Jesus, le Prince de paix

Voulez-vous la paix ? Vous pouvez la trouver en Jésus. Bayless Conley le confirme dans cette prédication en présentant trois clefs qui donnent accès à la paix profonde et inébranlable de Dieu qui surpasse les circonstances les plus éprouvantes. Avec Jésus à vos côtés, vous pouvez surmonter la peur et l’anxiété, car il est le Prince de paix.

  • Bonjour. En cette période de Noël, il y a quelque chose dont tout le monde a besoin.
    En fait, on n’en a pas besoin qu’à Noël.
    On en a besoin tout le temps. C’est la paix.
    Une des premières choses annoncées à la naissance de Jésus était :
     » Paix sur la terre « .
    Dieu veut vous donner la paix. C’est de ça que nous allons parler.
    On va parler de Jésus, le prince de la paix.
    Au cœur de vos soucis, il veut vous donner la paix.
    Dans la tourmente, il veut que vous ayez la paix.
    Alors préparez-vous à laisser la paix de Dieu venir à vous par sa Parole.

    Dans le Nouveau Testament, 2 Thessaloniciens 3:16, il est dit :
    « Que le Seigneur de la paix vous donne lui-même la paix en tout temps et de toute manière ! Que le Seigneur soit avec vous tous ! »
    La version amplifiée dit : « Qu’il vous donne la paix dans tous les temps, de toutes les manières,
    dans toutes les circonstances et les situations, quoi qu’il arrive. »
    Qu’il vous donne la paix.
    Je sais qu’il y a des gens ici : dans votre vie, vous luttez avec des problèmes majeurs en ce moment.
    Mais voici la prière de l’auteur : « Que le Seigneur de la paix, en toutes circonstances, quoi qu’il arrive, quoi qu’il se passe, qu’il vous donne la paix. »
    C’est vraiment notre prière pour vous aujourd’hui : que vous trouviez la paix de Dieu.
    Jésus est le prince de la paix, et c’est lui qui procure la paix. Il est la source de la paix, et celui qui répand la paix.
    Même quand les anges ont annoncé la naissance de Jésus aux bergers dans les champs, voici ce que nous lisons en Luc 2:13 :
    « Et tout à coup apparut, aux côtés de l’ange, une multitude d’anges de l’armée céleste qui chantaient les louanges de Dieu :
     » Gloire à Dieu au plus haut des cieux ! Et paix sur la terre aux hommes qu’il aime  » ».
    « Paix sur la terre », en relation à la venue du prince de la paix.
    Ça ne veut pas dire que le monde entier va être en paix. Ça ne veut pas dire que tout le monde va bien s’entendre.
    Nous savons bien que ce n’est pas vrai. Jésus lui-même a dit que quand on s’engage envers lui et qu’on le met en premier dans notre vie,
    parfois vos plus grands adversaires seront des membres de votre famille. Ils ne vont pas aimer vos changements soudains de priorités.
    Alors, de quoi parle-t-il quand il dit qu’il est le Seigneur de la paix, le prince de la paix, qu’il nous apporte la paix ?
    Que chantaient les anges au sujet de la paix sur la terre ?
    Eh bien, Jésus est venu tout d’abord nous apporter la paix avec Dieu.
    Ensuite, il est venu nous apporter la paix de Dieu.
    La paix avec Dieu.
    Henry David Thoreau, le fameux naturaliste et philosophe américain, sur son lit de mort,
    – en fait, il est mort jeune de la tuberculose. Donc, sur son lit de mort, un ami est venu lui demander :
    « Henry, as-tu fait la paix avec Dieu ? » La réponse de Thoreau a été astucieuse. Il a dit : « Je ne savais pas qu’entre Dieu et moi il y avait conflit. »
    La réponse est astucieuse, mais elle est soit mal informée, soit malhonnête.
    Car la Bible dit dans le livre des Romains que le monde entier est coupable devant Dieu.
    Elle déclare que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.
    En fait, c’est encore plus fort en Romains 5. Il est dit : « Lorsque nous étions ses ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu grâce à la mort de son Fils ».
    Donc, cela dit que nous sommes des pécheurs coupables, ennemis de Dieu,
    et ennemis dans le sens que nous avons tous péché contre Dieu et transgressé ses lois.
    Au cœur du combat, il y a la volonté humaine.
    C’est la raison pour laquelle il est dit que les gens sont ennemis de Dieu.
