Prière : de l’action de grâce à la percée

Croyez-vous que Dieu écoute vos prières ? Dans cette vidéo, Dieu vous explique la corrélation entre l’action de grâce et l’exaucement à vos prières. Mettez cela en pratique dans votre vie personnelle et le Seigneur vous accordera une percée.

  • Bonjour, je m’appelle Bayless Conley.
    Dans la vie, nous sommes tous confrontés à l’incertitude.
    Qu’il s’agisse de problèmes financiers, de difficultés relationnelles, d’une crise de santé ou de la recherche d’un but,
    une chose est sûre : Dieu vous voit. Il vous aime.
    Et quelle que soit la situation à laquelle vous êtes confronté, il a les réponses.
    Bonjour mon ami, je suis heureux que vous m’ayez rejoint.
    Selon moi, ce que je vais partager avec vous aujourd’hui est tellement fondamental et tellement essentiel à notre vie de foi que si vous ne le comprenez pas, vous ne vivrez pas par la foi.
    Si vous ne vivez pas par la foi, vous ne pouvez pas être agréable à Dieu, car la Bible dit : « Sans la foi, il est impossible de lui être agréable. »
    Pas difficile, pas compliqué, c’est impossible d’être agréable à Dieu sans la foi.
    La Bible dit : « [Le juste vit] par la foi et non par la vue. »
    Nous allons nous plonger dans l’histoire de Jésus et de son ami Lazare, qui est mort. Je vais me baser sur quelques versets et vous donner un peu d’information à ce sujet.
    Jésus a dit quelque chose, il a prononcé quelques mots qui sont tellement remplis de vérité et de sens que, comme je l’ai dit, c’est littéralement fondamental pour notre marche dans la foi et fondamental pour être agréable à Dieu.
    Lazare, Marie et Marthe étaient frères et sœurs, et Jésus les aimait. Il allait séjourner dans leur maison à Béthanie.
    Jésus se trouve dans la région où ils habitent et les Juifs ont en quelque sorte été poussés à la rage par « des forces invisibles ».
    Évidemment, nous savons que le voleur [le diable] vient pour voler, égorger et détruire. Ils vont lapider Jésus, mais il s’échappe.
    Il s’en va et il a en quelque sorte quitté le chaudron bouillant de haine et de meurtre et les a laissés là, bouillonnants, voulant le tuer – mais il est parvenu à s’échapper.
    Juste après son départ, il reçoit un message de Marie et de Marthe lui annonçant que leur frère Lazare est malade et qu’il doit revenir immédiatement dans la région qu’il vient de quitter pour pouvoir venir en aide à son ami.
    L’histoire nous dit que lorsque Jésus finit par annoncer à ses disciples qu’ils doivent retourner voir Lazare, ils lui disent : « Maître, tout récemment les Juifs cherchaient à te lapider et tu retournes là-bas ? »
    Jésus dit des choses intéressantes en utilisant des métaphores et des symboles.
    Il dit : « J’ai la lumière du Saint-Esprit et cette lumière me dit qu’il n’y a plus de danger à y retourner maintenant. »
    Ils s’attendent à mourir avec lui. Thomas dit : « Allons-y, nous aussi, afin de mourir avec lui. »
    Voilà le résumé de la situation.
    L’histoire commence lorsque Jésus vient de partir et voici le message qui se trouve en Jean 11:1-4 :
    « Il y avait un homme malade ; c’était Lazare de Béthanie, le village de Marie et de sa sœur Marthe. (Marie était celle qui versa du parfum sur les pieds du Seigneur et qui les essuya avec ses cheveux ; c’était son frère Lazare qui était malade.)
    Les sœurs envoyèrent dire à Jésus : ‘Seigneur, celui que tu aimes est malade.’ À cette nouvelle, Jésus dit : ‘Cette maladie n’aboutira pas à la mort, mais elle servira à la gloire de Dieu, afin qu’à travers elle la gloire du Fils de Dieu soit révélée.' »
    Une autre traduction dit que ce sera l’occasion de manifester la gloire de Dieu, ou quelque chose comme ça.
    Versets 5 à 8 : « Or, Jésus aimait Marthe, sa sœur et Lazare. Quand il eut appris que Lazare était malade, il resta encore deux jours à l’endroit où il était.
