Jésus ressuscite les morts – l’histoire de Lazare
Êtes-vous accablés par le doute, le péché ou même par des problèmes impossibles à résoudre ? L’histoire de Lazare montre que Jésus, qui domine même la mort, peut vous délivrer des situations les plus désespérées. Car il est avec vous, même dans vos moments sombres. Découvrez en ce jour le nouveau commencement qu’il vous accorde.
-
Bonjour, cher ami. Merci de vous être joint à moi.
Nous allons poursuivre un message que j’avais déjà entamé, et qui va vous bénir.
Il est basé sur Jean 10 et 11, la résurrection de Lazare d’entre les morts.
J’aimerais vous encourager à prendre le temps de lire Jean 10 et 11 après avoir écouté ce message, et de vous référer aux choses que j’ai dites.
Réfléchissez-y en profondeur.
Je suis convaincu que Dieu vous donnera un esprit de sagesse et d’illumination pour le connaître.
Ce sera une bénédiction pour votre vie, et en fin de compte, en recevant la Parole de Dieu et en la mettant en pratique, Jésus-Christ sera glorifié.
Alors, mettez votre ceinture de sécurité, votre casque de protection, prenez votre Bible, et préparons-nous à plonger ensemble dans la Parole de Dieu.
Bonjour, je m’appelle Bayless Conley.
Dans la vie, nous sommes tous confrontés à l’incertitude.
Qu’il s’agisse de problèmes financiers, de difficultés relationnelles, d’une crise de santé ou de la recherche d’un but,
une chose est sûre : Dieu vous voit. Il vous aime.
Et quelle que soit la situation à laquelle vous êtes confronté, il a les réponses.
Nous arrivons au quatrième personnage de notre drame, Lazare.
Lazare est mort et il a été porté dans le sein d’Abraham.
Imaginez l’agitation à son arrivée.
Moïse s’approche et dit : « Est-ce vrai que tu l’as connu ? Le Messie est venu ? »
Lazare répond : « Oui, c’était mon meilleur ami. »
Moïse demande : « A-t-il accompli toute la loi ? »
Il répond : « Oui, Moïse, il a accompli toute la loi. »
Michée arrive et demande : « Lazare, est-il né à Bethléem comme je l’avais prophétisé ? »
« Oui, il est né à Bethléem. »
Ésaïe s’approche et demande : « Est-il né d’une vierge ? »
« Oui, Ésaïe, il est né d’une vierge. »
« Merveilleux conseiller, Dieu puissant ? »
« Oui, tout cela Ésaïe. »
« A-t-il ouvert les yeux des aveugles et débouché les oreilles des sourds comme je l’avais dit ? »
« Oui, Ésaïe, il a fait toutes ces choses. »
Puis David prend la parole et demande : « Le bon berger… qui nous dirige près d’une eau paisible et nous fait prendre du repos dans des pâturages bien verts ? »
« Oui, David, oui, c’était lui. »
Puis quelqu’un dit : « Oui, le nouveau, Jean-Baptiste, qui est arrivé récemment, a parlé de lui. »
Jean dit : « Je vous l’avais dit. J’ai préparé le chemin avant lui. C’est mon cousin. »
Puis Malachie dit : « Jean, j’ai été le dernier à prophétiser sur lui avant que tu naisses, il y a de cela 400 ans.
Lazare, l’Esprit est venu sur moi, et j’ai dit que le soleil de justice se lèvera, et la guérison sera dans le bord de ses vêtements.
Cela s’est-il passé comme je l’avais dit ? »
Lazare répond : « Tu n’as même pas idée, Malachie.
Des multitudes sont venues toucher le bord de son vêtement, et elles ont toutes été guéries.
D’ailleurs, il y avait une femme qui saignait depuis 12 ans.
Elle a littéralement rampé à travers une foule de gens et est venue saisir le bord de son vêtement.
Vous avez entendu ? »
« Quoi ? Nous n’avons rien entendu. »
« Je dois y aller. Il m’appelle. Jésus m’appelle. »
POUF
Il disparaît et se réveille dans son corps, dans le tombeau, enveloppé dans des vêtements funéraires.
Nous pouvons tirer une leçon même de cela.
Lazare a été ramené à la vie, mais il était lié.
Il est vivant à l’intérieur, mais il est lié à l’extérieur.
De nombreuses personnes dans notre maison sont nées de nouveau, ont reçu la vie éternelle, mais elles sont encore liées par les vêtements funéraires de leur ancienne vie et de leurs anciennes habitudes pécheresses.