    En tant que Créateur, Dieu se donne le droit exclusif de décider de ce qui est bien et mal, ce qui est bon et mauvais, ce qui est péché et ce qui ne l’est pas.
    Mais les gens disent : « Tu sais quoi ?, c’est ma volonté qui l’emporte, pas la tienne.
    La vérité est subjective, et la façon dont je vois les choses, c’est ça qui compte.
    Donc, dans mon cas, mon point de vue l’emporte sur toutes tes règles, Dieu. »
    Votre volonté est en guerre contre Dieu.
    Il est le Créateur. Ça remonte au livre de la Genèse. Dieu a dit à Adam : « Tu vois les arbres du jardin, tous sont à toi.
    Il y a une seule chose que je me réserve exclusivement : l’arbre de la connaissance du bien et du mal, du bon et du mauvais, de ce qui est péché et ne l’est pas.
    Adam, si jamais tu y touches, ce jour-là, tu mourras. Tu seras séparé de moi. »
    C’est toujours le même problème depuis. Les gens pensent : « Ma volonté est souveraine, et la vérité absolue n’existe pas. »
    Si, mes amis, elle existe. En fait, vous ne pouvez pas devenir disciple de Christ sans lui soumettre votre volonté.
    Notre péché nous a séparés de Dieu, mais Jésus est venu nous apporter la paix.
    En fait, ici, le terme grec pour  » paix  » veut dire en partie :  » réunir ce qui a été séparé, recoller ce qui a été sectionné.  »
    Notre péché, notre rébellion délibérée, et notre volonté qui veulent s’asseoir sur le trône de nos vies, ont causé une séparation entre nous et Dieu.
    Jésus est venu combler ce fossé, apporter la paix sur la terre, la paix avec Dieu.
    Il est mort sur la croix pour nos péchés. Il a subi le châtiment pour nos méfaits, il est ressuscité des morts.
    Et la Bible dit que si je crois dans mon cœur et confesse qu’il est mon Seigneur, c’est-à-dire mon patron,
    ça veut dire que je meurs à mes droits et renonce à avoir une vie indépendante, et que je me soumets à sa volonté et à son autorité suprême.
    Si j’ai cette attitude de cœur et mets ma confiance en lui, j’ai la paix avec Dieu.
    Je suis de nouveau uni à lui. Il m’invite dans une relation avec lui que la Bible appelle le salut.
    Certains d’entre vous ont essayé de remplir ce vide de toutes les autres façons possibles, mais il y a dans votre vie un vide en forme de Dieu, mes amis.
    Vous avez besoin d’être en paix avec Dieu. Cela ne viendra que lorsque vous serez prêts à mettre votre confiance en Christ et à lui soumettre votre volonté.
    Puis, une fois que vous avez la paix avec Dieu, vous pouvez connaître la paix de Dieu.
    La paix de Dieu dépasse tout ce que l’on peut comprendre. Elle défie la logique.
    Elle garde votre cœur et votre esprit en repos, même dans les pires circonstances.
    L’épanouissement professionnel, c’est super, mais ça ne vous donnera pas la paix.
    La richesse et la sécurité financières sont des avantages, mais elles ne vous donneront pas la paix.
    Je veux partager avec vous aujourd’hui trois choses qui vont apporter la paix de Dieu dans votre vie.
    Une fois que vous avez la paix avec Dieu, voici trois choses qui vont apporter sa paix dans votre vie. Vous êtes prêts ?
    Numéro 1 : Reconnaître sa présence vous apportera la paix. Reconnaître sa présence.
    Je veux lire une histoire qui illustre bien cela. C’est dans l’Évangile de Matthieu au chapitre 8, à partir du verset 23.
    « Il monta dans la barque et ses disciples le suivirent. Soudain, il s’éleva sur le lac une si grande tempête que la barque était recouverte par les vagues.
    Et lui, il dormait. Les disciples s’approchèrent et le réveillèrent en disant :  » Seigneur, sauve-nous, nous allons mourir !  »
    Il leur dit :  » Pourquoi êtes-vous si craintifs, hommes de peu de foi ?  » Alors il se leva, menaça les vents du lac et il y eut un grand calme.
    [Il les a sortis de la tempête et apporté le calme.]
    Ces hommes furent très étonnés et dirent :  » Quel genre d’homme est-ce ? Même les vents et la mer lui obéissent !  » »
    Sachez tout d’abord qu’ils ont été pris dans l’orage parce qu’ils avaient suivi Jésus.