    Puis il dit aux disciples : ‘Retournons en Judée.’ Les disciples lui dirent : ‘Maître, tout récemment les Juifs cherchaient à te lapider et tu retournes là-bas ?' »
    Jésus répond : « N’y a-t-il pas douze heures de jour ? Si quelqu’un marche pendant le jour, il ne trébuche pas. »
    Métaphoriquement et symboliquement il dit : « J’ai reçu l’illumination, nous pouvons maintenant y retourner en toute sécurité. »
    Les disciples n’ont pas compris tout cela, mais voilà.
    Jésus y retourne, et ils ont déjà déposé Lazare dans le tombeau. Il est bel et bien mort.
    Nous reprenons aux versets 38 à 44. Jésus se tient à l’extérieur du tombeau, il est écrit :
    « Jésus, de nouveau profondément indigné, se rendit au tombeau. C’était une grotte ; une pierre fermait l’entrée. Jésus dit : ‘Enlevez la pierre.’
    Marthe, la sœur du mort, lui dit : ‘Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu’il est là.’ Jésus lui dit : ‘Ne t’ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ?’
    Ils enlevèrent donc la pierre [de l’endroit où le mort avait été déposé]. Jésus leva alors les yeux et dit : ‘Père, je te remercie de ce que tu m’as écouté. Pour ma part, je savais que tu m’écoutes toujours, mais j’ai parlé à cause de la foule qui m’entoure, afin qu’ils croient que c’est toi qui m’as envoyé.’
    Après avoir dit cela, il cria d’une voix forte : ‘Lazare, sors !’ Et le mort sortit, les pieds et les mains attachés par des bandelettes et le visage enveloppé d’un linge. Jésus leur dit : ‘Détachez-le et laissez-le s’en aller.' »
    Jésus ramène donc Lazare à la vie.
    Jésus se tient devant le tombeau et dit : « Père, je te remercie de ce que tu m’as écouté. »
    Cela indique qu’il avait déjà prié et communiqué avec le Père à ce sujet : « Père, je te remercie de ce que tu m’as écouté », au passé.
    D’une certaine manière, l’histoire nous montre que Jésus avait communiqué avec le Père.
    Le message que Jésus a transmis aux messagers et que ces derniers devaient ramener à Marie et Marthe était le suivant : « Cette maladie n’aboutira pas à la mort, mais elle servira à la gloire de Dieu, afin qu’à travers elle la gloire du Fils de Dieu soit révélée. »
    Elle ne sera pas fatale, elle sera une occasion de montrer la gloire de Dieu.
    Jésus faisait une déclaration de foi, une déclaration qui résonne entre son cœur et le cœur du Père.
    Ce qu’il a dit a été suscité par le Saint-Esprit et en communion avec ce même Saint-Esprit.
    Je vous explique pourquoi je dis cela : en Jean 14:10, Jésus dit ceci :
    « Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même ; c’est le Père qui vit en moi qui fait lui-même ces œuvres. »
    Jésus a dit : « Les paroles que je prononce ne viennent pas de ma propre autorité, elles viennent du Père. »
    Jésus ne disait pas les choses au hasard et lorsqu’il a déclaré : « Cette maladie n’aboutira pas à la mort, mais elle servira à la gloire de Dieu, afin qu’à travers elle la gloire du Fils de Dieu soit révélée », il a dit cela sous l’inspiration du Saint-Esprit.
    Jésus a dit : « Je te remercie de ce que tu m’as écouté. » Mais attendez un peu.
    Qu’en est-il du témoignage de la famille de Lazare qui a vu qu’il était mort ?
    Qu’en est-il du médecin qui avait déjà déclaré qu’il était mort ?
    Qu’en est-il des circonstances, des faits physiques, et même de tes propres sens physiques, Jésus, qui te disent que cela n’a pas marché ?
    Le Père ne t’a pas écouté. C’est évident pour tout le monde.
    Tout et tous indiquent que cela n’a pas fonctionné.
    Tu as peut-être prié et tu as peut-être adressé des paroles au Père, mais Jésus, ça n’a pas marché. Lazare est mort, et il est mort depuis quatre jours. Tout le monde le sait.
    Mais cette courte prière nous révèle, comme je l’ai dit il y a un instant, l’un des principes les plus fondamentaux de la foi : nous devons croire que Dieu nous a écoutés, même quand, et surtout quand, il n’y a aucune preuve physique à l’appui.
    Nous devons apprendre à prononcer un mot extrêmement important au Père une fois que nous avons prié, et ce mot exprime la foi comme aucun autre : « Merci. »
    J’aimerais vous parler des ‘merci’ de la foi.
