L’assurance au milieu des troubles politiques

Personne n’aime être confronté aux troubles politiques. Bayless Conley nous rappelle que c’est Dieu qui a le dernier mot quelles que soient les personnes qui sont au pouvoir. Découvrez dans ce message comment gérer la situation actuelle du monde selon la perspective divine.

  • Je suis ravi que vous soyez là.
    Nous allons reprendre un message que nous avons commencé la dernière fois, mais le message d’aujourd’hui se suffit à lui-même.
    Nous parlions de placer notre confiance en Dieu au milieu des bouleversements politiques.
    Il se passe toujours des choses politiques et gouvernementales que les gens n’aiment pas.
    Parfois, les gens n’aiment pas cela pour de très bonnes raisons, mais nous pouvons faire confiance à Dieu indépendamment de ce qui se passe.
    Ce message va vous apporter quelque chose.
    Si vous avez une Bible, prenez-la et étudions la Parole ensemble.

    1 Pierre 5:8-9a :
    « Soyez sobres, restez vigilants : votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer. Résistez-lui avec une foi inébranlable. »
    Qu’il s’agisse des lions du manque qui menacent de dévorer vos finances.
    Qu’il s’agisse des lions de la maladie qui menacent de dévorer votre santé.
    Qu’il s’agisse des lions du conflit qui menacent de détruire votre foyer heureux.
    Quoi que ce soit, résistez-lui avec une foi inébranlable.
    La foi vient de ce qu’on entend et ce qu’on entend vient de la parole de Dieu.
    Résistez au diable par la Parole.
    Éphésiens 6 dit que nous ne luttons pas contre l’homme, mais contre les puissances, les autorités, les souverains de ce monde de ténèbres, etc.
    Nous devons tenir ferme contre les manœuvres du diable.
    Il est également mentionné que nous devons prendre l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu.
    Dans la langue grecque, dans le Nouveau Testament, deux mots de base sont utilisés pour traduire notre mot français, mot, M-O-T.
    Le premier est logos.
    Il signifie ‘les écrits collectifs de Dieu’, la parole de Dieu.
    Mais il y a un autre mot qui est beaucoup plus rare et c’est le mot grec, rhema.
    Rhema signifie littéralement ‘la parole prononcée’.
    La Parole de Dieu lorsqu’elle est prononcée à haute voix.
    C’est le mot utilisé en Éphésiens 6.
    Nous devons prendre l’épée de l’Esprit, c’est-à-dire la Parole de Dieu prononcée à haute voix.
    Vous devez mettre la Parole dans votre cœur, puis la porter à vos lèvres pour qu’elle devienne une épée.
    Elle devient une arme dans votre vie.
    Imaginez Jésus-Christ qui se trouve dans le désert.
    Jésus est dans le désert, où il est tenté par le diable.
    Satan lui dit : « Si tu es vraiment le Fils de Dieu… »
    C’est intéressant, car la dernière chose que Dieu a dite quand Jésus a été baptisé, c’est : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, qui a toute mon approbation. »
    Jésus va dans le désert et la première chose que fait le diable, c’est de contester ce que Dieu a dit, comme il le fait toujours.
    Quelle que soit la promesse de Dieu, le diable vient et dit : « Si ».
    « Si tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains. »
    Jésus a répondu : « Il est écrit : ‘L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.' »
    Jésus a prononcé la Parole.
    C’était l’épée de l’Esprit.
    Dans toutes les tentations qui se sont présentées à lui, Jésus a répondu à haute voix en mettant la Parole de Dieu dans sa bouche.
    Si vous avez une histoire d’amour avec votre Bible, si vous la mettez dans votre cœur et si vous la laissez passer sur vos lèvres, cela changera votre vie, elle changera votre monde.
    Il y a une puissance dans la Parole de Dieu.
    Vous pouvez lui faire confiance.
    J’ai lu une histoire il y a quelque temps.
    La commission des parcs a été informée qu’elle devait faire enlever plusieurs arbres le long d’une autoroute parce que cette autoroute allait être élargie.
    C’était un gros chantier.
    Quelqu’un décroche le contrat et arrive sur le tronçon d’autoroute.
    Le contremaître remarque qu’il y a un nid de rouges-gorges avec une maman rouge-gorge assise dedans.
    Il est pris d’une compassion inhabituelle, qui ne lui ressemble pas du tout.
