Psaume 23 : Le bon berger pourvoit à vos besoins

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  Quasiment tout le monde, qu’il soit croyant ou non, connaît le psaume 23 ou au moins une partie.
  Mais vous savez quoi ? Ce psaume n’est pas seulement un beau texte qui ne sert qu’à être admiré.
  Il est rempli de promesses et de déclarations sur les choses que le Seigneur veut faire pour son peuple.
  Il contient des choses que vous devez savoir et des choses qui peuvent vous aider aujourd’hui.
  Si vous avez une Bible, prenez-la, et nous allons parler du Seigneur, notre berger.
  Bonjour, je m’appelle Bayless Conley.
  Dans la vie, nous sommes tous confrontés à l’incertitude.
  Qu’il s’agisse de problèmes financiers, de difficultés relationnelles, d’une crise de santé ou de la recherche d’un but,
  une chose est sûre : Dieu vous voit. Il vous aime.
  Et quelle que soit la situation à laquelle vous êtes confronté, il a les réponses.
  Précédemment dans ‘Réponses avec Bayless Conley’ :
  De tous les animaux, les moutons sont les plus pitoyables lorsqu’ils se perdent.
  La plupart des animaux possèdent l’instinct inné de retrouver leur chemin.
  Les moutons, eux, peuvent se perdre complètement, même près de chez eux.
  Malgré tous ses progrès technologiques et scientifiques, l’humanité est encore totalement et complètement perdue spirituellement.
  Psaumes 23:4 : « Même si je traverse la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ta houlette et ton bâton me rassurent. »
  Je suis les pas du berger, et il me conduit à travers la vallée de l’ombre de la mort.
  Cela représente l’endroit où j’ai la possibilité d’avoir peur.
  C’est un endroit où la mort s’est approchée suffisamment pour projeter son ombre sur un domaine de ma vie, que ce soit mon mariage ou une autre relation.
  Elle a peut-être projeté son ombre sur mon entreprise ou sur ma santé.
  Elle représente un lieu de test et d’épreuve.
  Dieu vous conduirait-il là ? Dieu vous conduira dans sa parfaite volonté pour vous.
  Il vous conduira sur le chemin de son dessein pour vous, mais vous ne marcherez pas sur ce chemin sans rencontrer d’opposition.
  Vous avez un adversaire, le diable, qui rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer, et il veut contrecarrer les desseins de Dieu dans votre vie.
  Alors oui, vous ferez face à des conflits, sans aucun doute.
  Lorsque les israélites sont arrivés à la frontière de la terre promise, Dieu leur a dit : « Tout lieu que foulera la plante de votre pied, je vous le donne. »
  Ils ont répondu : « Mais Dieu, il y a des géants là-bas. » Dieu dit : « Je sais. Allez-y. »
  Il y aura des conflits et il y aura des batailles.
  Nous sommes assis dans ce magnifique auditorium, sur ce magnifique campus.
  C’est l’une de ces choses pour lesquelles j’ai prié sincèrement, et l’arbitre a décidé.
  Je ressentais de la paix, donc nous nous sommes engagés, et nous avons été en mesure de miraculeusement rassembler tous les fonds nécessaires pour le faire.
  Je ne savais pas que j’allais être poursuivi par deux villes.
  Je ne savais pas que la ville nous empêcherait d’accéder à notre propriété, qu’elle la saisirait et qu’elle essaierait de la voler.
  Je ne savais pas que nous serions au tribunal pendant plus de cinq ans.
  Je ne savais pas que CBS, ABC et NBC se présenteraient à l’église avec leurs caméras tous les dimanches et rapporteraient des choses terribles à notre sujet qui n’étaient pas vraies.
  Je ne savais pas que des journaux de Californie jusqu’à New York publieraient des articles remplis de mensonges et de fausses informations.
  Je ne savais pas que mon visage figurerait sur des dessins satiriques. Je ne savais pas… La vallée de l’ombre de la mort.
  Mais Dieu nous a fait passer à travers, et nous voilà.
  Son chemin et son but nous ont amenés jusqu’ici.
  Oui, vous allez faire face à des épreuves, mais voici quelques éléments à propos de cette vallée de l’ombre de la mort.
