié les promesses pour moi alors que j’étais inconscient à l’hôpital, que je récupérais à l’hôpital et que je récupérais à la maison.
Au fil des mois, de nombreuses personnes sont venues me voir et m’ont dit : « Pasteur, voici la promesse que j’ai prié pour vous » ou « Voici la parole de la Bible que Dieu m’a donnée afin que je la prie pour vous. »
Certains m’ont même dit : « J’ai appris cette promesse grâce à vos enseignements, et elle m’est venue pendant que je priais. J’ai prié cette parole pour vous. »
Les promesses de Dieu sont surnaturelles, parce qu’elles nous relient à sa nature.
Lorsque j’ai été à nouveau capable de le faire, j’ai commencé à prier les promesses. Je n’étais pas en état de le faire pendant un long moment, dans les premiers jours de ma guérison.
J’ai été soutenu. Ma femme a été soutenue. Notre famille a été soutenue par les prières des saints.
Mais encore une fois, écoutez bien, les promesses de Dieu sont surnaturelles, car elles nous relient à sa nature. J’aimerais à présent vous lire un passage qui se trouve en 2 Pierre 1:3-4 :
« Sa divine puissance nous a donné tout ce qui est nécessaire à la vie et à la piété en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa force.
Celles-ci nous assurent les plus grandes et les plus précieuses promesses. Ainsi, grâce à elles, vous pouvez fuir la corruption qui existe dans le monde par la convoitise et devenir participants de la nature divine. »
Nous avons reçu les plus grandes et les plus précieuses promesses. Grâce à ces promesses, nous devenons participants de la nature divine.
Tout d’abord, je voudrais que vous remarquiez que nous avons reçu des promesses. Elles nous ont été données.
Mon ami, Dieu nous a donné les promesses parce qu’il a l’intention de les tenir. Elles sont nôtres. Il n’a pas juste dit qu’il nous a donné des promesses, et il n’a pas juste dit qu’il nous a donné de grandes promesses.
Il n’a pas dit non plus qu’elles étaient extrêmement grandes. Cela aurait été suffisant : Dieu vous a donné des promesses.
Même s’il était écrit que Dieu vous a donné de grandes promesses, ou des promesses extrêmement grandes. Mais il a dit qu’il nous a donné les plus grandes et les plus précieuses promesses.
Cela signifie qu’elles ont de la valeur. Elles sont coûteuses. Elles sont dignes. Elles sont précieuses. La liste des choses que Dieu qualifie de précieuses est très courte.
Je peux en citer une, et Pierre l’a écrit lui-même : « Ce n’est pas par des choses corruptibles comme l’argent ou l’or que vous avez été rachetés […] mais par le sang précieux de Christ. »
Pensez-vous que le sang de Christ est précieux ? Moi, je le pense.
En ce qui concerne le langage, Dieu met les promesses dans la même catégorie que le sang précieux.
Pourquoi sont-elles si grandes et si précieuses ? Parce qu’à travers elles, nous devenons participants de la nature divine.
Mon ami, ce que Dieu est par nature n’est pas provisoire ou temporaire. C’est ce qu’il est. C’est ce qui est disponible à travers lui en permanence.
Dieu est, par nature, saint. Dieu est, par nature, droit. Dieu est, par nature, absolument juste et intègre. Dieu est, par nature, un guérisseur.
Lorsqu’Israël a quitté le pays d’Égypte pour se rendre en Terre promise, aux eaux de Meriba, Dieu s’est révélé à eux et leur a dit : « Je suis l’Éternel qui guérit. Je suis Jéhovah Rapha. »
Chaque fois que Dieu dit ‘Je suis’ quelque chose, il parle de sa nature.
Jésus a dit : « Je suis la résurrection et la vie », en parlant de sa nature. Sa nature même est la vie.
Dieu a dit : « Je suis Jéhovah Rapha. Je suis l’Éternel, ton médecin. Je suis l’Éternel qui te guérit. » Dieu, par nature, est un guérisseur.
