Bâtir quelque chose de grand : l’importance du don

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  Aujourd’hui, dans ‘Réponses avec Bayless Conley’ :
  David n’a pas donné des objets sans valeur qui ne lui manqueraient jamais.
  David n’a pas donné ses restes, mais il a donné ce qu’il possédait en propre.
  Pourquoi ?
  Parce que son attachement était là.
  La version Parole de Vie l’exprime ainsi : « Parce que j’aime le temple de mon Dieu. »
  Bonjour, je m’appelle Bayless Conley.
  Dans la vie, nous sommes tous confrontés à l’incertitude.
  Qu’il s’agisse de problèmes financiers, de difficultés relationnelles, d’une crise de santé ou de la recherche d’un but,
  une chose est sûre : Dieu vous voit. Il vous aime.
  Et quelle que soit la situation à laquelle vous êtes confronté, il a les réponses.
  Bonjour, cher ami.
  J’ai quelque chose à partager avec vous qui, étonnamment, est un sujet qui risque de contrarier plus de gens que n’importe quel autre sujet.
  En effet, il y a deux ou trois sujets qui mettent généralement les gens en colère.
  Premièrement, si vous parlez de l’éducation des enfants.
  Certaines personnes n’adhèrent pas entièrement aux normes bibliques ou aux instructions bibliques lorsqu’il s’agit de l’éducation de leurs enfants.
  Parfois, et en particulier en lisant le livre des Proverbes,
  certaines des choses à faire lorsque l’on a un enfant désobéissant amènent certains à dire :
  « Ce n’est tout simplement pas possible. Cela va à l’encontre de la psychologie moderne. »
  Eh bien, vous savez quoi ?
  Lorsque la Bible dit une chose et que la psychologie moderne en dit une autre, devinez qui a tort ?
  Exact, ce n’est pas la Bible.
  Le deuxième sujet qui fâche parfois les gens est celui dont nous allons parler aujourd’hui, et cela concerne les offrandes.
  Mais écoutez, ce message contiendra quelque chose pour chaque personne qui nous écoute.
  Dieu désire personnellement vous dire quelque chose à travers ce message, et c’est tellement vital pour notre vie.
  L’histoire que nous allons examiner est basée sur 1 Chroniques 29.
  David et tout le peuple d’Israël se sont rassemblés, et il les instruit et les encourage à construire la maison de Dieu.
  Personnellement, je considère cela comme un bâtiment d’église, comme un établissement.
  Les églises ont besoin d’un lieu pour se réunir, qu’elles louent une salle ou qu’elles possèdent leur propre bâtiment.
  La diffusion de l’Évangile entraîne des dépenses.
  J’ai entendu quelqu’un dire un jour :
  « Avant la naissance de ma fille, je ne réalisais pas à quel point elle coûterait cher.
  Je ne savais pas à quel point les couches, la lessive et les vêtements coûtaient cher. »
  Si ça vous parle, c’est que vous avez des enfants.
  Ils portent des vêtements grands comme ça, et les prix sont aussi élevés que ceux des vêtements pour adultes.
  Ils utilisent un dixième de matériaux pour les fabriquer, mais ils les vendent au même prix.
  Certaines personnes sont prêtes à payer cela.
  La nourriture pour bébés peut coûter cher.
  Il a ajouté : « Puis, une fois adolescente, il fallait qu’elle ait les dernières baskets tendance, les dernières chaussures à la mode, il fallait qu’elle ait ceci et cela.
  C’était tellement cher, je n’en revenais pas.
  Elle a également fréquenté une école privée, ce qui était incroyablement cher.
  Puis elle a rencontré un jeune homme et a fini par se marier.
  J’ai dû payer pour le mariage. Oh, c’était tellement cher.
  Mais peu après le mariage de ma fille, il y a eu un terrible accident, et malheureusement elle a perdu la vie.
  L’enterrement a coûté cher.
  Mais depuis que ma fille est morte et qu’elle est allée au paradis, elle ne nous a rien coûté du tout. »
  Ce qu’il faut retenir, c’est que les églises vivantes et prospères ont un coût, elles peuvent être coûteuses.
  Mais les églises mortes ne coûtent rien.