  Premièrement, il est dit : « Même si je traverse. »
  Si vous la traversez, c’est que vous n’y resterez pas. Il vous amène vers quelque chose de meilleur.
  Si vous traversez une épreuve, c’est temporaire. Ne prévoyez pas de camper là pour le reste de votre vie.
  Dieu vous réserve quelque chose de mieux de l’autre côté. Certes, il y aura des conflits, mais si vous le suivez, il vous fera tout traverser.
  Cela ne s’appelle pas la vallée de la mort, mais la vallée de l’ombre de la mort.
  Les ombres n’ont pas de substance.
  Avez-vous déjà été mordu par l’ombre d’un chien ?
  Avez-vous déjà été renversé par l’ombre d’une voiture ? Avez-vous déjà été coupé par l’ombre d’un couteau ou piqué par l’ombre d’une abeille ?
  Non, ces choses n’ont pas de substance en elles-mêmes.
  Il est très important de s’en souvenir.
  Très souvent, nous laissons nos pensées et notre imagination prendre le dessus dans notre esprit.
  Nous sommes remplis d’anxiété et même de dépression à cause de choses qui n’ont aucun fondement dans la réalité.
  D’ailleurs, je pense que 90 % des choses que nous traversons n’arrivent pourtant jamais.
  Mark Twain a dit : « J’ai traversé un grand nombre de crises dans ma vie, dont la plupart n’ont jamais eu lieu. »
  Certains souffrent terriblement en ce moment de quelque chose qui n’est pas enraciné dans la réalité, mais qui a affecté leur santé et leur façon d’agir.
  Dieu a dit aux Israélites qu’ils iraient en Terre promise. En fait, Dieu l’avait dit à Abraham 400 ans auparavant.
  Dieu a désigné la génération même de sa postérité qui allait hériter de la Terre promise.
  Dieu les fait sortir du pays d’Égypte et cette génération arrive à la frontière de la Terre promise et envoie douze espions.
  Les douze espions reviennent en disant : « C’est ce que Dieu a dit. C’est vraiment un pays où coulent le lait et le miel, et en voici les fruits. »
  Mais dix des douze espions ont dit : « Mais… »
  « Nous savons que Dieu a dit qu’il nous a donné le pays, mais il y a des géants et des villes fortifiées ; les gens sont bien armés et ils sont grands.
  Quand nous nous comparons à eux, nous sommes comme des sauterelles. Quand ils nous ont regardés, ils ont pensé à des sauterelles. Ils n’avaient pas du tout peur de nous.
  Ils étaient remplis de courage, et nous étions terrifiés. Nous ne pouvons pas y arriver. Peu importe que Dieu l’ait dit. Nous ne pouvons pas le faire. Personne n’a peur de nous. »
  C’est ainsi que toute cette génération a fait le tour du mont Sinaï pendant les 40 années qui ont suivi, jusqu’à ce que toute la génération plus âgée meure.
  40 ans plus tard, Josué prend en charge la génération suivante et Moïse est décédé.
  Ils envoient à nouveau des espions. Quelques espions finissent dans une maison close.
  On ne nous dit pas pourquoi, mais simplement qu’ils y sont allés.
  Une prostituée du nom de Rahab, peut-être la propriétaire de la maison close, leur dit :
  « Il y a quarante ans, lorsque vous avez traversé la mer Rouge et que vous avez tué Sihon et Og, roi de Basan, de l’autre côté du Jourdain, le cœur de tous les hommes d’ici a fondu à cause de vous.
  Personne n’avait plus de courage. Tous les hommes du pays étaient terrifiés. Ils tremblaient dans leurs bottes à cause de vous. »
  Mais les Israélites ont cru à la pensée suivante : « Ils sont pleins de courage. Ils n’ont pas peur de nous. »
  En réalité, ils étaient absolument terrifiés par les Israélites.
  Mais parce qu’ils ont cru à un mensonge, ils ont cru à une ombre, cela a affecté leurs actions, et ils ne sont jamais entrés en Terre promise.
  Les seuls qui y sont entrés sont Josué et Caleb, les deux espions qui étaient d’accord avec Dieu.
  Ils connaissaient le secret, et ce secret se trouve au psaume 23 : « Même si je traverse la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi. »
  S’il y a une ombre, il doit y avoir une lumière.