Comprenez bien qu’au ciel, où la volonté de Dieu s’accomplit parfaitement et complètement, il n’y a pas de maladie et il n’y a pas de souffrance.
Tout ce qui émane de Dieu le Père et de l’Agneau est la santé, la plénitude, la vigueur et la complétude. La nature même de Dieu est la santé.
D’ailleurs, Dieu s’est révélé comme le guérisseur d’Israël avant même de lui donner les dix commandements. C’est comme une mère qui veille à la santé et au bien-être de son enfant avant même de commencer son éducation.
La première chose que Dieu leur a révélée, c’est qu’il était leur guérisseur et que sa nature est la santé.
Qu’est-ce qui me relie à sa nature ? C’est une promesse.
La promesse est le canal. La promesse est le connecteur.
La promesse est le canal par lequel la nature de Dieu passe pour venir jusqu’à moi.
Si vous enlevez la promesse, vous enlevez le canal. Si vous enlevez la promesse, vous enlevez la chose qui me relie à sa nature.
Sans elle, je ne peux rien recevoir de sa nature ; cela passe par la promesse. C’est pourquoi elles sont extrêmement grandes et précieuses.
Honnêtement, je ne serais pas assis ici aujourd’hui à vous parler si les promesses n’existaient pas.
J’ai déjà raconté cela plusieurs fois dans de nombreuses circonstances, mais je me souviens d’une jeune femme qui avait commencé à fréquenter notre église.
Elle avait un très grand talent pour la musique. C’était une pianiste extraordinaire.
Elle a donc rejoint notre groupe de louange et a commencé à jouer régulièrement dans l’équipe de louange.
Elle jouait notamment tous les mercredis soir. J’ai appris l’histoire que je vais vous raconter plus tard, mais elle avait commencé à fréquenter notre collège biblique.
À l’époque, j’enseignais plusieurs cours. L’un d’entre eux portait sur la guérison divine.
Elle était très enthousiaste lorsqu’elle s’est assise dans la classe le premier jour, et elle n’avait jamais rien entendu de tel de toute sa vie.
C’était une bonne chrétienne, qui avait grandi dans un foyer chrétien, mais dans une dénomination qui ne parlait jamais de guérison.
Les rares fois où ils le faisaient, ils disaient : « Dieu guérissait dans le passé, mais ce n’est plus le cas. La guérison a disparu avec le dernier apôtre. »
La vérité, mon ami, c’est que Dieu est un guérisseur. Ce qu’il est par nature n’est pas temporaire et n’est pas provisoire.
Dieu est toujours un guérisseur. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Notre Dieu est l’Éternel, et il ne change pas.
Mais cette jeune femme a été complètement stupéfaite. Elle n’avait jamais rien entendu de tel et elle m’a dit plus tard qu’elle s’était demandé dans quoi elle s’était embarquée.
Mais plutôt que de rejeter cela, elle est rentrée chez elle et a lu tous les versets que j’avais partagés pendant le cours, en les replaçant dans leur contexte et en les reliant à d’autres endroits de la Bible.
Elle est revenue au cours suivant et elle a fait la même chose. Elle rentrait chez elle et elle étudiait la Bible parfois toute la nuit.
Si je donnais un verset dans un chapitre, elle lisait tout le chapitre. Parfois, elle lisait le livre entier juste pour comprendre le contexte. C’était entièrement nouveau pour elle.
Elle a fait cela semaine après semaine. Elle lisait, et lisait et reliait tous les versets parlant de la guérison.
Elle s’est demandé pourquoi elle n’avait jamais vu cela auparavant, et pourquoi on ne lui avait jamais enseigné cela, car c’est partout.
C’était extrêmement important pour elle car, comme elle me l’a dit, elle avait une grosse tumeur qui se développait dans sa gorge.
Ainsi, jour après jour, semaine après semaine, elle se plongeait dans les Écritures.