    Il dit à son équipe : « Ne touchez pas à cet arbre. Nous y reviendrons plus tard. »
    Tout le monde trouvait ça étrange, mais ils ont obéi.
    Ils y sont revenus plus tard, et il y avait à présent plusieurs oisillons dans le nid.
    La maman rouge-gorge nourrissait ses bébés.
    Le contremaître, une fois de plus, très inhabituellement, dit : « Gardons cet arbre pour la fin. »
    Les ouvriers ont trouvé cela étrange, mais ils l’ont fait.
    Quand ils sont revenus, les oisillons étaient tous partis ; le nid était vide.
    Il a alors ordonné d’abattre l’arbre.
    L’un des ouvriers est monté chercher le nid.
    Quelque chose qui se trouvait au fond du nid avait attiré son attention.
    C’était un morceau de papier qui avait été tissé dans le nid par la mère rouge-gorge.
    Il l’a retirée, a nettoyé la boue, et c’était une carte d’école du dimanche.
    Voici les seuls mots qui y figuraient : « Nous avons confiance en l’Éternel, notre Dieu. »
    Mon ami, vous avez plus de valeur pour Dieu qu’un oiseau.
    Il vous protégera si vous placez votre confiance en lui.
    Voici la quatrième chose que nous constatons à propos de Daniel, qui est importante.
    Il savait qu’en fin de compte, c’est Dieu qui règne dans le royaume des hommes.
    Il a interprété plusieurs rêves pour Nebucadnetsar.
    Dans le second, lorsque Nebucadnetsar lui a raconté le rêve, Daniel a dit : « Roi, j’espère que l’interprétation de ce rêve s’appliquera à quelqu’un d’autre et non à toi. »
    Il lui dit : « Voici le conseil que je te donne. Tu dois mettre fin à tes péchés. Cesse de vivre dans la méchanceté et honore Dieu. »
    Nebucadnetsar n’a pas voulu l’écouter.
    L’interprétation du rêve était la suivante : « À cause de ton orgueil, à cause de ton péché, tu vas perdre la tête pendant sept ans.
    Tu vivras comme une bête sauvage. On te chassera dans le désert, et tu vivras comme une bête sauvage pendant sept ans, jusqu’à ce que tu reconnaisses que Dieu règne sur le royaume des hommes, et qu’il le donne à qui il veut. »
    Le roi ne s’est pas repenti.
    Au contraire, il surplombe Babylone et ses jardins suspendus, l’une des merveilles du monde antique.
    Il dit : « Regardez tout ce que j’ai fait. Je suis le plus grand souverain du monde. »
    À ce moment-là, un observateur, un ange, a parlé, et il a perdu la tête.
    Il découvre que Dieu règne sur le royaume des hommes.
    Auparavant, Dieu avait montré à Daniel qu’un certain nombre d’empires entreraient en scène, puis disparaîtraient.
    Et à la fin, Dieu établirait son royaume dans ce monde, un royaume qui sera éternel.
    Daniel savait que Dieu avait un plan, et il croyait qu’il s’accomplirait quoi qu’il arrive.
    Dieu a toujours un plan, mon ami, et il s’accomplira.
    Il s’accomplira.
    Je ne préconise pas pour autant une attitude du type « Advienne que pourra ».
    Je pense que les croyants doivent voter, qu’ils doivent prier et que nous devons faire tout ce que nous sommes amenés à faire sur le plan civique pour que des leaders pieux occupent des postes d’autorité dans nos communautés et dans notre pays.
    Mais je vous le garantis, peu importe qui est au pouvoir, peu importe le parti qui a la majorité, je n’aurai pas peur parce que, en fin de compte, Dieu accomplira son dessein.
    Ses plans ne peuvent être contrecarrés.
    Voici un autre point, que certains aimeront alors que d’autres beaucoup moins.
    Cinquièmement, Daniel est resté stable dans des temps instables parce qu’il était fidèle et qu’il avait un esprit d’excellence.
    Il était fidèle et il avait un esprit d’excellence. Daniel 6:4-5 :
    « Et ce Daniel surpassa les présidents et les satrapes, parce qu’il y avait en lui un esprit extraordinaire ; et le roi pensa à l’établir sur tout le royaume.