  Le bon berger est ma lumière et mon salut, et la lumière est plus grande que les ténèbres.
  D’ailleurs, écoutez bien les paroles de Josué 40 ans plus tôt.
  Josué a dit : « Seulement, ne vous révoltez pas contre l’Éternel et n’ayez pas peur des habitants de ce pays, car nous ne ferons d’eux qu’une bouchée. Ils n’ont plus de protection et l’Éternel est avec nous. N’ayez pas peur d’eux ! »
  Ils ont vu la même ombre que les dix autres espions, mais ils ont dit : « Dieu est avec nous. »
  Aujourd’hui, si vous traversez une grande épreuve, si vous ne savez pas ce que demain vous réserve, et que vous avez peur, sachez que le Seigneur est avec vous.
  Il est pour vous et il n’est pas contre vous. Il vous aime. Il est votre berger et il va vous aider.
  N’ayez pas peur, l’Éternel est avec vous. Ne craignez rien.
  Il est pour vous, mon ami. Il vous aime.
  En fait, il y a quelqu’un ici qui se demande : « Dieu, pourquoi ne me réponds-tu pas ? Pourquoi ne m’entends-tu pas ? Est-ce que tu m’entends ? »
  Oui, il vous entend. Il vous a entendu dire cela, et il veut que vous l’écoutiez, parce qu’il vous parle.
  Il vous a entendu et il vous voit.
  Vous n’en avez peut-être pas l’impression, mais il vous aime.
  Son plan est de vous aider.
  Il est également écrit que le berger me console avec sa houlette : « Ta houlette et ton bâton me rassurent. »
  Il y a un réconfort divin dans la vallée de l’ombre de la mort, et Dieu merci pour cela.
  Le bâton représente l’autorité et servait à protéger.
  Ce qui s’en rapproche le plus aujourd’hui, c’est l’ancienne matraque que les policiers utilisaient contre les voleurs, les brigands et les animaux sauvages pour protéger les moutons.
  D’ailleurs, même le sceptre qu’utilisaient les rois du monde antique tire son origine du bâton du berger.
  C’est de là qu’il vient.
  Le bâton du berger représente son autorité et sa protection.
  Écoutez ce qui est écrit en Luc 10:19 où Jésus dit : « Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions et sur toute la puissance de l’ennemi, et rien ne pourra vous nuire. »
  Jacques 4:7: « Soumettez-vous donc à Dieu, mais résistez au diable et il fuira loin de vous. »
  Vous vous soumettez à Dieu, vous résistez au diable, et il fuira loin de vous. Voici l’illustration:
  notre adversaire rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer.
  Sa proie favorite est la brebis, surtout celle qui s’est séparée du troupeau.
  Voici donc la brebis, qui est l’animal le plus vulnérable qui soit : elle n’a pas de dents pointues ni de griffes. Elle n’est pas agile ni rapide. Elle n’est pas impressionnante ni intelligente.
  La petite brebis fait face au lion et lui dit : « Monsieur le lion, je vous réprime au nom de Jésus. »
  Mais derrière cette petite brebis se tient le bon berger, bâton à la main, qui dit : « Tu ferais mieux d’écouter cette brebis sinon je t’en ferai voir de toutes les couleurs. »
  Environ trois mois après avoir été sauvé, je suis allé au Mexique pour une campagne d’évangélisation.
  Des évangélistes étaient venus des États-Unis et c’était dans un endroit appelé Piedras Negras, près d’Ensenada.
  Ils avaient creusé le flanc d’une colline qui mesurait environ 10 mètres de hauteur et ils avaient creusé de la terre.
  Il y avait des blocs de ciment avec des planches dessus, qui pouvaient assoir 1 000 à 1 500 personnes pour les réunions de jour et les réunions du soir.
  J’essayais de faciliter au mieux tout ce qu’ils voulaient que je fasse.
  Lors de la réunion de jour, il y avait beaucoup de monde.
  Tout à coup, du haut de la falaise, une planche avec des clous est tombée au milieu de la foule, suivie d’une autre qui a touché une femme enceinte.
  Des rochers, pas des petits cailloux, mais des rochers sont tombés du haut de la falaise et se sont abattus sur la foule.
  D’énormes rochers et des planches avec des clous tombaient sur la foule.