Certains seraient prompts à les juger et à dire qu’elles ne sont pas sauvées.
Vous feriez mieux d’être prudent lorsque vous jugez les autres, en particulier ceux qui sont récemment venus à la foi.
Il se peut très bien que la lampe de la vie éternelle brûle dans leur poitrine.
Ils portent simplement des vêtements funéraires.
Ils sont encore liés à certains vêtements de leur ancienne vie, mais ils sont nés de nouveau intérieurement.
Ils viennent à l’église, mais ils luttent.
Ils sont liés par des habitudes impures.
Ils veulent marcher en liberté, mais leurs pieds sont liés.
Ils veulent tendre la main et servir, mais leurs mains sont liées.
Ils veulent voir et comprendre les glorieuses vérités de l’Évangile, mais leur visage est recouvert d’un linge.
Pourquoi Jésus ne fait-il rien ? Parce que c’est notre travail.
Jésus a dit : « Détachez-le et laissez-le s’en aller.
J’ai fait mon travail, je l’ai ramené à la vie.
Détachez-le et laissez-le s’en aller. »
Comment faire cela ?
Tout d’abord, en donnant l’exemple et en vivant une vie chrétienne devant eux.
En nous regardant, ils devraient voir ce que signifie faire confiance à Dieu dans les tempêtes de la vie.
En nous regardant, ils devraient voir ce que signifie être un bon père, un mari ou une femme aimants, ce que cela signifie de servir Christ de toutes nos forces et d’être réellement en feu pour Dieu.
Il devrait y avoir des exemples vivants autour de chaque nouveau converti.
La deuxième chose que nous devons faire est de leur enseigner la Parole de Dieu.
Jésus a dit : « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples, et la vérité vous rendra libres. »
Lorsque j’ai été sauvé…
et cela peut sembler drôle pour certains.
Je portais encore des vêtements funéraires.
J’étais né de nouveau, mais je portais encore des vêtements de l’ancienne vie.
En toute honnêteté, j’avais peur du diable.
À cause des choses dans lesquelles j’avais été impliqué, profondément impliqué, avant d’être sauvé,
je savais que les démons étaient réels avant de savoir que Jésus était réel.
C’est vrai.
J’avais été initié au monde des esprits.
Et par conséquent, j’ai été sauvé, mais j’avais cette peur qui s’accrochait à moi.
J’avais peur du diable.
C’était comme un petit chien qui jappait et qui me suivait, constamment dans ma conscience.
C’était la première chose que je sentais en me réveillant et la dernière chose que je sentais avant d’aller me coucher.
Mais j’ai fait quelque chose de bien.
J’ai acheté une Bible pour 35 cents dans un vide-grenier.
Je vivais au-dessus d’un bar et je n’avais même pas l’électricité.
À la lumière d’une bougie, j’ai lu, lu, lu et lu.
J’ai lu la Genèse et l’Exode.
C’était passionnant.
J’étais moins passionné par le Lévitique, mais j’ai continué.
Je ne peux pas vous dire quand c’est arrivé exactement, c’était peut-être au bout de deux ou trois mois, j’ai soudain réalisé qu’elle avait disparu.
La peur avait disparu.
Cela fait environ 50 ans et elle n’est jamais revenue.
Jamais.
Mais si vous m’aviez vu dans le royaume des esprits, je traînais des vêtements funéraires avec moi.
J’étais sauvé, mais je portais ces choses de l’ancienne vie qui essayaient de s’accrocher à moi.
Nous devons leur donner la Parole de Dieu.
Troisièmement, nous devons beaucoup prier pour les nouveaux convertis.
Priez pour ceux qui luttent.
Paul a écrit aux Éphésiens et leur a dit ces mots :
« Après avoir entendu parler de votre foi dans le Seigneur Jésus, je ne cesse de faire mention de vous dans mes prières. »
Nous cessons souvent de prier lorsque quelqu’un est sauvé.
Paul a redoublé d’efforts dans ses prières.
Nous devons prier pour les jeunes convertis parmi nous.
C’est notre responsabilité.
Jésus a dit : « Détachez-le et laissez-le s’en aller. Assurez-vous qu’ils soient libres. Je vais vous utiliser pour leur apporter la vérité. Je vais vous utiliser pour les aider et pour les délivrer. »
Imaginez Lazare traînant des pieds jusqu’à l’entrée du tombeau, et c’est ainsi que sont certains de ces nouveaux convertis.