    Alors les présidents et les satrapes cherchèrent à trouver dans l’administration du royaume quelque sujet d’accusation contre Daniel ; et ils ne pouvaient trouver aucun sujet d’accusation ni aucune faute, parce qu’il était fidèle ; et aucun manquement ni aucune faute ne se trouva en lui. »
    Le livre des Proverbes dit : « Un homme fidèle est comblé de bénédictions. »
    Dieu récompense la fidélité, et ce n’est pas basé sur l’économie ; ce n’est pas basé sur le gouvernement ; ce n’est pas basé sur les amis que nous connaissons.
    Le maître du ciel et de la terre sait comment prendre soin de ses enfants fidèles.
    Il a pris soin de Daniel, et tout comme il a pris soin de Daniel, Dieu peut prendre soin de nous, peu importe qui est au pouvoir.
    Tout au long de 12 administrations, Daniel a été béni, a servi Dieu, a réalisé son objectif de vie et ses besoins ont été satisfaits.
    Peu importe ce qui se passait autour de lui.
    Dieu peut faire la même chose pour nous.
    Nous comprenons que Daniel était fidèle dans les domaines spirituels : dans la prière, le service de Dieu et la dévotion.
    Mais lorsque les Écritures parlent de la fidélité de Daniel, elles parlent de sa fidélité envers les hommes.
    Il est question de sa fidélité dans son travail dans le royaume de Babylone.
    Nous avons tendance à segmenter et à compartimenter notre vie en séparant le domaine spirituel du domaine naturel.
    « J’ai ma vie d’église, et puis j’ai ma vie normale ».
    Dieu ne voit pas les choses de cette façon : c’est notre vie tout entière.
    Il ne fait pas de distinction entre le sacré et le profane.
    Il est tout aussi important pour Dieu que nous soyons fidèles à l’extérieur de ces quatre murs que nous le soyons au sein de notre propre communauté à l’intérieur de ces murs.
    Dieu a mis l’accent sur la fidélité de Daniel dans son travail, ce qui pour nous, comme pour lui, avait à voir et a à voir avec le fait de tenir sa parole, de remplir ses fonctions de manière ponctuelle et compétente, de garder les choses confidentielles confidentielles, d’être loyal et d’être honnête.
    Cela nous amène à un point connexe, le revers de la médaille.
    Daniel avait un esprit d’excellence. Il avait un excellent esprit.
    Cela parle littéralement de sa manière de vivre et de son attitude.
    Le mot « excellence » vient du mot exceller et, comme nous le trouvons ici, il signifie littéralement aller au-delà de ce qui est attendu, faire un meilleur travail que ce qui est attendu, et faire plus que ce qui est nécessaire.
    Daniel excellait dans tout ce qu’il faisait, c’était sa manière de vivre.
    Il ne se contentait pas de la médiocrité en quoi que ce soit.
    Il est allé au-delà du statu quo et il a accompli un travail supérieur dans tout ce qu’il a fait.
    Certains chrétiens, en revanche, sont plutôt médiocres.
    Ce sont des travailleurs médiocres, non pas parce qu’ils doivent l’être, mais parce qu’ils choisissent de l’être.
    Ils surveillent l’horloge lorsqu’il s’agit de leur travail et ils en font juste assez pour s’en sortir.
    Mon ami, nous devrions avoir un esprit d’excellence.
    Je pense que les paresseux devraient être renvoyés.
    C’est vrai.
    Vous volez les gens pour qui vous travaillez.
    Ils vous paient pour un certain nombre d’heures et vous passez une demi-heure de plus pour déjeuner, vous arrivez en retard, vous partez en avance, vous êtes distraits par votre téléphone et vous faites toutes sortes de choses pendant que votre patron vous paie.
    Ce n’est pas l’excellence, ce n’est pas la voie de Dieu et cela ne représente pas Christ.
    Nous devons avoir un esprit d’excellence et être fidèles au travail.
    Vous devez être le travailleur le plus acharné à votre travail.
    Vous devez avoir la meilleure attitude et aller au-delà de ce qui est demandé dans tout ce que vous faites.
    Vous devez être le premier à arriver, le dernier à partir, avoir une bonne attitude et faire prospérer l’endroit où vous travaillez et vous devez parler d’eux en bien.
    La Bible dit : « Tout ce que vous faites, faites-le comme pour le Seigneur. »
    Si je prépare un document, je dois le préparer comme si Christ allait le lire.
    Si je vends des chaussures, je dois les vendre comme si Christ allait les porter.
    Si je donne un cours, je dois l’enseigner comme si Christ était assis dans cette salle de classe.