Proverbes 4:21-22 dit : « [Que les paroles de Dieu] ne s’éloignent pas de tes yeux ! Garde-les au fond de ton cœur, car [elles] apportent la vie à ceux qui les trouvent, la guérison à tout leur corps. »
Elle m’a dit qu’une nuit, vers 3 heures du matin, elle était restée éveillée pour lire les promesses et après avoir analysé la Parole, l’avoir lue, méditée et étudiée, elle en était venue à la conclusion que puisque c’était écrit dans la Bible, c’était écrit pour elle.
Elle a dit : « Dieu, j’accepte ces promesses. Ta Parole est vraie. Par tes meurtrissures, je suis guérie. C’est la vérité. Je l’accepte. » Elle s’est mise à adorer Dieu pendant un petit moment.
C’était un mardi soir, car nous avions cours le mardi soir. Elle est rentrée chez elle, est restée debout jusqu’à 3 heures du matin à étudier, puis elle s’est agenouillée près de son lit et est arrivée à la conclusion : « C’est pour moi. C’est dans la Bible. »
Le soir suivant, le mercredi soir, nous avions un service. Elle va donc à l’église en voiture afin d’arriver tôt pour répéter avec l’équipe de louange.
Pendant qu’elle conduit, elle ressent un chatouillement dans la gorge et se met à tousser. Elle s’arrête sur le bas-côté et se met à tousser plus violemment.
Elle a craché la tumeur dans sa main, l’a regardée, a baissé la vitre, l’a jetée par la fenêtre, a remonté la vitre, est arrivée à l’église et a raconté à tout le monde ce qui s’était passé.
Il a été vérifié que c’était bel et bien la tumeur qu’elle avait crachée dans sa main. Elle avait été guérie.
Que s’est-il passé ? Au moment même où elle a embrassé la promesse, la nature de santé de Dieu a commencé à couler en elle.
Chers amis, les promesses sont tellement importantes. Vous devez avoir une histoire d’amour avec le livre de Dieu.
Essayez de trouver une promesse qui répond à votre besoin.
La foi qui permet de croire en la promesse est produite par la promesse elle-même.
Je le répète. La foi qui permet de croire en la promesse est produite par la promesse elle-même.
« La foi vient de ce qu’on entend et ce qu’on entend vient de la parole de Dieu » Romains 10:17.
Selon Hébreux 6:12 et 11:33, les promesses s’obtiennent par la foi. Je le répète : « La foi qui permet de croire en la promesse est produite par la promesse elle-même. »
Voici ce qui est écrit en Hébreux 6:12 : « Ainsi vous ne vous relâcherez pas, mais vous imiterez ceux qui, par la foi et la patience, reçoivent l’héritage promis. »
Comment héritent-ils des promesses ? Par la foi et la patience.
« La foi vient de ce qu’on entend et ce qu’on entend vient de la parole de Dieu. » La foi vient en entendant la promesse.
La promesse elle-même est ce qui produit la foi, et la promesse est l’aqueduc. C’est le canal qui amène la nature de Dieu jusqu’à nous.
Grâce aux plus grandes et plus précieuses promesses, nous devenons participants de la nature divine.
Écoutez ce qui est écrit en Hébreux 11:32-33 :
« Et que dirais-je encore ? Le temps me manquerait en effet pour parler de Gédéon, de Barak, de Samson, de Jephthé, de David, de Samuel et des prophètes. Par la foi, ils ont vaincu des royaumes, exercé la justice, obtenu la réalisation de promesses, fermé la gueule de lions. »
Les hommes qui sont mentionnés dans ce verset et les prophètes qui sont mentionnés dans ce verset ont vaincu des royaumes par la foi ; ils ont exercé la justice par la foi, et ils ont obtenu la réalisation de promesses par la foi.
Les promesses ne sont pas le fruit du hasard.
La promesse est porteuse d’un potentiel, mais ce potentiel est exploité et reçu par la foi. La foi est ce qui nous relie à la nature de Dieu.
C’est la foi en la promesse qui fait cela. C’est par la foi qu’ils ont obtenu les promesses.
La foi qui permet de croire en la promesse est produite par la promesse elle-même.