  Je lève les yeux, et je vois un fou sur la colline, absolument diabolisé.
  Tout le monde le connaissait.
  Il ne vivait pas dans une maison, il vivait dans la rue, entre les petits villages de la montagne et il s’appelait Jorge.
  Il avait des trous et des plaies énormes. Il s’arrachait des morceaux de chair sur les bras.
  Il était couvert de crasse, ses cheveux étaient emmêlés, il criait et lançait des pierres et des planches.
  L’un des responsables de la campagne d’évangélisation me regarde et me demande de m’en occuper.
  J’étais sauvé depuis trois mois.
  Je regarde autour de moi et je me dis qu’il devait y avoir un autre Bayless.
  J’ai dégluti et j’ai dit : « OK. »
  Je me suis approché de cet homme, et ses dents pointaient vers le nord, le sud, l’est et l’ouest.
  Il avait un regard de folie absolue dans les yeux.
  J’ai dit : « Au nom de Jésus, posez ça. » Il avait une grande planche à la main.
  Il l’a posée et s’est assis comme ça.
  Il a baissé la tête.
  J’ai dit : « Venez. »
  Je l’ai fait descendre vers un groupe de chrétiens, et j’ai dit : « Asseyez-vous », et ils ont prié pour lui.
  Plus tard, l’un des chrétiens est venu me voir et m’a dit : « Nous avons demandé à ce type pourquoi il t’avait obéi. »
  Il a répondu : « Pourquoi lui ai-je obéi ? C’était Jésus. »
  Il a vu le berger qui se tenait derrière moi.
  Jésus a dit : « Je vous donne l’autorité. Résistez au diable, et il fuira loin de vous. »
  Ensuite, en plus du bâton du berger, il y a la houlette du berger, qui mesure environ deux mètres de long, avec un crochet au sommet, qui était utilisé pour déplacer les moutons, pour les pousser doucement, ou pour les accrocher et les ramener dans le cercle protecteur du berger.
  Je crois qu’elle représente le travail du Saint-Esprit, la manière dont il nous guide et nous incite à nous rendre à certains endroits et à côtoyer certaines personnes.
  Il y a quelques semaines, j’ai parlé à une dame qui m’a dit : « Chaque fois que je passais devant ce bâtiment, quelque chose me poussait à l’intérieur en me disant : ‘Il faut que tu entres et voies ce que c’est. »
  Elle passait devant l’église tous les jours pour aller au travail.
  Elle disait : « Chaque fois que je passe devant, quelque chose m’interpelle. Finalement, j’ai cédé et je suis venue un dimanche. Lorsque je suis entrée, j’ai senti la présence de Dieu. Le message s’adressait directement à moi. Tout au long du message, je sentais que Dieu me parlait. »
  Elle a ajouté : « Je viens depuis quelques mois, et ma vie a été complètement transformée. »
  C’est l’effet que procure le Saint-Esprit. Il vous poussera.
  Il vous amènera là où vous devez être et avec qui vous devez être, ou loin de ceux auprès desquels vous ne devez pas être.
  Psaumes 23:5 : « Tu dresses une table devant moi, en face de mes adversaires ; tu verses de l’huile sur ma tête et tu fais déborder ma coupe. »
  Il prépare une table, peu importe ce que vous traversez ou ce à quoi vous êtes confronté.
  Vous avez peut-être l’impression que vos ennemis sont plus nombreux et plus forts que vous, mais Dieu fait des préparatifs pour vous, même au milieu de vos ennemis.
  Tout ce dont vous avez besoin se trouve à sa table et a déjà été préparé à l’avance.
  Mon ami, Dieu a regardé dans le temps, il vous a vu assis ici aujourd’hui, il connaissait vos besoins, et il a déjà préparé une table devant vous.
  Si vous avez besoin de guérison, elle a déjà été préparée sur la table.
  La paix d’esprit a été préparée, le pardon a été préparé, la sagesse a été préparée, la liberté et la faveur ont été préparées, la force a été préparée, l’approvisionnement matériel et la joie ont été préparés.
  Il a dit : « Tu verses de l’huile sur ma tête. » C’est ce qu’on fait à un invité d’honneur quand on le reçoit chez soi.