    Lisons Philippiens 4:6 : « Ne vous inquiétez de rien, mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, dans une attitude de reconnaissance. »
    Ne soyez pas inquiets à propos de quoi que ce soit : ni de vos enfants, ni de votre travail, ni de votre santé, ni de l’économie, ni de qui est au pouvoir, ni du gouvernement, ni de votre voisin qui conteste la limite de sa propriété, ni de ce qui se passe au travail.
    « Ne vous inquiétez de rien, mais en toute chose », mais en toute circonstance, en toute situation, « par des prières et des supplications »…la prière est un mot général pour désigner l’adoration et la prière, mais la supplication signifie une demande spécifique précise.
    Donc, en toute circonstance, faites votre demande précise et spécifique à Dieu dans une attitude de reconnaissance.
    En d’autres termes, lorsque vous priez, vous devez dire ‘merci’.
    Si vous n’avez pas appris à dire ‘merci’ après avoir prié, votre prière n’est pas encore terminée.
    « Faites connaître vos besoins à Dieu dans une attitude de reconnaissance. »
    Ensuite, il est écrit : « Et la paix de Dieu, qui dépasse tout ce que l’on peut comprendre, gardera votre cœur et vos pensées en Jésus-Christ. »
    Ainsi, lorsque nous prions, nous devons apprendre à dire ‘merci’.
    J’avais un ami qui s’appelait Norman Gordon. Norman est au ciel depuis plusieurs dizaines d’années.
    C’était un homme d’un certain âge lorsque j’ai fait sa connaissance, nous sommes devenus de bons amis et je l’ai souvent reçu à l’église.
    C’était un très grand prédicateur de foi et il avait travaillé dans les tentes de réveil des années 40 et 50 pour l’un des évangélistes guérisseurs itinérants les plus connus pendant le réveil de guérison qui a balayé notre pays dans ces années-là.
    C’était d’ailleurs le meilleur ami de cet homme qui possédait l’une des plus grandes tentes du pays à l’époque.
    On dit que cet évangéliste avait une foi téméraire.
    Mon ami Norman était opérateur à la caméra ce soir-là. Il filmait ce qui se passait avec de vieilles caméras.
    Il y avait une file pour la prière, les gens venaient un par un et l’évangéliste priait pour chacun d’entre eux. Un homme s’est approché de Norman.
    Il avait une grosse tumeur cancéreuse sur le visage, et Norman disait qu’elle était très difficile à regarder : elle était grande et difforme et n’était pas du tout jolie à regarder.
    Il est arrivé, l’évangéliste lui a imposé les mains, a prié pour lui et l’homme est retourné s’asseoir.
    Durant cet événement, chaque soirée de culte comportait un temps de témoignage.
    Les gens qui avaient été guéris lors d’une soirée précédente s’approchaient et disaient des choses comme : « Cela faisait 10 ans que je ne parvenais plus à me pencher, et regardez ça » et ils se penchaient.
    Une autre personne disait : « J’avais des béquilles et Dieu a guéri mes pieds » et ils donnaient leur témoignage.
    Cet homme, qui avait toujours une excroissance sur le visage, est entré dans la file pour témoigner le soir suivant.
    Lorsqu’il a pris le micro, il a dit : « Je veux juste témoigner qu’hier soir, lorsque frère Untel a prié pour moi, Dieu m’a guéri de l’excroissance que j’avais sur le visage. »
    Mon ami Norman disait que tout le monde se regardait et que c’était un peu gênant, car il était évident qu’elle était toujours là.
    « Tu ne peux pas dire que Dieu t’a guéri, car c’est toujours là. »
    Le soir suivant, il se lève à nouveau pour le moment de témoignage et dit : « Le premier soir de la campagne d’évangélisation, je suis allé dans la file pour la prière, on m’a imposé les mains, et j’ai été guéri de la tumeur cancéreuse sur mon visage. »
    Il a fait la même chose le troisième soir.
    Norman disait que c’était très gênant, surtout parce qu’il revenait s’asseoir dans la section où il s’asseyait et les gens à côté de lui le regardaient et secouaient la tête.
    Bref, le soir qui a suivi, je crois que c’était la quatrième soirée de la croisade, il est venu et son visage était tout à fait normal.
    Il avait une peau toute neuve sur son visage et l’excroissance était dans un bocal.