Nous ne nous rendons pas compte de tout ce dont les gens sont sortis dans leur vie, et Dieu veut se servir de vous pour les aider.
Dieu veut vous utiliser pour leur ouvrir les yeux et les libérer afin qu’ils puissent servir Dieu avec toute leur vie.
Le cinquième personnage de notre drame est le diable.
Il n’est pas directement mentionné, mais il est en plein dans l’histoire.
Je vais vous le prouver.
Revenons un peu en arrière, en Jean 8, Jésus parle à des Juifs qui essaient de le tuer.
En Jean 8:37-41, Jésus dit :
« ‘Je sais que vous êtes la descendance d’Abraham.
Pourtant, vous cherchez à me faire mourir, parce que ma parole ne pénètre pas en vous.
Je dis ce que j’ai vu chez mon Père et vous, vous faites ce que vous avez entendu de la part de votre père.’
Ils lui répondirent : ‘Notre père, c’est Abraham.’ Jésus leur dit : ‘Si vous étiez les enfants d’Abraham, vous agiriez comme lui.
Mais en réalité, vous cherchez à me faire mourir, moi qui, en tant qu’être humain, vous ai dit la vérité que j’ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l’a pas fait.
Vous, vous agissez comme votre père.’
Ils lui dirent : ‘Nous, nous ne sommes pas des enfants illégitimes ; nous avons un seul Père : Dieu.' »
Jésus dit au verset 44a :
« Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père.
Il a été meurtrier dès le commencement et il ne s’est pas tenu dans la vérité parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. »
Jésus a dit : « La raison pour laquelle vous essayez de me tuer, la raison pour laquelle vous voulez m’assassiner, c’est parce que vous êtes influencés par votre père, le diable.
C’est un meurtrier.
Vous faites les œuvres de votre père. »
Jésus a dit que c’était l’influence directe du diable qui les poussait à vouloir le tuer.
Or, non seulement le diable est un meurtrier, non seulement il ment, mais il fait également autre chose qui est en son pouvoir,
et qui est assurément conforme à son caractère: il provoque la maladie.
Je vais vous lire un passage qui se trouve en Luc 13:11.
« Or il y avait là une femme », dans la synagogue.
« Or il y avait là une femme habitée par un esprit – un démon de maladie – qui la rendait infirme depuis 18 ans ; elle était courbée et ne pouvait pas du tout se redresser. »
Jésus dit au verset 16 :
« Et cette femme, qui est une fille d’Abraham et que Satan tenait attachée depuis 18 ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat ? »
Jésus a dit que Satan était celui qui l’avait rendue malade et qui la tenait attachée.
Ce n’est là qu’un des nombreux exemples que l’on trouve dans les Évangiles, où un mauvais esprit cause et impose une maladie, et où la maladie est attribuée au diable.
D’ailleurs, la Bible dit ceci en Actes 10:38 :
« Vous savez comment Dieu a déversé une onction de Saint-Esprit et de puissance sur Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu en faisant le bien et en guérissant tous ceux qui étaient sous la domination du diable, parce que Dieu était avec lui. »
Certes, toutes les maladies ne sont pas le résultat direct de l’œuvre du diable.
Je pense que nous le comprenons, mais dire qu’aucune ne l’est, c’est fermer les yeux sur la vérité des Écritures.
C’est ce qu’il fait tout au long des Écritures, en particulier si nous lisons Matthieu, Marc, Luc et Jean.
En gardant cela à l’esprit, tirons le rideau un instant sur le naturel et jetons un coup d’œil dans les coulisses d’un autre royaume où il se passait en fait beaucoup de choses.
Ce matin, nous avons commencé la lecture de Jean 10.
Les Juifs étaient furieux.
Ils essaient de lapider Jésus alors qu’il est en Judée.
Qui est derrière tout cela ?
Selon Jésus, c’est le diable.
Selon Jésus, ils essayaient de le tuer directement à cause de l’inspiration du diable.
Jésus quitte donc la Judée et s’en va au-delà du Jourdain, à un endroit appelé Béthanie, où Jean avait d’abord baptisé.
Ce que je vais partager avec vous, ce sont des pensées issues de ma propre réflexion, et j’aimerais vous les soumettre.
Vous n’êtes pas obligés de les accepter, mais vous devriez certainement les considérer.
Imaginez que le diable pense : « Oh, j’étais si près du but !
Je suis parvenu a tellement les révolter que j’ai vraiment cru que j’allais pouvoir l’assassiner cette fois-ci, mais il s’est encore échappé.