    On lit au début de l’histoire : « Il monta dans la barque et ses disciples le suivirent. »
    Certains ont l’idée erronée que s’ils suivent Jésus, s’ils vont là où il veut qu’ils aillent, et font ce qu’il veut qu’ils fassent, il n’y aura pas de tempête dans leur vie.
    Mon œil !
    Parfois, c’est tout le contraire.
    Si, comme les disciples, votre obéissance au Seigneur vous a conduit au cœur de la tempête,
    je veux vous dire que vous pouvez être en paix, car il est dans la barque avec vous.
    Vous avez besoin de vous rendre compte de sa présence. Il est dans la barque avec vous.
    Vous pouvez dire avec assurance : « Seigneur, je sais que tu m’as conduit ici.
    Alors j’ai l’assurance que tout va tourner pour le mieux. »
    J’ai traversé beaucoup de tempêtes dans ma vie, et je peux le dire, sans faillir…
    En fait, je pouvais regarder le Seigneur en face et dire : « Seigneur, je ne serais pas dans cet orage si je n’avais pas fait ce que tu m’as dit de faire. »
    Mais je peux aussi vous dire que dans chacune de ces tempêtes, ce passager invisible était dans ma barque,
    celui à qui le vent et les vagues obéissent, celui dont toute la création écoute la voix,
    et il m’a toujours ramené au calme. Il m’a toujours donné la paix et m’a amené à bon port.
    Et même si vous êtes dans l’orage à cause de vos mauvais choix ou à cause de votre manque de vision à long terme,
    vous ne diriez pas : « Hé, pasteur, je suis là parce que j’ai suivi Jésus. » Vous diriez : « Je suis dans cet orage car je n’ai pas suivi Jésus. À cause de mon entêtement. »
    Mais j’ai de bonnes nouvelles pour vous. Hébreux 13 verset 5 dit :
    « Que votre conduite ne soit pas guidée par l’amour de l’argent, contentez-vous de ce que vous avez.
    En effet, Dieu lui-même a dit :  » Je ne te délaisserai pas et je ne t’abandonnerai pas.  » »
    Le verset suivant dit : « C’est donc avec assurance que nous pouvons dire : ” Le Seigneur est mon secours, je n’aurai peur de rien. [Je ne serai pas anxieux. J’aurai la paix] Que peut me faire un homme ? “ »
    Avez-vous vu qu’au verset 5, il ne dit pas : « Je ne te délaisserai pas et ne t’abandonnerai pas à moins…
    que tu fasses une faute ou quelque chose de vraiment stupide. Alors… ça ne tient plus. »
    Non, il dit : « Je ne te délaisserai pas et ne t’abandonnerai pas. » Il ne nous laisse pas.
    En fait, j’ose dire, pour certains, vous qui m’écoutez, le fait que vous soyez ici aujourd’hui me dit qu’il a été avec vous.
    Cela relève du miracle que certains d’entre vous aient pu vivre assez longtemps pour venir aujourd’hui.
    Il a été avec vous malgré votre entêtement, votre péché, malgré votre rébellion, et malgré les mauvais choix que vous avez faits.
    Il ne vous a jamais délaissé. Il ne vous a jamais abandonné. Il a été votre secours. Il vous a soutenu.
    C’est intéressant. Quand le Seigneur fait cette promesse : « je ne te laisserai pas », ça ne sonne pas pareil en français.
    En grec, certaines choses sont répétées plusieurs fois dans ce verset. Je vais vous le lire dans la version amplifiée, traduite de l’anglais.
    Bien que ce n’est pas comme cela que nous le dirions, cela montre ce que le Seigneur dit en grec littéral. Je vais le lire. Hébreux 13 verset 5 :
    « Que votre caractère ou votre attitude morale soit libre de tout amour de l’argent [y compris l’envie, l’avarice, la luxure, et le désir de biens terrestres]
    et soyez satisfaits de vos circonstances actuelles [de ce que vous avez] ; car lui-même [Dieu] a dit : je ne te ferai jamais défaut, je ne te quitterai pas, ni te laisserai sans soutien.
    Jamais, jamais, jamais, en aucun cas, je ne te laisserai sans aide ni ne t’abandonnerai, ni te laisserai tomber (ne relâcherai mon soutien). [Certainement pas.]
    Vous savez, quand Dieu dit quelque chose, il n’est pas obligé de le répéter. Mais s’il le fait, c’est qu’il veut qu’on capte bien.