    Il se rasait, et parce que c’était si gros, il ne pouvait raser que les bords. Il y avait donc une sorte de moustache qui poussait à l’extérieur et qu’il ne pouvait pas vraiment raser à cause de l’excroissance qui poussait là.
    Il a dit : « J’étais en train de me raser et cette chose est tombée de mon visage dans le lavabo. Je me suis regardé dans le miroir et j’ai vu une peau toute neuve. Alors, je l’ai prise et je l’ai mise dans le bocal et la voilà. »
    Tout le monde a été envahi de joie et d’enthousiasme.
    Tout le monde demandait : « Quand est-ce arrivé ? Quand est-ce arrivé ? Quand est-ce arrivé ? » Je vais vous dire ce que cet homme a répondu.
    Il a dit : « C’est arrivé la première soirée, quand l’évangéliste m’a imposé les mains et a prié pour moi. C’est alors que j’ai été guéri. »
    Beaucoup de gens se grattaient la tête et ne comprenaient pas.
    Lui, en revanche, avait compris quelque chose à propos de la foi.
    Il a cru et il l’a reçue quand il a prié.
    Écoutez le verset suivant qui se trouve en 1 Jean 5:14 : « Nous avons auprès de lui cette assurance : si nous demandons quelque chose conformément à sa volonté, il nous écoute. »
    Le Seigneur Dieu nous entend.
    Si nous demandons quoi que ce soit selon sa volonté, nous pouvons avoir la certitude qu’il nous écoute.
    Le verset suivant dit : « Et si nous savons qu’il nous écoute, quelle que soit notre demande, nous savons que nous possédons ce que nous lui avons demandé. »
    Vous vous demandez peut-être comment savoir si ce pour quoi vous priez est la volonté de Dieu, car vous ne pouvez pas la connaître. Si, vous pouvez connaître la volonté de Dieu.
    Éphésiens 5:17 dit : « C’est pourquoi ne soyez pas stupides, mais comprenez quelle est la volonté du Seigneur. »
    Dieu ne nous demanderait pas de comprendre sa volonté si nous ne pouvions pas la connaître.
    En d’autres termes, la Parole de Dieu est sa volonté. S’il a promis quelque chose, c’est sa volonté.
    Dieu ne fait pas de promesses qu’il n’a pas l’intention de tenir.
    Rappelez-vous que Jésus a dit également : « Quand le Saint-Esprit sera venu, il ne parlera pas de lui-même, il prendra les choses du Père et les choses du Fils et il vous les révèlera et vous annoncera les choses à venir. Lorsque le Saint-Esprit viendra, il vous guidera et vous parlera.
    Comprenons donc qu’il y a également des choses spécifiques, peut-être spécifiques à notre situation ou à l’appel particulier de notre vie, que le Saint-Esprit nous révèlera comme étant la volonté de Dieu et son plan pour nous.
    Par exemple, je suis pasteur d’une église et il y a des choses que l’Esprit de Dieu m’a chuchotées il y a de nombreuses années dans la prière et dont je savais qu’elles allaient se réaliser.
    Chacune de ces choses s’est réalisée.
    Pourtant, il ne s’agit peut-être pas d’une promesse scripturale qui s’appliquera à quelqu’un dans un autre domaine ou à quelqu’un d’autre, mais ce sont des choses que je sais que Dieu a mises dans mon cœur.
    C’était sa volonté, et il me l’a révélée.
    Mais il y a des choses que les Écritures nous enseignent spécifiquement et qui nous appartiennent en tant que croyants, et qui font partie de notre héritage, des choses que Dieu nous a promises en tant que croyants du Nouveau Testament.
    S’il les a promises, c’est qu’elles sont sa volonté.
    1 Jean 5:15, tiré de l’Amplified Classic en anglais dit :
    « Et si nous savons [indéniablement] qu’il nous écoute, quelle que soit notre demande, nous savons également [avec une connaissance ferme et absolue] que nous possédons [nous avons reçu comme nos biens présents] ce que nous lui avons demandé. »
    Si j’ai prié selon la volonté de Dieu, quelque chose qui est clairement révélé dans sa Parole, comme faisant partie de son plan pour moi, en tant que membre de son Église, en tant que corps de Christ, en tant que membre de la famille de Dieu lavé par le sang et racheté, je sais indéniablement qu’il m’écoute, peu importe ce que j’ai demandé.