Dans le Nouveau Testament, il existe deux mots hébreux qui sont traduits par ‘parole’ en français. L’un est ‘logos’, l’autre est ‘rhema’.
‘Logos’ signifie essentiellement ‘la Parole collective de Dieu’. Lorsqu’il est question de la Parole de Dieu, il s’agit du mot grec logos, qui désigne l’ensemble des Écritures.
Mais il existe un autre mot, beaucoup plus rare, le mot grec ‘rhema’, qui se traduit également par ‘parole’.
Mais rhema signifie ‘dire la Parole de Dieu’, par opposition à ‘logos’ qui représente l’ensemble de la Parole collective écrite de Dieu.
Harry Ironside, grand théologien et pasteur canado-américain du XXe siècle, a défini la différence entre ‘logos’ et ‘rhema’ de la manière suivante :
« Logos est la Parole que Dieu a prononcée. Logos est la Parole de Dieu qui représente ce que Dieu a dit. Rhema, en revanche, est la Parole que Dieu dit. »
‘Logos’ est ce que Dieu a dit et ‘Rhema’ est ce que Dieu dit. C’est une parole spécifique, adressée à une personne spécifique, dans une situation spécifique.
Vous devez comprendre par là que si vous entrez dans la Parole, elle entrera en vous. Si vous réfléchissez à la Parole et que vous la méditez, si vous passez du temps dans le logos, le ‘rhema’ sortira du ‘logos’ pour venir à vous.
Le verset en Romains 10:17 qui dit : « Ainsi la foi vient de ce qu’on entend et ce qu’on entend vient de la parole de Dieu » est le mot rhema.
Ainsi, la foi vient de ce qu’on entend – de ce qu’on entend de Dieu qui est spécifiquement en train de dire, à vous en ce moment, un mot spécifique, une promesse qui prend vie dans une situation spécifique.
Mais écoutez, le ‘rhema’ vient du ‘logos’. Je vais vous expliquer ce que j’entends par là.
Je vais vous lire un passage qui se trouve en Proverbes 6:20, tiré de l’Amplified Bible en anglais : « Mon fils, garde le commandement de ton père [donné par Dieu] et n’abandonne pas la loi [de Dieu] que ta mère [t’a enseignée]. »
Ton père et ta mère t’ont enseigné la Parole de Dieu.
« Lie-les continuellement sur ton cœur et attache-les à ton cou. Quand tu iras, elles [les paroles du Dieu de tes parents] te conduiront ; quand tu dormiras, elles te garderont ; et quand tu te réveilleras, elles parleront avec toi. »
Avez-vous saisi cela ?
Garde le commandement de ton père [donné par Dieu]. Écoute la Parole de Dieu que ton père t’a enseignée. N’abandonne pas la loi [de Dieu] que ta mère [t’a enseignée].
Parents, nous devons enseigner la Parole de Dieu à nos enfants.
Il est écrit : « Lie-les continuellement sur ton cœur et attache-les à ton cou. » En d’autres termes, passez du temps dans la Parole de Dieu. Gardez-la près de vous. Faites-la entrer en vous.
Ensuite, il est écrit : « Quand tu iras, elles [les paroles du Dieu de tes parents] te conduiront ; quand tu dormiras, elles te garderont ; et quand tu te réveilleras, elles parleront avec toi. »
Le ‘rhema’ est la parole de Dieu qui vous parle. Lorsque vous passez du temps dans la Parole, elle commence à vous parler.
Mon ami, c’est ainsi que la foi prend vie, c’est ainsi que nous obtenons les promesses et c’est ainsi que nous devenons participants de la nature de Dieu.
Je suis ici à cause des promesses. La nature de guérison de Dieu a coulé en moi et a accompli des choses miraculeuses.
J’ai encore beaucoup de choses à dire à ce sujet, mais je n’en ai plus le temps. Vous allez devoir vous joindre à moi la prochaine fois, parce que nous avons encore beaucoup de choses à dire à ce sujet.
J’espère que vous serez des nôtres. À bientôt. -
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