  Tant qu’une église est vivante et se développe…
  Comme la fille de cet homme était vivante et se développait physiquement et émotionnellement et acquérait de l’expérience…
  il y a un coût à cela.
  Il en va de même pour une église.
  Dans notre récit de 1 Chroniques 29, tout le peuple d’Israël s’est rassemblé.
  David les encourage à construire la maison de Dieu.
  Je voudrais vous parler de quatre aspects de cette histoire.
  Ils sont pertinents pour chacune de nos vies, en particulier en ce qui concerne les offrandes pour l’œuvre de Dieu et les offrandes pour l’Évangile.
  Certes, l’Évangile est gratuit. C’est vrai.
  L’Évangile est gratuit, mais le canal pour le faire parvenir au monde peut coûter cher.
  Voici donc les quatre aspects de l’histoire.
  Premièrement, le dessein.
  Deuxièmement, le cœur.
  Troisièmement, l’invitation.
  Et quatrièmement, la prière.
  Je voudrais vous lire le premier verset, qui traite du dessein.
  C’est David qui parle.
  Le roi David dit à toute l’assemblée : « Mon fils Salomon, le seul que Dieu ait choisi, est jeune et faible, et la tâche est considérable, car ce palais n’est pas pour un homme, mais pour l’Éternel Dieu. »
  Il parle de construire le temple, la maison de Dieu.
  Il dit : « La tâche est considérable, mais il n’est pas pour un homme, mais pour l’Éternel Dieu. »
  Les hommes allaient y servir.
  Les hommes allaient y louer.
  Les hommes allaient y entendre la Parole prêchée.
  Les hommes allaient s’y rassembler.
  Mais en fin de compte, elle était construite pour la gloire de Dieu, pour le nom de Dieu et pour le dessein de Dieu.
  Il en va de même pour chaque église.
  Des hommes et des femmes y servent. Des hommes et des femmes y louent.
  Les gens y entendent la Parole et y participent à la communion fraternelle.
  Mais, en fin de compte, toutes les églises sont construites pour le nom de Jésus, afin qu’il puisse être glorifié et magnifié.
  Nous ne faisons pas ce que nous faisons pour nous faire un nom.
  Lorsque nous construisons un bâtiment d’église, ou lorsque nous louons un local pour y célébrer des cultes et enseigner la Parole de Dieu,
  ou lorsque nous envoyons un évangéliste ou des missionnaires,
  nous créons des instruments qui permettent aux desseins de Dieu de s’accomplir.
  Une église doit être un lieu de refuge pour les personnes fatiguées.
  Un lieu d’où la lumière glorieuse de l’Évangile peut briller pour toutes les nations de la terre.
  David dit que la tâche est considérable, parce qu’elle est pour Dieu.
  Elle est considérable par sa portée.
  Elle est considérable par sa beauté et par sa qualité.
  David ne donnait pas ses restes, et le peuple ne donnait pas ses restes à Dieu parce que la tâche était considérable, et qu’elle était pour Dieu.
  Un de mes amis, qui est maintenant au ciel, était pasteur d’une grande église en Europe.
  J’y ai moi-même prêché plusieurs fois.
  Ce n’était pas un bâtiment très opulent.
  C’était un beau bâtiment, avec quelques milliers de places assises, et il était rempli.
  C’était une église vivante, qui avait un impact sur sa région, qui annonçait un Évangile comme peu d’autres églises l’avaient fait auparavant dans l’histoire de ce pays.
  Mon ami m’a raconté qu’une famille importante de l’église l’avait invité à dîner chez elle un soir.
  On nous dit souvent : « Pasteur, méfiez-vous, les déjeuners ou dîners gratuits n’existent pas. Les gens veulent toujours que vous leur donniez quelque chose. »
  Je sais que ce n’est pas toujours vrai, car certaines personnes désirent simplement bénir leur pasteur et leur ministre sans essayer de l’influencer pour qu’il fasse ceci ou cela, ou parce qu’ils veulent que quelque chose change ou qu’ils veulent quelque chose de personnel de la part du pasteur.
  Mais dans ce cas-ci, ils avaient bel et bien une intention cachée.
  Ils étaient en train de finir de dîner.
  Ils prennent une tasse de café, puis ils en viennent à la question : « Pasteur, nous voulons vous parler. »
  – À propos de quoi ? – Ce lustre dans le hall de l’église.
