Donnez le meilleur de vous-même pour Dieu

Voulez-vous plaire à Dieu ? Bayless Conley explique comment avoir une foi qui émeut Dieu. Découvrez pourquoi le Seigneur ne regarde pas qu’a vos actions mais aussi à la disposition de votre cœur. Ce message est un encouragement pour ceux qui veulent approfondir leur relation avec Dieu. Donnez lui le meilleur de vous-même !

  • Bonjour cher ami.
    Je suis très heureux que vous vous joigniez à moi aujourd’hui.
    Si vous avez une Bible, je vous encourage à la prendre.
    Ou, si vous avez une Bible sur un appareil électronique, ouvrez-la, car nous allons examiner quelques passages des Écritures qui sont incroyablement importants.
    C’est un sujet auquel je pense que chaque disciple de Jésus-Christ doit réfléchir très profondément.
    Car pour être très honnête, cela n’affectera pas seulement votre vie ici et maintenant sur la terre, mais cela aura également une influence sur votre éternité.
    Bonjour, je m’appelle Bayless Conley.
    Dans la vie, nous sommes tous confrontés à l’incertitude.
    Qu’il s’agisse de problèmes financiers, de difficultés relationnelles, d’une crise de santé ou de la recherche d’un but,
    une chose est sûre : Dieu vous voit. Il vous aime.
    Et quelle que soit la situation à laquelle vous êtes confronté, il a les réponses.
    Je voudrais commencer par lire quelque chose que Jésus a dit dans l’Évangile de Jean, au chapitre 8, verset 29.
    Il a dit :
    « Celui qui m’a envoyé est avec moi, il (le Père) ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. »
    Ne serait-ce pas merveilleux de pouvoir dire cela ?
    « Je fais toujours ce qui est agréable au Père. »
    En Matthieu 3:17, dès que Jésus a été baptisé, une voix est venue du ciel et a dit :
    « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, qui a toute mon approbation. »
    Je désire également avoir toute l’approbation du Père.
    J’aimerais vous lire une chose que Paul a écrite aux Corinthiens.
    En 2 Corinthiens 5, je commencerai par le verset 6.
    Il dit ceci :
    « Nous sommes donc toujours pleins de confiance et nous savons que, tant que nous habitons dans ce corps, nous sommes loin du Seigneur. »
    Cela veut dire que je suis ici, je suis dans mon corps, et je suis donc loin du Seigneur pour ce qui est d’être physiquement présent avec lui.
    Mais il poursuit en disant : « Car nous marchons par la foi et non par la vue. »
    C’est ainsi que nous vivons cette vie.
    « Oui, nous sommes pleins de confiance et nous aimerions mieux quitter ce corps pour aller vivre auprès du Seigneur. »
    Ainsi, si je meurs, si je dépose mon corps physique dans la mort, je serai instantanément en présence du Seigneur.
    L’apôtre Paul a dit : « Christ est ma vie et mourir représente un gain.
    J’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui est de beaucoup le meilleur. »
    Pas un peu mieux, mais beaucoup mieux.
    Nous ne devrions jamais nous affliger pour ceux qui sont morts dans le Seigneur, ils sont bien mieux lotis.
    Oui, il y a une perte de notre côté, mais pas de leur côté.
    Il y a un gain énorme de leur côté.
    Le verset suivant est en fait celui auquel je veux arriver.
    Au verset 9, il dit :
    « C’est aussi pour cela que nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous vivions dans ce corps, soit que nous le quittions. »
    « Nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous vivions dans ce corps, soit que nous le quittions. »
    Tel devrait être notre objectif : nous voulons être agréables à Dieu.
    La Bible en français courant dit : « Nous désirons avant tout lui plaire. »
    La Bible du Semeur dit : « Notre ambition est de plaire au Seigneur. »
    La version Darby déclare : « Nous nous appliquons avec ardeur à lui être agréables. »
    Nous nous efforçons.
    Nous ne pouvons pas viser une cible que nous ne voyons pas.
    Imaginez que vous avez un arc et des flèches et que vous vous entraînez à viser.
    Si vous ne savez pas où se trouve la cible, vous n’y arriverez pas.
    Si vous jouez au basket-ball et que vous ne voyez pas où se trouve le panier, vous ne saurez pas où tirer.