    Quoi que je fasse, je dois le faire comme pour le Seigneur, je dois le faire avec excellence.
    Si je nettoie une maison, je dois le faire comme si Jésus allait dormir dans le lit et comme s’il allait vivre dans cette maison.
    Nous devons avoir un esprit d’excellence, et c’est grâce à cela que Daniel a prospéré.
    Si nous avons ce genre d’esprit, ce genre d’attitude, ce genre de perspective, il y a de fortes chances que si les temps deviennent durs, si les temps économiques deviennent durs, vous serez celui qui aura encore un emploi.
    Ils passeront outre tous les faiseurs d’excuses paresseux pour vous trouver vous, car les gens découvrent très rapidement quel type de travailleur et quel type d’employé vous êtes vraiment.
    Je suis sur le point de dire quelque chose que je pourrais regretter.
    Je sais que certains disent : « Dis-le ! Dis-le ! »
    Je vais laisser libre cours à votre imagination.
    Sixièmement, Daniel a étudié la Parole de Dieu et lui a obéi.
    Il a étudié la Parole et il a agi en conséquence.
    C’est très important.
    En Daniel 9, sous le règne de Darius le Mède, au verset 2 et 3, il est écrit :
    « La première année de son règne, moi, Daniel, je me suis aperçu dans les livres que le nombre d’années indiqué par l’Éternel au prophète Jérémie pour la durée de la dévastation de Jérusalem était de 70.
    Je me suis tourné vers le Seigneur Dieu en le recherchant avec des prières et des supplications, en jeûnant et en me couvrant d’un sac et de cendre. »
    Il étudiait les rouleaux de Jérémie, et il s’est rendu compte que Dieu avait dit par Jérémie : « Mon peuple sera en captivité à Babylone pendant 70 ans. »
    Il lit cela, et la première chose qu’il fait, c’est de prier, et il a prié de tout son cœur, dans le jeûne, en prenant le sac et la cendre.
    Ce n’était pas une prière en demi-teinte. Pourquoi ?
    Eh bien, lisons ce que Daniel a lu.
    Ce sont les mots mêmes que Daniel a lus dans la lointaine Babylone, après 70 ans d’exil.
    Jérémie 29:10-14.
    Daniel l’a lu et nous aussi.
    « En revanche, voici ce que dit l’Éternel : ‘Dès que 70 ans seront passés pour Babylone, j’interviendrai en votre faveur, j’accomplirai ce que je vous ai promis en vous ramenant ici.
    En effet, moi, je connais les projets que je forme pour vous, déclare l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance.
    Alors vous m’appellerez et vous partirez, vous me prierez et je vous exaucerai. Vous me chercherez et vous me trouverez, parce que vous me chercherez de tout votre cœur.
    Je me laisserai trouver par vous, déclare l’Éternel, et je ramènerai vos déportés. Je vous rassemblerai de toutes les nations et de tous les endroits où je vous ai chassés, déclare l’Éternel, et je vous ferai revenir à l’endroit d’où je vous ai fait partir en exil. »
    C’était une promesse assortie d’une condition.
    La plupart des promesses de Dieu sont assorties de conditions.
    Elles ne s’accomplissent pas automatiquement, il faut les saisir par la foi.
    La Bible dit en Hébreux 11, à propos de certains héros et héroïnes de la foi : « C’est dans la foi qu’ils ont reçu les promesses. »
    Daniel lit le rouleau de Jérémie et se dit : « Quoi ? 70 ans ?! Mais cela fait 70 ans ! »
    Mais Dieu dit : « Tu dois me chercher de tout ton cœur. Alors je viendrai, et je vous ramènerai dans ce pays. »
    Alors, que fait Daniel ? Il agit immédiatement sur base de la Parole de Dieu.
    Il se met immédiatement à prier dans le jeûne, le sac et la cendre et si nous avions le temps, nous lirions sa prière.
    Il s’est mis à genoux, il a prié, il a intercédé pour la nation et il a cherché la face de Dieu.
    Dieu a tenu sa promesse et les a ramenés sur la terre d’Israël, parce que Daniel a étudié la parole de Dieu et l’a immédiatement mise en pratique.
    Jésus a dit : « Toute personne qui entend ces paroles que je dis et les met en pratique, je la comparerai à un homme prudent qui a construit sa maison sur le rocher. La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont déchaînés contre cette maison ; elle ne s’est pas écroulée, parce qu’elle était fondée sur le rocher. »
    C’est l’image de la stabilité.