  Nous pensons qu’il est terrible que vous dépensiez autant de la dîme et des offrandes des gens pour mettre un lustre dans l’église.
  Cet argent aurait pu être utilisé à d’autres fins.
  Nous pensons que c’est une erreur d’engager une telle dépense.
  Nous n’avions pas besoin d’un lustre dans l’église.
  Le pasteur a levé les yeux, et au-dessus de la table de la salle à manger, là où ils étaient assis, il y avait un magnifique lustre.
  Il faut connaître mon ami pour comprendre cela.
  C’était un homme très direct.
  Vous n’aviez jamais à vous inquiéter de ce qu’il pensait.
  Il a répondu : « Donc, c’est assez bien pour vous, mais c’est trop bien pour Dieu ?
  La maison de Dieu mérite ce qu’il y a de mieux.
  La maison de Dieu est grande.
  Vous êtes d’accord d’investir dans ça pour vous, mais vous vous offusquez quand nous faisons quelque chose comme ça pour la maison de Dieu ? »
  Ils sont restés sans voix.
  Le dessein, c’est pour la maison de Dieu.
  Personnellement, je pense que la maison de Dieu mérite le meilleur.
  Je ne pense pas qu’il faille en faire trop, et évidemment, tout peut être poussé à l’extrême, mais nous ne devrions pas hésiter à donner à nos églises.
  Vous ne devez pas hésiter à faire des dons à l’église que vous fréquentez.
  Il ne faut pas se dire : « Je ne pense pas que l’église devrait avoir ceci ou cela. C’est trop beau pour l’église. »
  Attendez.
  Les hommes y servent, y louent et y participent à la communion fraternelle.
  Mais en fin de compte, nous faisons ce que nous faisons pour le nom de Christ.
  Je crois que Dieu mérite ce que nous avons de mieux, et non nos restes.
  Je ne pense pas que nous honorions Dieu en lui apportant quelque chose qui ne nous coûte rien.
  Nous passons ensuite au deuxième aspect, le cœur.
  Premièrement : le dessein. Pour l’Éternel Dieu.
  La tâche est considérable.
  Deuxièmement, le cœur.
  Je voudrais vous lire les versets 2 et 3.
  C’est David qui parle.
  « J’ai mis toutes mes forces à préparer pour la maison de mon Dieu de l’or pour ce qui doit être en or, de l’argent pour ce qui doit être en argent, du bronze pour ce qui doit être en bronze, du fer pour ce qui doit être en fer et du bois pour ce qui doit être en bois,
  ainsi que des pierres d’onyx et des pierres à enchâsser, des pierres brillantes et de diverses couleurs, toutes sortes de pierres précieuses et du marbre blanc en quantité. »
  Il parle de toutes ces choses, mais ce que je veux que vous reteniez, c’est qu’il a dit :
  « J’ai mis toutes mes forces à préparer. »
  C’est important. Au verset 3, il dit :
  « De plus, dans mon attachement pour la maison de mon Dieu, je donne à la maison de mon Dieu l’or et l’argent que je possède en propre, en plus de tout ce que j’ai préparé pour la maison du sanctuaire. »
  Lorsque David parle de donner à la maison de Dieu et de se préparer pour la maison de Dieu, il dit :
  « J’ai mis toutes mes forces à préparer pour la maison de mon Dieu, et j’ai donné en plus de tout ce que j’ai préparé. »
  Pourquoi fait-il cela ?
  Pourquoi utiliser un tel langage ?
  N’oubliez pas qu’il encourage le peuple.
  Il raconte au peuple ce qu’il a fait.
  Il explique pourquoi il a fait cela : « Dans mon attachement pour la maison de mon Dieu. »
  « Parce que c’est là que se trouve mon attachement, j’ai mis toutes mes forces à préparer et j’ai donné en plus de tout ce que j’ai préparé. »
  Colossiens 3:2, dans le Nouveau Testament, déclare ceci dans la version Segond 21 :
  « Attachez-vous aux réalités d’en haut, et non à celles qui sont sur la terre. »
  En d’autres termes, attachez-vous à des choses d’origine céleste, des choses qui viennent du cœur de Dieu, des choses qui ont une conséquence éternelle.