    « Jamais, jamais, jamais, je ne te laisserai tomber. Je ne te quitterai pas. Jamais, jamais, je ne t’abandonnerai. »
    Il est présent auprès de vous. Vous avez besoin de vous en rendre compte.
    Avant d’être sauvé, je suis allé habiter au Mexique avec un de mes amis, et je me suis créé pas mal d’ennuis là-bas.
    Je me souviens, un jour, j’étais avec une bande de jeunes, filles et garçons. Il y a un gars, je venais de le rencontrer et je ne le connaissais pas bien.
    Il a dit : « Allez, on va à tel endroit. » Donc on s’empile dans sa voiture, et c’est la voiture de son père.
    On conduit jusque là, et c’était un site historique à accès limité. Il y avait toutes sortes de barrières, et la zone était bouclée avec accès interdit.
    Il dépasse les barrières. On arrive à ce magnifique vieux bâtiment historique, et il y a des soldats avec des fusils automatiques.
    Je me dis qu’il doit être temps de faire demi-tour. Au contraire, le gars stationne la voiture juste devant les deux soldats qui se tiennent à la porte avec des armes automatiques.
    Je le regarde et il dit : « Allez, viens. » Lui et les filles s’extirpent de la voiture. Alors je les suis, en me disant : « Qu’est-ce qui se passe ? »
    Les soldats nous ont laissé passer, et on a couru partout là-dedans comme de jeunes fous de 20 ans.
    Et j’ai découvert plus tard qu’il était fils d’un officiel haut gradé du gouvernement.
    Les soldats l’avaient reconnu lui, ou sa voiture, ou la plaque d’immatriculation qui était celle d’une voiture diplomatique.
    Alors, ils nous ont laissés entrer. Je ne savais pas avec qui j’étais.
    Vous n’avez peut-être pas avec vous le fils d’un diplomate, mais mes amis, vous avez avec vous le Fils du Dieu vivant.
    Il ne vous laissera jamais, ne vous abandonnera jamais. Si vous vous rendez compte de sa présence, vous pouvez être en paix.
    La seconde chose qui va nous apporter sa paix, c’est croire en sa promesse. Reconnaître sa présence et croire en sa promesse.
    On vient de lire Hébreux 13:5. Dieu dit : « Je ne te laisserai pas. Je ne t’abandonnerai pas. »
    Le verset suivant dit : « C’est donc avec assurance que nous pouvons dire :  » Le Seigneur est mon secours. Je n’aurai peur de rien. [Je ne m’inquièterai pas. Je vais être en paix.] Que peut me faire un homme ?  » »
    Vous pouvez faire cela avec toutes les promesses que Dieu vous a faites. Il dit : « Je ne te laisserai jamais. »
    Alors vous pouvez dire avec assurance : « Hé, je n’aurai peur de rien. Que peut me faire un homme ? Le Seigneur est mon secours. »
    Il a dit : « Il a pris nos faiblesses et il s’est chargé de nos maladies. » Donc vous pouvez dire avec assurance : « Je suis guéri. »
    Il a dit : « Tous tes enfants seront instruits par l’Éternel et la paix de tes fils sera très grande. »
    Alors vous pouvez dire avec assurance : « Les apparences actuelles n’ont pas d’importance. Mes enfants entreront dans le Royaume. »
    La paix vient quand on croit en la promesse.
    Revenons à une autre illustration : les disciples dans la barque avec Jésus. Cette fois, on va lire Luc 8 au verset 22 :
    « Un jour, Jésus monta dans une barque avec ses disciples. Il leur dit :  » Passons sur l’autre rive du lac.  » Et ils partirent. Pendant qu’ils naviguaient, Jésus s’endormit.
    Un tourbillon s’abattit sur le lac, la barque se remplissait d’eau et ils étaient en danger. Ils s’approchèrent et le réveillèrent en disant :  » Maître, maître, nous allons mourir.  »
    Il se réveilla et menaça le vent et les flots. Ceux-ci s’apaisèrent et il y eut un calme plat. (Encore une fois, il les sort de l’orage et les mène au calme.)