    C’est l’image de la permanence, de la force.
    Laissons souffler les vents de l’adversité politique.
    L’économie peut prospérer comme elle peut s’écrouler.
    Mais vous savez quoi ?
    Si nous écoutons et mettons en pratique la Parole de Dieu, nous resterons stables en des temps instables.
    Dieu est toujours un Dieu qui répond à la foi et récompense la fidélité.
    Si vous ne le connaissez pas, vous pouvez le connaître.
    Voici la bonne nouvelle de l’Évangile : lorsque nous ne pouvions pas nous élever jusqu’à Dieu, il s’est abaissé jusqu’à nous.
    Le monde entier avait péché, et comme Dieu est un Dieu de sainteté, il ne peut être associé à une humanité qui est devenue pécheresse et qui a violé sa nature juste.
    Cependant, Dieu n’est pas seulement saint.
    Il est aussi un Dieu d’amour.
    En raison de sa sainteté, il ne peut pas ignorer nos péchés.
    Mais à cause de son amour, il ne nous a pas ignorés.
    Il a envoyé son propre Fils, né d’une vierge, qui a vécu une vie sans péché.
    Il a montré aux foules comment Dieu était vraiment ; qu’il n’était pas distant et froid, et qu’il ne jetait pas juste de temps en temps un regard clinique et froid sur le monde qu’il a créé.
    Il était proche.
    Jésus l’a appelé Père ; personne n’avait jamais entendu cela.
    Il a dit : « Votre Père céleste connaît vos besoins.
    Aucun moineau ne tombe à terre sans que votre Père céleste ne le voie et vous avez plus de valeur que beaucoup de moineaux. »
    Jésus a dit qu’il avait compté les cheveux de votre tête ; personne n’avait jamais entendu une telle chose.
    « Quel genre de Dieu est-ce pour qu’il l’appelle Père ? Il dit qu’il prend soin de nous. »
    Ensuite, Jésus a été pris par des mains jalouses, soumis à un faux procès et crucifié.
    Le Fils innocent de Dieu a été suspendu à la croix.
    Le ciel s’est assombri et il s’est soudain écrié : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
    À ce moment-là, le Père avait tourné le dos à son Fils.
    Ils avaient joui d’une communion ininterrompue depuis l’éternité.
    Dieu a déposé le péché du monde sur Jésus.
    La peine, le jugement et la colère de Dieu contre nos péchés sont tombés sur Jésus.
    Il est mort sous le poids de nos péchés.
    Après trois jours et trois nuits, les exigences de la justice éternelle de Dieu ont été satisfaites et Jésus est ressuscité des morts.
    La Bible dit que si vous croyez cela et si vous l’invitez dans votre vie comme votre Seigneur, si vous lui soumettez votre cœur, Dieu vous fait entrer dans une relation que les Écritures appellent le salut.
    Il ne s’agit pas de cérémonies ennuyeuses ni de rituels futiles.
    Il ne s’agit pas d’une liste interminable de choses que vous n’avez plus le droit de faire.
    Il s’agit de marcher et de parler avec votre Créateur.
    Chacun d’entre vous, chacun d’entre nous, a déjà senti intérieurement qu’il manquait quelque chose.
    Toute ma vie, depuis que je suis tout petit, j’ai cherché Dieu, sans le savoir.
    Ma mère m’a dit : « Quand tu avais quatre ans, je pensais que tu allais devenir prêtre, parce que tu me posais des questions sur Dieu dont je n’avais pas les réponses. »
    J’ai fini par adopter un mode de vie marqué par la toxicomanie et l’alcoolisme pendant de nombreuses années.
    Mais en réalité, je faisais tout cela par frustration, car je cherchais la vérité.
    Je me suis retrouvé dans une mission de rue après qu’un petit garçon de 12 ans m’a parlé de Jésus.
    Je n’avais jamais entendu l’Évangile auparavant.
    Et ce soir-là, dans cette mission de rue, il y a de nombreuses années, j’ai donné ma vie à Jésus.
    Certains ont posé leurs mains sur moi et ont prié pour moi, mais je ne comprenais pas ce qu’ils faisaient, et depuis ce jour, je n’ai plus jamais consommé de drogue.
    Pas une seule fois. Pas une seule fois.
    Vous vous identifiez peut-être à mon histoire.