  Dans le cas de David, il s’agissait de construire la maison de Dieu.
  Écoutez ceci, au Psaume 26:8a, David déclare :
  « Éternel, j’aime la maison où tu résides. »
  Au Psaume 84:11b, David déclare :
  « Je préfère me tenir sur le seuil de la maison de mon Dieu plutôt que d’habiter sous les tentes des méchants. »
  Au Psaume 122:1, il dit :
  « Je suis dans la joie quand on me dit : ‘Allons à la maison de l’Éternel !' »
  Parce que son attachement était là, il a donné ce qu’il possède en propre.
  L’expression « en propre » est intéressante, quand David dit : « J’ai donné en plus ce que je possède en propre. »
  C’est un mot hébreu très, très rare qui n’est utilisé que quelques fois dans les Écritures.
  Il est utilisé presque exclusivement par Dieu pour décrire son peuple comme son propre trésor spécial.
  Il signifie quelque chose de grande valeur personnelle, quelque chose de coûteux, quelque chose qui vaut la peine de faire des sacrifices pour le posséder.
  C’est ce que David a donné.
  David n’a pas donné des objets sans valeur qui ne lui manqueraient jamais.
  David n’a pas donné ses restes, mais il a donné ce qu’il possède en propre.
  Pourquoi ?
  Parce que son attachement était là.
  La version Parole de Vie l’exprime ainsi : « Parce que j’aime le temple de mon Dieu. »
  Une grande vérité de la vie est que notre cœur et notre trésor sont liés.
  Votre cœur et votre trésor sont liés.
  Ils sont intrinsèquement liés et vous ne pouvez pas les séparer.
  Jésus a déclaré ceci en Matthieu 6:21 :
  « En effet, là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. »
  Nous investissons dans ce que nous aimons.
  Pour certains, c’est le golf.
  Ils possèdent les clubs de golf les plus chers de la planète.
  Ils ont huit paires de chaussures de golf, ils ont plusieurs sacs de golf, ils ont des sacs de golf de voyage, ils ont des tonnes de vêtements de golf.
  Dans leur armoire, il y a deux douzaines de chemises de golf.
  Ils ont des vestes pour jouer sous la pluie.
  Ils adorent ça et ils investissent là-dedans.
  Pour d’autres, c’est l’automobile.
  Ils investissent dans des voitures ou dans des motos.
  Pour d’autres encore, ce sont les chaussures.
  Pour certains, c’est l’art.
  Pour d’autres, c’est ceci ou cela.
  Mais le fait est que nous investissons dans ce que nous aimons.
  Toutes ces choses peuvent être légitimes.
  Mais elles sont toutes temporaires et terrestres.
  Même si j’aime la pêche, je réalise que c’est temporaire.
  Elle va disparaître, car c’est terrestre.
  En revanche, il y a l’éternel ou ce qui, bien que temporaire en soi, a des conséquences éternelles.
  La maison que David construisait était temporaire, mais avait des conséquences éternelles.
  Le bâtiment de l’église que vous fréquentez est temporaire.
  Le parking sur lequel les voitures sont stationnées, le dispositif de baptême que vous avez dans votre église, etc.
  Ces choses sont temporaires et nous le comprenons, mais cela a une conséquence éternelle.
  Les gens peuvent y entendre la Parole de Dieu et être sauvés.
  Ils peuvent voir leur mariage restauré.
  Ils peuvent être délivrés par la vérité de la Parole de Dieu.
  Jésus a dit : « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples, vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. »
  L’un des principaux endroits où nous venons entendre la Parole prêchée à travers des vases oints est la maison de Dieu, l’église.
  Une grande partie de ce que nous faisons dans l’église et à partir de l’église, nous l’investissons dans des choses temporaires.
  En ce moment même, je parle à des caméras.
  Si je pouvais venir chez vous, m’asseoir avec vous à la table de la cuisine et boire une tasse de thé…
  D’ailleurs, j’ai une très belle tasse de thé…
  Si je pouvais boire une tasse de thé avec vous et parler de la Bible…
  Vous rencontrez peut-être des problèmes avec vos enfants, ou vous avez peut-être des questions.
  Je n’ai peut-être pas toutes les réponses, mais je sais comment prier.