    Je voudrais le relire : « Nous savons également [avec une connaissance ferme et absolue] que nous possédons [nous avons reçu comme nos biens présents] ce que nous lui avons demandé. »
    Avant même de les voir, avant de les toucher, de les goûter, de les manipuler, nous savons, nous avons reçu comme nos biens présents ce que nous lui avons demandé.
    Ce verset contient deux « nous savons » : nous savons qu’il nous écoute et nous savons que nous possédons.
    Jésus a dit : « Père, je sais que tu m’écoutes toujours. » Il a dit: « Je le sais. »
    Ces versets en 1 Jean 5 disent : « Nous savons. » Définitivement, avec confiance, nous savons.
    Lorsque nous savons que le Père nous écoute, même lorsque nous sommes confrontés à des preuves qui disent le contraire, notre cœur et nos lèvres continuent de dire ‘merci’.
    J’ai un ami qui se trouve être un pasteur.
    Il m’a raconté une histoire un jour, lorsque je l’avais invité à parler dans notre église. C’était il y a très longtemps, probablement il y a 30 ans, peut-être 30 ans.
    Il a raconté qu’il avait une terrible maladie de peau.
    Il disait que c’était inesthétique.
    Il a dit que cela le démangeait comme le feu. Il disait qu’il avait l’impression que son corps était en feu 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
    Il utilisait des crèmes et des pommades et il allait chez le médecin, qui lui prescrivait toutes sortes de choses, mais rien ne marchait, rien ne se passait.
    Il priait sans cesse, mais n’était pas soulagé.
    Il m’a dit : « Puis, un jour, j’ai compris quelque chose. »
    Il a parlé de Marc 11:23-24.
    Marc 11:24, version Segond 21 dit : « C’est pourquoi je vous le dis : tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu et cela vous sera accordé. »
    Il s’est alors dit : « Attends un peu. Je voulais l’avoir, et seulement ensuite croire que je l’ai reçu. Je voulais recevoir une manifestation physique. »
    Il a dit : « Voilà comment j’avais compris cela. Je pensais qu’une fois que les rougeurs, les bosses et tout le reste auraient disparu et que les démangeaisons auraient disparu, je l’aurais reçu et j’aurais remercié Dieu. Mais cela ne s’est jamais produit.
    Semaine après semaine, mois après mois, année après année, j’ai prié. J’ai essayé de me faire soigner médicalement. Rien ne s’est passé. »
    Il a ajouté : « Ce jour-là, en lisant les paroles de Jésus, j’ai compris : ‘C’est pourquoi je vous le dis : tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu – [pendant que vous priez] – et cela vous sera accordé. »
    Tout à coup, il avait compris que son rôle était de croire qu’il recevait la guérison.
    Il a donc prié et il s’est basé sur les Écritures qui disent : « C’est par les blessures de Jésus que j’ai été guéri et il a porté mes souffrances et il s’est chargé de mes douleurs. »
    Il a dit : « J’ai vu que le travail était déjà fait, mais je ne l’avais jamais reçu par la foi.  »
    Hébreux 11:1 : « Or la foi, c’est la ferme assurance des choses qu’on espère, la démonstration de celles qu’on ne voit pas. »
    Si nous pouvons le voir, nous n’avons pas besoin de foi.
    Jusqu’à ce que cela se manifeste, ma preuve est la promesse de Dieu. Ma preuve, c’est la Parole de Dieu.
    « La foi, c’est la ferme assurance des choses qu’on espère, la démonstration de celles qu’on ne voit pas. »
    Il a dit : « Voilà ce que j’ai fait. J’ai prié. Père, pardonne-moi pour toutes ces prières. Toutes ces années, j’ai prié dans l’incrédulité, en espérant et en attendant que tu le fasses. J’allais attendre et attendre et dire ‘merci’ une fois que tu l’aurais fait, mais j’ai réalisé que je devais croire que je le recevais maintenant. »
    Il a donc dit : « Père, selon ta Parole, selon ce que tu as déclaré, Jésus a porté mes souffrances et s’est chargé de mes douleurs. Je reçois maintenant par la foi la réponse. Je crois qu’elle m’a été accordée. Je te remercie de m’avoir guéri. Je te remercie de m’avoir écouté. Je te remercie de l’avoir fait ».
    Il n’y avait aucune preuve physique que quelque chose avait changé… mais, en l’espace de 48 ou 72 heures, cette maladie avait disparu, elle était partie et n’est plus jamais revenue.