    Peu importe à quel point vous avez été mauvais ou à quel point vous avez essayé d’être bon, nous ne pouvons pas mériter le don du salut.
    Il ne s’obtient que par la grâce de Dieu.
    J’aimerais vous guider dans une prière simple.
    C’est tout ce que je peux faire ; je peux vous donner les mots d’une prière.
    Ils ne signifieront rien si vous ne faites que les dire simplement, mais si vous y attachez votre cœur, si vous êtes sincère et si vous les adressez à Dieu, cela vous changera.
    L’un de mes amis proches était héroïnomane.
    Quelqu’un l’a mis dans un avion pour Teen Challenge, je pense que c’était à New York.
    Il était assis à l’arrière et il ne savait pas pourquoi il était là.
    Il consommait de l’héroïne depuis des années.
    C’était le seul nouveau venu.
    Il m’a raconté que le responsable de l’étude biblique avait dit : « Il y a une personne ici qui doit d’abord accepter Christ, et nous irons dîner après. »
    Les types à côté de lui lui faisaient du coude en disant : « Allez, vas-y, on a faim. »
    Il a fini par y aller, mais uniquement parce que les autres le harcelaient.
    Mais entre le moment où il s’est levé de son siège et celui où il est arrivé devant et s’est agenouillé, il a dit : « Bayless, je suis devenu sérieux. En 20 pas, je suis devenu sérieux. J’ai demandé à Christ d’entrer dans ma vie. »
    Il est devenu missionnaire. Sa femme et lui sont tous deux des missionnaires qui changent le monde.
    Vous pouvez devenir sérieux en un instant.
    Si cela vous aide et si vous le voulez, inclinez la tête et fermez les yeux.
    Je pense que c’est parfois utile.
    Dites ces mots à Dieu : « Oh Dieu, je viens à toi.
    Je crois. Je crois que Jésus est ton Fils.
    Qu’il est venu dans ce monde et qu’il est mort sur la croix afin de payer pour mes péchés.
    Jésus, merci de m’aimer et de ne pas me laisser à l’écart.
    Je mets ma confiance en toi.
    Car je crois que tu es ressuscité d’entre les morts.
    Maintenant, du mieux que je le sache, je meurs à mon droit de vivre de manière indépendante,
    et je t’appelle Seigneur.
    Tout ce que je suis et tout ce que j’ai, je le remets entre tes mains, Jésus.
    À partir de maintenant, je te suivrai.
    Amen. Amen. »
    J’espère que vous venez de faire cette prière avec moi.
    Si vous l’avez fait et que vous le pensiez d’un cœur sincère, Dieu vous a entendu, et maintenant vous lui appartenez.
    Vous faites partie de sa famille.
    Nous aimerions avoir de vos nouvelles.
    Si vous n’avez pas de bonne église dans votre région, nous pouvons peut-être vous aider à en trouver une.
    Nous sommes en contact avec beaucoup d’églises dans beaucoup d’endroits différents, mais vous devez savoir que le Seigneur ne vous quittera jamais. Il ne vous abandonnera jamais.
    Vous pouvez lui faire confiance en toutes circonstances et dans toutes les situations.
    Vous avez peut-être fait de terribles erreurs dans la vie, et vous vous demandez : « Dieu, y a-t-il un moyen de ressusciter telle chose ou de réparer telle autre ? »
    Écoutez, il redresse ce qui est tordu.
    Rien n’est trop difficile pour Dieu.
    Mettez votre confiance en lui.
    Si vous n’avez pas de Bible, procurez-vous-en une et commencez à la lire.
    Ayez une histoire d’amour avec le Livre de Dieu et apprenez à connaître Jésus de mieux en mieux.
    Nous vous aimons.

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    1. Que le Seigneur vous bénisse et vous garde dans sa grâce et son amour.
      Merci beaucoup pour ce message qui m’a vraiment interpellé, par apport à la situation que nous vivons dans notre pays, en tant que chrétiens nous sommes lésé, marginalisé et persécuté. Mais cela ne va pas nous effreye ou nous éloigne de l’amour de Dieu. Et nous avons toutes notre confiance en celui qui nous a aimé notre Seigneur et Sauveur Jésus christ. Nous savons qu’il est au contrôle de toutes choses, et qu’il est au dessus de toutes autorités politiques. A lui soit la gloire et honneur aux siècles des siècles Amen

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