  Si nous avions pu prier ensemble, j’aurais voulu le faire.
  Mais ceci est la meilleure alternative.
  Et tous les équipements dont nous disposons ici ont un coût.
  Ensuite, nous doublons cette émission dans de nombreuses langues.
  Vous m’écoutez peut-être en farsi, en arabe, en espagnol ou en encore français.
  Vous m’écoutez peut-être dans un certain nombre de dialectes indiens que nous doublons.
  Vous m’écoutez peut-être en allemand ou encore en russe.
  Nous doublons et sous-titrons dans toutes ces langues et dans bien d’autres encore.
  Nous les envoyons aux nations du monde, à plus de 100 pays.
  Cela représente un coût énorme, mais cela en vaut la peine, car nous touchons des âmes éternelles.
  En toute honnêteté, si toutes les dépenses que nous assumons vous atteignent et vous amènent à une relation avec Christ, du point de vue du ciel, elles en valent la peine.
  Jésus a dit : « Que servira-t-il à un homme de gagner le monde entier, s’il perd son âme ? »
  Selon Jésus, une âme vaut plus que le monde physique tout entier.
  C’est dire la valeur d’une seule personne.
  Donc, oui, il y a un coût même en faisant ce que nous faisons maintenant, mais cela a une conséquence éternelle.
  Peut-être que cela a eu un impact dans votre vie.
  Écoutez, je veux juste vous dire sans honte que nous recevons continuellement tant de réponses de tant de groupes linguistiques différents dans le monde entier qui sont touchés par l’émission.
  Tout cela en vaut la peine.
  Il m’en coûte personnellement de venir ici et de prendre le temps de faire cela, de préparer ces messages et de préparer mon cœur.
  Il y a un facteur temps : je suis loin de ma femme et de mes petits-fils qui sont avec nous en ce moment.
  Mon fils et ma belle-fille sont chez nous en ce moment.
  C’est du temps que je pourrais passer avec eux.
  Mais cela en vaut la peine sur le plan temporel ainsi que sur le plan financier.
  D’ailleurs, si certains de nos partenaires nous regardent aujourd’hui, je n’avais pas l’intention de dire cela, mais je tiens à vous remercier.
  Vous ne rencontrerez peut-être jamais toutes les personnes qui ont été touchées, mais lorsque nous arriverons au paradis, je vous garantis qu’une multitude de personnes viendront vous voir et vous diront :
  « Merci. Vous ne savez pas qui je suis, mais grâce à votre contribution pour l’émission de Cottonwood Church,
  lorsque Bayless Conley parlait à la caméra et est entré dans mon village, dans la langue de mon cœur, j’ai entendu parler de Jésus pour la première fois et j’ai été sauvé.
  Ensuite, mes enfants et ma femme ont été sauvés. »
  Oui, nous investissons dans des choses temporaires.
  Mais vous savez quoi ?
  Elles ont une conséquence éternelle.
  C’est tellement, tellement important.
  Voici donc l’aspect du cœur.
  Nous parlons d’éternité.
  Nous parlons de conséquences éternelles.
  Nous passons ensuite à l’invitation, qui se trouve au verset 5.
  J’aimerais vous le lire.
  David dit qu’il a mis toutes ses forces à préparer et qu’il a donné en plus de ce qu’il a préparé, ce qu’il possède en propre.
  « Cette maison est pour le Seigneur, et il faut qu’elle soit grande. »
  Puis, en 1 Chroniques 29:5b, David dit :
  « Qui veut encore présenter aujourd’hui, de façon volontaire, des offrandes à l’Éternel ? »
  « Qui veut encore présenter aujourd’hui des offrandes à l’Éternel? »
  Le mot présenter, en hébreu, signifie littéralement « qui tendra la main à l’Éternel ».
  La version Darby l’exprime ainsi :
  « Et qui sera de franche volonté pour offrir aujourd’hui à l’Éternel  ? »
  « Qui tendra sa main comme je l’ai fait avec une offrande généreuse ? »
  Lorsque notre cœur est attaché à la maison de Dieu et aux choses de son Royaume, il n’est pas difficile de tendre nos mains pour soutenir sa maison ou son Royaume.
  Encore une fois, notre cœur et notre trésor sont intrinsèquement liés.