    Puis il leur dit :  » Où est votre foi ?  »
    Saisis de frayeur et d’étonnement, ils se dirent les uns aux autres :  » Qui est donc cet homme ? Il donne des ordres même au vent et à l’eau, et ils lui obéissent !  » »
    Vous avez remarqué ce que Jésus leur a dit en entrant dans la barque : « Passons sur l’autre rive du lac. »
    C’est la parole que le Seigneur leur a adressée. Il n’a pas dit : « Allons à mi-chemin pour chavirer. » Il n’a pas dit : « Passons sur l’autre rive, à moins que le vent se lève. »
    Il a dit : « Passons sur l’autre rive du lac. » Quand il leur a demandé :  » Où est votre foi ? « ,
    sa question était en fait : « Avez-vous foi en ma Parole, ou dans le fait que la tempête peut vous faire couler ? »
    J’ai dit qu’on passait sur l’autre rive du lac, et c’est là qu’on va aller. L’orage est sans conséquence. Au pire, ça nous retarde un peu.
    Je vais vous lire une histoire intéressante. C’est après la résurrection, et Jésus parle à Pierre. Je veux que vous remarquiez ce que Jésus dit à Pierre. Jean 21:18 :
    «  » En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu mettais toi-même ta ceinture et tu allais où tu voulais ;
    mais quand tu seras vieux, tu tendras les mains et c’est un autre qui attachera ta ceinture et te conduira où tu ne voudras pas.
    Il dit cela pour indiquer par quelle mort Pierre révélerait la gloire de Dieu. Puis il lui dit :  » Suis-moi.  » »
    Projetons-nous 13 ans dans le futur, en Actes 12, où il est question du roi Hérode. Actes 12 au verset 1 :
    À cette époque-là, le roi Hérode se mit à maltraiter des membres de l’Église, et il fit mourir par l’épée Jacques, le frère de Jean. (Cela veut dire qu’il a fait décapiter Jacques).
    Quand il vit que cela plaisait aux Juifs, il fit encore arrêter Pierre. – C’était pendant la fête des pains sans levain. – Après l’avoir fait arrêter et jeter en prison, il le mit sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune ;
    il avait l’intention de le faire comparaître devant le peuple après la Pâque. Pierre était donc gardé dans la prison et l’Église adressait d’ardentes prières à Dieu pour lui.
    La nuit qui précédait le jour où Hérode allait le faire comparaître (pour le faire exécuter), Pierre, attaché avec deux chaînes, dormait entre deux soldats ;
    des sentinelles postées devant la porte gardaient la prison. »
    OK, Pierre va être emmené dans quelques heures pour être exécuté, et que fait-il ? Il dort.
    L’Église priait sans cesse, et Pierre dormait. Ils vont l’emmener pour lui couper la tête dans quelques heures, et le gars dort.
    Comment ? Pourquoi ? Parce que Jésus lui a déjà dit qu’il ne mourrait pas avant d’être vieux. Nous l’avons lu dans l’Évangile de Jean.
    Pierre s’est dit : « Je n’ai pas besoin de prier pour ça. Je ne suis pas encore vieux. » L’Église prie. Il dort.
    Il avait reçu une promesse de Jésus. Croyez en sa promesse. Croyez aux promesses dans la Parole,
    et si vous avez eu la bénédiction d’avoir reçu dans votre situation une promesse spécifique du Saint-Esprit, soyez en repos.
    La troisième chose qui nous apporte la paix… Numéro 1 : reconnaître sa présence. Numéro 2 : croire en sa promesse. Numéro 3 : prier avec reconnaissance.
    Philippiens chapitre 4 au verset 6 : « Ne vous inquiétez de rien… »
    Bien sûr, on sait que ça ne vaut pas s’il y a quelque chose de grave. Dans ce cas, on a le droit de s’inquiéter.
    Ne vous inquiétez de rien, sauf s’il s’agit de vos enfants. Ne vous inquiétez de rien, sauf s’il s’agit de votre santé.
    Ne vous inquiétez de rien, sauf s’il s’agit de politique et de l’état du monde. Ne vous inquiétez de rien, sauf s’il s’agit d’un problème au travail.
    Non ! Ne vous inquiétez de rien, ne vous faites pas de souci, ne vous faites du tracas pour rien.
    « … mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, dans une attitude de reconnaissance. »
    Transformez vos soucis en prières. Ne soyez pas anxieux. Parlez-en à Jésus. Une promesse y est attachée.