  Lorsque Jésus est entré dans la maison de Simon le pharisien, la première chose qu’il lui dit est : « Simon, quand je suis entré, tu n’as pas versé d’huile sur ma tête , mais cette femme a versé du parfum sur mes pieds. »
  Ce qui signifie que Jésus ne nous traite pas comme si nous étions des brebis stupides.
  Il nous traite comme des amis honorés.
  Une telle chose est trop noble pour moi.
  Je ne peux pas comprendre cela.
  C’est trop.
  Pourtant, il le fait.
  Il m’honore.
  Il oint d’huile ma tête et ma coupe déborde. Il y a un surplus et une abondance, assez pour répondre à mes besoins et pour aider les gens avec le trop-plein.
  Verset 6 : « Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les jours de ma vie et je reviendrai dans la maison de l’Éternel jusqu’à la fin de mes jours. »
  Le berger ouvre la voie et les deux chiens de berger – la bonté et la miséricorde – ferment la marche.
  La bonté pour quand je fais le bien et la miséricorde pour quand je fais le mal.
  Dieu merci.
  Pour certains d’entre vous qui m’écoutez en ce moment, les chiens du berger divin, la bonté et la miséricorde, vous ont rassemblés ici aujourd’hui.
  Le berger connaît votre nom.
  Il vous appelle.
  Entendez-vous sa voix ?
  Où nous conduira-t-il finalement ?
  À demeurer dans sa maison pour toujours.
  Quel berger !
  Il nous satisfait dans cette vie et nous met en sécurité dans la mort et dans l’éternité.
  Il y a de nombreuses années, j’ai lu l’histoire d’un orphelin.
  Il était orphelin depuis son plus jeune âge et avait été placé dans différents orphelinats.
  Il avait eu une vie difficile et avait été placé dans plusieurs familles d’accueil, mais cela n’a jamais marché. Au moment où il reprenait espoir, ça tournait mal et il était chaque fois renvoyé à l’orphelinat.
  Son petit esprit ne comprenait pas, mais un couple de personnes âgées s’est mis à l’aimer et a décidé de l’adopter.
  Ils ont suivi toute la procédure, mais il n’avait pas vraiment compris.
  Il était dans leur maison somptueuse et ils étaient si gentils.
  En larmes, le petit garçon a dit : « Monsieur, puis-je rester un peu plus longtemps dans votre maison ? Juste encore un peu. »
  L’homme répond : « Jeune homme, je ne pense pas que tu comprennes. Tu es notre fils. Tu peux vivre avec nous pour toujours. »
  Nous en revenons à la déclaration de Jésus qui dit : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. »
  C’est ce que Jésus a fait, mais lorsqu’il a donné sa vie, il l’a fait en tant que brebis. Il s’est pleinement identifié à nous et est devenu un être humain.
  C’est incroyable ! Actes 8:32b déclare de l’Agneau de Dieu : « Il a été conduit comme une brebis à l’abattoir et, pareil à un agneau muet devant celui qui le tond, il n’ouvre pas la bouche. »
  Dans de nombreuses régions d’élevage ovin, il existe ce qu’on appelle un mouton de Judas.
  S’ils doivent emmener les moutons à l’abattoir, ils mettent une cloche autour du cou du mouton de Judas.
  Il a été dressé pour conduire les autres moutons jusqu’à la rampe d’accès au camion ou jusqu’au parc d’attente où ils seront abattus.
  Si les autres moutons hésitent, il commence à bêler, il les incite à le suivre et une fois que tous les moutons sont sur le lieu d’abattage, ils relâchent le mouton de Judas.
  Ils lui donnent une récompense pour qu’il puisse recommencer, mais pas Jésus. Il a été abattu pour que nous puissions vivre.
  Il a fait exactement le contraire pour nous.
  Après sa mort sur la croix pour nos péchés, après trois jours et trois nuits, les exigences de la justice éternelle de Dieu ont été satisfaites, il est ressuscité des morts.
  Hébreux 13:20-21 dit : « Le Dieu de la paix a ramené d’entre les morts notre Seigneur Jésus, devenu le grand berger des brebis grâce au sang d’une alliance éternelle. Qu’il vous rende capables de toute bonne œuvre pour l’accomplissement de sa volonté. »
  Mon ami, le berger nous appelle.
  Certains d’entre vous aujourd’hui ont simplement besoin de croire qu’il vous aime et qu’il va prendre soin de vous.