  « Qui donc tendra sa main et présentera une offrande volontaire et généreuse à l’œuvre de Dieu ? » demande David.
  L’une des caractéristiques remarquables de leur offrande est qu’elle n’était pas obligatoire.
  Il n’y avait pas de pression.
  Elle était volontaire.
  David dit : « Qui veut encore présenter ? Qui veut faire cela ? »
  Au verset 17, que nous lirons plus tard, il est écrit que David a dit :
  « Je t’ai fait ces offrandes volontaires. »
  David a donc volontairement donné son propre trésor.
  Au verset 6, il est dit que les chefs des tribus ont fait des offrandes volontaires.
  Puis, au verset 9, il est dit que le peuple a donné volontairement.
  Tout le monde était heureux de ce qu’il faisait.
  Dans le Nouveau Testament, Paul écrit aux Corinthiens au sujet des offrandes.
  Il mentionne les chrétiens macédoniens de Philippes qui ont donné si généreusement et de manière si sacrificielle à l’œuvre de Dieu.
  Ils ont soutenu le ministère de Paul lorsqu’il s’est rendu dans d’autres villes et a partagé le message de Christ dans d’autres lieux.
  C’est pourquoi Paul leur écrit ceci en 2 Corinthiens 9:6 :
  « Sachez-le, celui qui sème peu moissonnera peu et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment. »
  Paul a parlé du don de l’offrande et l’a comparé à la semence, à la moisson.
  Il dit : « Si vous plantez peu, si vous donnez avec parcimonie, ou si vous ne donnez pas beaucoup, cela vous reviendra de la même façon, mais si vous donnez généreusement avec un cœur généreux, cela vous reviendra de la même façon. »
  Il a écrit aux Galates : « Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le récoltera aussi. »
  En Luc 6:38, Jésus déclare :
  « Donnez et on vous donnera : on versera dans le pan de votre vêtement une bonne mesure, tassée, secouée et qui déborde. »
  Dans ce contexte, il s’agit de donner le pardon et de montrer de l’amour.
  Mais cela s’applique à tous les domaines.
  Ce que nous donnons et comment nous donnons, cela nous reviendra.
  Une bonne mesure, tassée, secouée et qui déborde.
  Le verset suivant, 2 Corinthiens 9:7, dit :
  « Que chacun donne comme il l’a décidé dans son cœur, sans regret ni contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie. »
  Il a dit : « Ne donnez pas avec regret.
  Ne donnez pas par contrainte, comme si vous étiez forcés de le faire.
  Dieu aime celui qui donne avec joie. »
  Je vais vous lire ce magnifique passage à partir de la version classique amplifiée :
  « Que chacun donne comme il l’a décidé et voulu dans son cœur, non pas à contrecœur, ni avec tristesse, ni sous la contrainte,
  car Dieu aime – il y prend plaisir, il y attache plus d’importance qu’à toute autre chose, il ne veut pas l’abandonner ni s’en passer – celui qui donne avec joie – qui est « prompt à le faire » –, celui qui donne de tout son cœur. »
  Mon ami, j’aimerais vous encourager.
  Si vous ne soutenez pas l’Évangile, je veux vous encourager à soutenir votre église locale, à donner avec joie et en abondance à l’œuvre de Christ dans l’église que vous fréquentez.
  Encore une fois, pour ceux d’entre vous qui nous soutiennent, je tiens à vous remercier.
  Nous vous sommes profondément reconnaissants.
  En toute honnêteté, je pense qu’aucun d’entre nous ne comprend l’impact que nous avons.
  Nous faisons cela depuis plus de 25 ans dans de multiples langues à travers le monde.
  Il n’y a vraiment aucun moyen de mesurer – et ce que nous savons est stupéfiant – l’impact que nous avons eu.
  Il n’y a aucun moyen de le savoir et nous ne le saurons pas avant d’aller au paradis.
  Nous ne connaîtrons pas le véritable impact de l’émission dans le monde entier et dans de nombreuses langues.
  Je terminerai en vous disant : que Dieu vous bénisse.
  Écoutez, Dieu est réel.
  Il vous voit.
  Il connaît votre nom.
  Il a envoyé son Fils pour vous racheter.
  Jésus-Christ vous aime, et nous aussi.

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