S’il y avait un moyen de le faire revenir pendant qu’ils sont encore remplis de haine et d’envies de meurtre.
Comment pourrais-je faire ?
Attends un peu.
Marthe, Marie et Lazare vivent ici.
Il les aime profondément.
Je parie que s’il apprenait que l’un d’entre eux était malade et mourant, il reviendrait en hâte pour leur venir en aide. »
Puis, soudain, nous lisons que Lazare tombe gravement malade et que le message est envoyé à Jésus.
« Jésus, il faut que tu reviennes. Celui que tu aimes est malade. »
Le texte grec ne dit pas seulement qu’il est malade, mais que son état continue de s’aggraver, il est de plus en plus malade.
C’était un message critique.
« Jésus, c’est une crise ! Il faut que tu viennes ! »
2 Corinthiens 2:11 dit que nous n’ignorons pas les intentions du diable, et Jésus ne les ignorait certainement pas.
Nous en arrivons donc au personnage principal de notre drame, Jésus lui-même.
Les messagers de Marthe et Marie arrivent avec un message urgent.
Il répond immédiatement : « Cette maladie n’aboutira pas à la mort, mais elle servira à la gloire de Dieu, afin qu’à travers elle la gloire du Fils de Dieu soit révélée. »
C’est le message que Jésus a renvoyé avec les messagers à Marthe et Marie.
Encore une fois, sa déclaration signifiait que le résultat final serait la vie.
Jésus aime Lazare.
Il aime Marthe et il aime Marie.
Ce sont quelques-uns de ses amis les plus proches, et il sait qu’elles comptent sur lui.
Son humanité tout entière le poussait et l’exhortait à y aller.
Mais mon ami, Jésus, n’a jamais été poussé ou contrôlé par ses émotions.
Il n’était pas poussé par la peur ou le désespoir, ni par ce que les autres pouvaient penser de lui.
Il reste donc à Béthanie deux jours de plus.
Soudain, il dit aux disciples : « Nous y retournons. »
Ils lui font des remontrances et lui disent : « Seigneur, les Juifs ont essayé de te tuer récemment là-bas. Veux-tu vraiment y retourner ? »
Nous savons qu’ils ne s’inquiétaient pas seulement pour Jésus, parce que, lorsqu’ils ont réalisé qu’il ne changerait pas d’avis, Thomas a dit :
« D’accord, allons-y pour mourir avec lui. Jésus va mourir. Nous allons mourir. Nous allons tous mourir. Allons-y. »
Ils s’attendaient à être tués.
Voici ce que Jésus a répondu quand on lui a dit cela, aux versets 9-10 :
« Jésus répondit : ‘N’y a-t-il pas douze heures de jour ?
Si quelqu’un marche pendant le jour, il ne trébuche pas, parce qu’il voit la lumière de ce monde ;
mais si quelqu’un marche pendant la nuit, il trébuche, parce que la lumière n’est pas en lui. »
« OK, Jésus, c’est super.
Mais qu’est-ce que cela a à voir avec notre situation ?
Quel genre de réponse est-ce là ? »
En fait, c’est une réponse parfaite.
Jésus parle de manière métaphorique.
Il dit en fait : « J’ai reçu la lumière du Saint-Esprit. J’ai reçu l’illumination, et je peux maintenant retourner en toute sécurité.
Si nous étions retournés lorsque mes émotions étaient déchaînées – lorsque j’ai reçu ce message et que tout dans mon humanité voulait retourner – nous aurions marché dans l’obscurité et nous aurions eu des problèmes.
Mais j’ai reçu la lumière de Dieu. »
De même, lorsque vous marchez le jour, tout va bien. Mais lorsque vous marchez la nuit, vous vous cognez l’orteil sur le bord d’un meuble.
Ce même conseil est à la disposition de chaque croyant.
Romains 8:14 dit : « En effet, tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. »
Jésus a dit : « Quand l’Esprit de la vérité viendra, il vous conduira dans toute la vérité et vous annoncera les choses à venir. »
Dieu désire que nous marchions pendant le jour, mais nous sommes si souvent occupés, ou poussés et tirés par nos émotions, ou inquiets de ce que les gens pensent de nous, que nous prenons des décisions irréfléchies.
Nous devons ralentir, attendre Dieu et prier.
Il nous donnera alors l’illumination qui nous empêchera de trébucher.
Je me souviens que pour mon deuxième rendez-vous avec Janet, je l’ai invitée à déjeuner dans un endroit appelé The Silver Plow.