    Il a dit : « J’ai alors compris qu’espérer que cela se produise dans le futur, attendre que Dieu le fasse, continuer à prier pour qu’il le fasse et attendre pour dire ‘merci’ une fois que c’est arrivé, ce n’était pas de la foi.
    La foi, c’était me tenir comme Jésus devant le tombeau de Lazare et dire : « Père, je te remercie de ce que tu m’as écouté. »
    Janet et moi sommes mariés depuis 42 ans, bientôt 43 ans.
    Au tout début de notre mariage, j’étais pasteur adjoint dans une église et mon salaire était de 300 dollars par mois, ce qui est évidemment beaucoup plus – était beaucoup plus – à l’époque qu’aujourd’hui.
    Je travaillais aussi à côté comme vitrier. J’étais installateur de vitres.
    Janet travaillait quelques jours par semaine comme infirmière.
    Entre nos deux salaires, nous avions de quoi payer le loyer de notre petit appartement, toutes les charges et mettre de la nourriture sur la table.
    Bien sûr, nous avons toujours donné la première partie à la maison de Dieu.
    Mais nous n’avions pas beaucoup de surplus. Nous vivions avec une marge très mince.
    Nous étions de jeunes mariés et nous n’avions jamais pris de vacances. J’étais dans l’Église depuis un an et j’avais une semaine de congé.
    J’avais une petite Volkswagen à l’époque, et nous allions prendre nos toutes premières vacances ensemble, car j’avais une semaine entière de congé.
    Elle avait également obtenu des congés cette semaine à l’hôpital.
    Nous n’avions pas d’argent, mais nous avions prévu de remonter la côte californienne et la côte de l’Oregon, jusqu’à Washington.
    Nous allions dormir dans la voiture, car nous n’avions pas d’argent pour payer un hôtel. Nous n’avions même pas de quoi payer une nuit d’hôtel.
    À l’époque, les hôtels n’étaient pas chers et nous avions à peine assez d’argent pour acheter un peu de nourriture en chemin.
    Nous avons calculé ce que coûteraient l’essence et la nourriture pour tout le trajet et nous allions dormir dans ma voiture.
    Nous allions trouver des endroits où nous arrêter sur la route et des petites plages où nous garer et nous dormirions à l’arrière de la voiture.
    Nous pouvions faire ça pour 400 dollars.
    Je pense que nous avions environ 20 dollars à nous deux à l’époque. Nous avions payé toutes nos factures. Tout était en ordre. Nous étions heureux.
    Nous avons donc prié et demandé à Dieu : « Seigneur, nous allons prendre ces vacances. Nous avons besoin de 400 dollars. Nous te demandons de nous les fournir au nom de Jésus. »
    Nous avons prié pendant plusieurs jours, mais nous n’avons pas su gagner l’argent qui nous manquait.
    Le jour du départ, nous avons préparé la voiture.
    Quelqu’un nous a appelés et nous a dit : « Avant de partir, pourriez-vous passer par chez nous ? Nous voulons juste vous dire au revoir. On se reverra à la fin de la semaine, mais on voulait vous souhaiter bon voyage. »
    Nous sommes montés dans la voiture et nous allions partir par la foi. Donc, avec les 27 dollars ou les 28 dollars que nous avions. C’est véridique.
    Nous nous mettons donc en route.
    Nous avons prié et remercié Dieu en disant : « Père, merci pour ces 400 $. » Nous l’avons remercié et loué pour cela.
    Nous nous sommes arrêtés chez ces personnes, et je dis : « Vous vouliez nous voir ? Nous sommes sur le point de partir. »
    Ils ont répondu : « Dieu nous a parlé et nous devons vous donner quelque chose. » Ils m’ont donné une enveloppe et ont dit : « C’est tout. Vous pouvez partir. »
    Nous reprenons la route, nous descendons la rue et Janet ouvre l’enveloppe qui contenait exactement 400 dollars.
    Nous avons passé de merveilleuses vacances. Nous avons dormi sur des petites plages, et une fois dans un parking.
    Je me souviens qu’à Washington, nous avons acheté un morceau de saumon fumé.
    Nous n’avions besoin que de 400 dollars, mais nous avons appris à dire le ‘merci’ de la foi.
    Mon ami, la foi dit ‘merci’ avant que la manifestation physique n’arrive, avant que les choses ne changent.
    Le juste vivra par la foi. Sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu.
    Alors, je veux vous encourager à marcher par la foi, la foi dans les promesses de Dieu, la foi dans ses déclarations, et non par la vue.

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