    Si vous faites cela, au lieu de vous inquiéter, si vous priez et lui faites connaître vos demandes avec reconnaissance, une promesse s’y rattache.
    verset 7 : « Et la paix de Dieu, qui dépasse tout ce que l’on peut comprendre, gardera votre cœur et vos pensées en Jésus-Christ. »
    En fait, ces versets ne promettent pas qu’il va répondre à votre requête, même si c’est sous-entendu. C’est enseigné plus en détail ailleurs dans l’Écriture.
    Mais ici, il y a une promesse absolue. Si vous êtes tenté de vous inquiéter, et si vous en parlez à Dieu, il vous donnera la paix.
    Faites connaître vos besoins à Dieu dans une attitude de reconnaissance. C’est une manifestation de foi.
    C’est important que vos prières se basent sur une promesse. Vous avez besoin d’un fondement à vos prières. Vous avez besoin de passer du temps dans la Parole de Dieu.
    Priez les Écritures. Que vos prières se fondent sur une promesse.
    Mais quand votre prière est liée à une promesse, vous remerciez Dieu pour elle dans votre prière.
    Beaucoup de gens attendent que ça change. « Bon, quand ça changera, je serai reconnaissant à Dieu. Ce jour-là, je ferai une grande fête ! »
    Ce n’est pas la foi. La foi dit merci à la fin de la prière, pas après la chute des murs de Jéricho.
    Je veux dire, Josué a dit aux hommes : « On va sonner de la trompette, crier, et les murs vont s’écrouler. »
    Beaucoup ont pensé : « Pourquoi ne pas crier après la chute des murs ? C’est idiot de crier avant qu’ils ne s’écroulent. »
    Non, il faut apprendre à pousser des cris quand les murs sont encore debout. Apprenez à remercier après avoir fait connaître vos besoins à Dieu.
    Il est dit : « La paix de Dieu, une paix surnaturelle qu’on ne peut comprendre et qui défie la logique, gardera votre cœur et vos pensées en Jésus-Christ. »
    Les deux versets suivants nous promettent en fait une paix qui demeure.
    Verset 8 : « Enfin, frères et sœurs, portez vos pensées sur tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est digne d’être aimé, tout ce qui mérite l’approbation,
    ce qui est synonyme de qualité morale et ce qui est digne de louange. Ce que vous avez appris, reçu et entendu de moi et ce que vous avez vu en moi, mettez-le en pratique. Et le Dieu de la paix sera avec vous. »
    C’est une promesse de paix qui demeure. Si vous faites le verset 6, vous obtenez le verset 7. Mais si vous voulez que cette paix demeure, il faut faire les versets 8 et 9.
    Ce à quoi vous pensez peut changer les choses, mes amis.
    Jésus a dit : « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples, vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. »
    Dieu va vous donner la paix, mais si vous voulez que le Dieu de paix soit avec vous, et que sa promesse de paix demeure pendant votre marche,
    il faut porter vos pensées sur les bonnes choses. Je dirais que la Parole de Dieu entre dans toutes ces catégories !
    Qu’il s’agisse de ce qui est vrai, honorable, juste, pur, ce qui est digne d’être aimé, tout ce qui mérite l’approbation et est digne de louange, tout cela décrit la Parole de Dieu.
    Le psaume 119:165 parle de beaucoup de paix. Dites tous :  » beaucoup de paix « .
    Pas seulement la paix, mais beaucoup de paix : « Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi, et rien ne les fait trébucher. »
    Cher ami, Dieu s’intéresse à vous. Il s’intéresse à votre bien-être. Jésus est le prince de la paix.
    Dieu s’appelle le Dieu de paix, et il veut que vous connaissiez sa paix.
    Il y a un moyen pour cela : vous devez avoir une relation intime avec le Livre de Dieu.
    Nous avons terminé en parlant de ce verset dans les Psaumes : « Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi ».
    Si vous vous mettez à lire le Livre de Dieu, surtout le Nouveau Testament, une paix surnaturelle viendra à vous.
    Jésus a aussi dit : « Je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde donne. »
    Il a dit ça dans l’Évangile de Jean en parlant de la venue du Saint-Esprit.
    Au travers de sa Parole et de son Esprit, nous pouvons avoir la paix, quelles que soient les circonstances qui nous entourent.
    Vous pouvez être au cœur de la tempête et avoir la paix de Dieu. Dieu veut que vous ayez sa paix.
    En fait, je prie maintenant que, par le Saint-Esprit, vous veniez à connaître la paix de Dieu de manière personnelle
    et que vous la laissiez demeurer en vous grâce à sa Parole. Dieu vous bénisse.

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