C’était un endroit très agréable pour déjeuner, surtout pour mon budget, c’était le meilleur que je pouvais me permettre.
Le jour où j’allais la chercher, j’ai eu une soudaine envie de manger chinois.
J’ai pensé à un restaurant chinois qui se trouvait dans un centre commercial non loin, et ce n’était pas de la bonne cuisine chinoise, honnêtement.
C’était tellement étrange que je me souviens m’être demandé : « Mon Dieu, est-ce toi ? C’est vraiment bizarre. Pourquoi me dirais-tu d’aller manger chinois ? »
Alors, plutôt que de prendre la décision et de dire à Janet : « On va aller manger chinois »,
je voulais l’impressionner, et je lui ai donc demandé si elle voulait aller au restaurant chinois ou au Silver Plow.
– J’aimerais aller à Silver Plow. – D’accord.
Nous y sommes allés, avons bien mangé et en sortant j’ai regardé ma voiture.
J’ai dit à Janet que je ne m’étais pas garé autant de travers.
Un camion de bière s’était garé en haut de la colline devant un magasin d’alcool et avait oublié de mettre son frein à main.
Cet énorme camion de livraison de bière a dévalé la colline à reculons, a percuté ma voiture et l’a déplacée sur le côté.
Je me suis dit : « Je suppose que le chinois était ton idée, Dieu. »
Je pourrais passer la journée à vous raconter des histoires, où la plupart du temps j’ai bien fait, et où quelques fois, je n’ai pas pris la bonne décision.
Mais je vous le dis, le Saint-Esprit désire nous guider.
Dieu désire que nous marchions dans la lumière et non dans les ténèbres.
C’est pourquoi, à la remarque : « Tu vas y retourner maintenant ? Ils vont te tuer !’, il a répondu : « Il y a 12 heures dans la journée.
Le jour, tu ne trébucheras pas, mais la nuit, tu trébucheras. »
Dieu désire nous éclairer et c’est tellement important.
Ensuite, quand Jésus est arrivé, il a pleuré.
La Bible dit qu’il compatit à nos faiblesses.
Il a vu ce que la mort de leur frère leur avait fait.
Marthe est brisée,
Marie est brisée et les Juifs pleurent.
Jésus a pleuré.
Si vous voulez mémoriser un verset biblique, c’est le plus court de la Bible : « Jésus pleura. »
Il est dit deux fois qu’il était indigné et bouleversé.
C’est intéressant.
Je pense que, lorsque Jésus a vu la dévastation et la perte que la mort apportait, il a été profondément indigné.
Le mot grec pour cela est très intéressant.
C’est le même mot que pour désigner l’ébrouement d’un cheval.
Littéralement, c’est le mot utilisé pour un cheval de guerre qui s’ébroue lorsqu’il est impatient d’aller au combat.
Le mot utilisé pour l’indignation de Jésus.
Jésus voyait la mort comme un appel à la guerre.
La mort n’était pas une amie, et il a gagné cette escarmouche en ressuscitant Lazare d’entre les morts et en montrant qu’il avait le pouvoir sur la mort.
Mais même dans ce cas, Lazare allait vieillir et mourir plus tard.
Jésus a gagné la guerre ultime contre la mort sur la croix, et par là, il a gagné la vie éternelle pour tous ceux qui mettent leur confiance en lui.
Finalement, il nous donnera un corps glorifié semblable au sien, qui ne sera pas sujet à la maladie, pas sujet à la faiblesse, pas sujet à la mort.
Remercions Dieu.
La bonne nouvelle pour ceux d’entre nous qui ont perdu des êtres chers, c’est qu’ils sont avec le Seigneur au ciel, et que nous serons à nouveau réunis.
Ils sont bel et bien vivants.
J’aimerais conclure en revenant sur les paroles que Jésus a adressées à Marthe.
Il a dit : « C’est moi qui suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s’il meurt ;
et toute personne qui vit et croit en moi ne mourra jamais.
Crois-tu cela? »
J’aimerais vous le demander : croyez-vous cela ?
Peu importe le nombre de bonnes œuvres que vous avez faites.
Peut-être devriez-vous être félicités pour vos bonnes œuvres et pour votre sacrifice.
Mais la vraie question est de savoir ce que vous avez fait du Fils de Dieu.
Nous ne sommes pas sauvés en vertu de nos bonnes œuvres.
Nous ne sommes pas sauvés en vertu de nos mérites personnels, mais uniquement grâce à ce que Christ a fait.
Avez-vous fait de lui le Seigneur de votre vie ?