  Je sais que certains d’entre nous aujourd’hui ont laissé des choses s’accrocher à leur âme.
  Peut-être avons-nous été réticents à donner notre laine et à partager le travail du Royaume.
  Nous ne comprenons pas pourquoi nous n’avons pas de joie ou pourquoi nous n’obtenons pas certaines choses.
  J’aimerais inviter le Seigneur à faire une œuvre.
  Prenons un moment dans le pâturage.
  Prenons un moment au bord de l’eau paisible et laissons-le accomplir en nous une œuvre que nous ne pouvons pas accomplir nous-mêmes.
  Père céleste, nous te remercions d’avoir fait de nous des membres de ta famille.
  Seigneur Jésus, en tant que notre berger, nous t’invitons à faire ton travail en nous.
  Nous savons que nous ne pouvons pas restaurer notre âme nous-mêmes.
  Nous ne pouvons pas nous purifier nous-mêmes.
  Nous t’invitons, alors que nous nous attardons en ta présence, à faire ton œuvre, Seigneur.
  Fais ton œuvre.
  Fais ton œuvre.
  Merci, Jésus.
  Aujourd’hui, si vous êtes cette brebis perdue, Jésus a dit : « Si l’un de vous a 100 brebis et qu’il en perde une, ne laisse-t-il pas les 99 autres dans le désert pour aller à la recherche de celle qui est perdue jusqu’à ce qu’il la retrouve ? Lorsqu’il l’a retrouvée, il la met avec joie sur ses épaules et la ramène en se réjouissant. »
  Il a ajouté : « Il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de changer d’attitude. »
  Si vous êtes une brebis perdue et que vous avez besoin d’un berger, c’est Jésus. Il n’y a personne d’autre.
  La Bible dit : « Si tu reconnais publiquement de ta bouche que Jésus est le Seigneur et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité, tu seras sauvé. »
  Vous ferez partie du troupeau.
  Il vous change et fait de vous l’un des siens.
  J’aimerais vous guider dans une prière simple.
  Si vous êtes tombé et vous êtes éloigné de Dieu, vous l’avez connu et aimé, mais pour une raison quelconque, peut-être simplement par de mauvais choix, peut-être par de mauvaises fréquentations, peut-être par une blessure que vous avez laissée s’envenimer,
  et vous vous retrouvez loin du berger à l’heure actuelle, il n’est pas fâché, mais il est temps de rentrer à la maison.
  Si vous ne l’avez jamais connu, mais si vous attachez votre cœur aux mots que nous allons prier, et si vous êtes sincère, il vous entendra.
  Parlons à Dieu ensemble. Dites : « Oh Dieu, je viens à toi.
  De tout mon cœur, je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu.
  Je crois qu’il est venu dans ce monde pour sauver les gens comme moi.
  Jésus, merci d’être mort sur la croix et d’avoir porté la peine de mon péché.
  Je crois que tu as payé intégralement ma dette et que tu es ressuscité d’entre les morts.
  Je t’invite dans ma vie comme mon Seigneur, mon Sauveur et mon Berger.
  Je prie en ton nom. Amen »
  J’espère que vous venez de prier cette prière avec moi.
  Si vous l’avez fait d’un cœur sincère, si vous avez attaché votre cœur à ces mots, je sais que Dieu est venu à vous.
  L’Évangile est réel. Le paradis est réel.
  Jésus-Christ est ressuscité des morts.
  D’un point de vue temporel, cette vie ne dure qu’un bref instant.
  Ensuite, nous entrons dans l’éternité.
  Si Jésus a changé votre vie ou si ces messages ont été une bénédiction pour vous, j’aimerais avoir de vos nouvelles.
  Nous avons une belle équipe et nous travaillons très dur pour que ces messages vous parviennent.
  Nous sommes toujours heureux d’entendre les récits de personnes dont la vie a été touchée et changée.
  Si vous le voulez bien, prenez un moment pour nous envoyer un courriel, ou écrivez une lettre à l’ancienne et envoyez-la-nous.
  Cela encouragerait notre cœur alors que nous continuons à diffuser ces émissions et ces messages dans le monde entier.
  Que Dieu vous bénisse.

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  1. Merci,Jésus

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