Avez-vous remis les rênes de votre vie entre les mains de Jésus ?
Êtes-vous mort à vos droits de vivre de manière indépendante et l’avez-vous vraiment déclaré Seigneur ?
Telles sont les conditions que nous devons remplir.
J’aimerais prier avec vous dans un instant.
Encore une petite chose.
Avant de monter sur scène, j’ai eu le sentiment que quelqu’un assit ici, et vous savez qui vous êtes…
La seule façon dont je peux le décrire, c’est comme s’il y avait un poids énorme sur votre poitrine.
On dirait presque qu’il va vous étouffer.
Eh bien, tout comme cette pierre a été roulée, Jésus va vous enlever ce poids aujourd’hui.
Il va disparaître, je vous le dis, il va disparaître.
Vous êtes peut-être un fils prodigue ou une fille prodigue, et vous connaissez la vérité.
Il y a eu un moment dans votre vie où vous avez vraiment donné votre vie à Jésus.
Vous l’aimiez tendrement et vous étiez submergé par son amour pour vous.
Mais pour une raison ou une autre, le fait de fréquenter les mauvaises personnes, des décisions qui ont été prises, une perte que vous avez subie, peut-être un traumatisme, je ne sais pas, mais vous vous êtes éloigné de lui.
Vous savez que si le Seigneur revenait aujourd’hui, vous auriez honte.
J’ai une grande nouvelle pour vous, fils prodigue, fille prodigue.
Dieu ne vous en veut pas, mais vous devez rentrer à la maison.
Ne tardez pas.
Vous devez rentrer à la maison.
Le Père vous attend.
Si vous n’avez jamais donné votre vie à Christ, il ne vous rejettera pas.
J’aimerais vous guider dans une prière simple.
Je ne peux vous donner que des mots.
Les mots sont importants, mais ils ne signifient rien s’ils ne sont pas soutenus par un cœur sincère.
Si vous attachez votre cœur à ces mots et que vous les adressez sincèrement à Dieu, il vous rencontrera.
Dites : Jésus, je viens à toi.
Je crois que tu m’aimes.
Tu m’aimes tellement que tu as accepté d’aller sur la croix et de mourir pour moi.
Mes péchés t’ont mené jusque là.
Tu as volontairement payé ma dette.
Merci.
Je crois que tu es ressuscité d’entre les morts,
et je te donne ma vie.
Je te donne mes victoires et je te donne mes échecs.
Je remets tout entre tes mains, Jésus.
Tout ce que je suis et tout ce que j’ai,
je te le donne maintenant.
À partir de maintenant,
je t’appelle Seigneur.
Ma vie est à toi, Jésus.
C’est en ton nom que je prie.
Amen.
Mon ami, j’espère que vous avez ouvert votre cœur au Seigneur Jésus-Christ.
Il vous aime.
Il a des projets pour votre vie.
Des projets pour le bien et non pour le mal, pour vous donner un avenir et pour vous donner de l’espoir.
Ce serait une grande bénédiction pour moi si vous m’écriviez.
J’aimerais beaucoup que vous m’envoyiez un courriel ou même une lettre à l’ancienne pour me dire si l’émission, ou tout autre moyen par lequel vous m’écoutez, a été une bénédiction pour vous.
J’aimerais le transmettre à notre personnel, à notre équipe, pour qu’ils soient eux aussi bénis.
Alors, si vous le voulez bien, prenez un peu de temps et envoyez-moi un courriel.
Faites-moi savoir si nous avons été une bénédiction pour vous.
Nous allons continuer à vous transmettre ces messages, ainsi qu’à d’autres personnes dans le monde entier.
Je voudrais terminer en remerciant ceux d’entre vous qui nous soutiennent par leurs prières et leurs finances.
Vous nous permettez de continuer à apporter la Parole de Dieu aux personnes dans le besoin.
Que Dieu vous bénisse. -

Ne manque aucune émission
Notre service pour toi : Chaque semaine, nous t'envoyons un e-mail avec le lien de l'émission actuelle.

Joins-toi à nous pour apporter de l’espoir aux gens à domicile !
Nous considérons que c'est un privilège de pouvoir apporter aux personnes une nouvelle espérance à travers la Parole de Dieu.
Obtenir le script de la prédication
Si tu souhaites également recevoir des impulsions régulières de Bayless, indique ici ton adresse e-mail. Pour des raisons techniques, cette information est également nécessaire si tu ne souhaites recevoir que le script.
Laisser un commentaire