    Si vous jouez au football (que nous appelons ici soccer) et que vous ne savez pas où se trouve le but, vous ne parviendrez pas à tirer dans les filets du but.
    Ainsi, si nous voulons en faire notre but, notre objectif, si nous voulons nous efforcer, si nous voulons avoir l’ambition et le but d’être agréables à Dieu, nous devons savoir ce qui lui est agréable.
    Ce n’est pas seulement pour le bénéfice de Dieu, et je l’expliquerai dans un instant, mais c’est aussi pour notre bénéfice à nous.
    Dans le verset que nous avons lu, il a dit : « Nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous vivions dans ce corps, soit que nous le quittions. »
    Le verset suivant, en 2 Corinthiens 5:10 dit :
    « En effet, il nous faudra tous comparaître devant le tribunal de Christ afin que chacun reçoive le salaire de ce qu’il aura fait, bien ou mal, alors qu’il était dans son corps. »
    En d’autres termes, si j’ai vécu ma vie sur cette terre en étant vraiment agréable à Dieu et en faisant ce qui est bon et juste devant lui, si je fais cela du fond du cœur, je recevrai une récompense.
    Mais si je ne le fais pas, si je passe ma vie à d’autres occupations, si je ne m’efforce pas d’être agréable à Dieu et que je n’en fais pas mon objectif, je perdrai alors mes récompenses.
    Mon ami, ces récompenses sont éternelles.
    Écoutez, tous les croyants se tiendront devant le tribunal de Christ, non pas pour être jugés pour notre salut.
    Lorsque nous acceptons Christ et mettons notre confiance en lui, lorsque nous sommes lavés dans le précieux sang de l’Agneau, l’accès au paradis est assuré et je suis devenu l’enfant de Dieu.
    Mais tout ce qui suit est une récompense.
    Il a donné sa vie pour moi, alors je dois donner ma vie pour lui.
    Je rendrai compte de cette vie terrestre.
    Il y aura bel et bien un règlement de compte dans l’éternité.
    Certains des fruits des choses que j’ai faites ou n’ai pas faites dans cette vie.
    C’est pourquoi je m’efforce d’être agréable à Dieu.
    Au-delà du fait que je vais entendre parler de ce que j’ai fait dans cette vie, de mes motivations pour le faire, que je vais recevoir une récompense ou perdre une récompense,
    ce jour-là, je me tiendrai devant le Seigneur.
    Cela me rend nerveux, très honnêtement, parce que l’apôtre Paul a déclaré :
    « En effet, il nous faudra tous comparaître devant le tribunal de Christ afin que chacun reçoive le salaire de ce qu’il aura fait, bien ou mal, alors qu’il était dans son corps. »
    Écoutez ce qu’il a dit ensuite :
    « Puisque nous savons ce qu’est la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes.  »
    Paul était terrifié en pensant au tribunal de Christ.
    Si cela rendait l’apôtre Paul nerveux, cela me rend très nerveux.
    Je sais qu’il m’aime, et ce n’est pas d’une manière morbide ou mauvaise.
    Mais j’aime le dire de cette manière : je vis en gardant à l’esprit le tribunal de Christ.
    La chose la plus importante que je puisse faire dans cette vie est d’être prêt pour la suivante.
    Cette vie n’est que le vestiaire de l’éternité.
    Encore une fois, cela est incroyablement important, mais il y a quelque chose qui est bien plus important que cela.
    Je peux réellement être agréable à Dieu.
    Honnêtement, c’est bien plus important que tous les avantages que je pourrais recevoir si je fais de bonnes choses.
    Alors, qu’est-ce qui est agréable à Dieu ?
    Où devrions-nous viser ?
    À quoi devrions-nous nous efforcer ?
    Quel doit être notre but ?
    Qu’est-ce qui est agréable à Dieu ?
    Écoutez ce que dit Hébreux 11, au chapitre 5, je vais commencer par là.
    « C’est à cause de sa foi qu’Hénoc a été enlevé pour échapper à la mort, et on ne l’a plus retrouvé parce que Dieu l’avait enlevé. Avant d’être enlevé, il avait en effet reçu le témoignage qu’il était agréable à Dieu.
    Or, sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu, car il faut que celui qui s’approche de lui croie que Dieu existe et qu’il récompense ceux qui le cherchent. »
    Hénoc avait reçu le témoignage qu’il était agréable à Dieu.
    Les Écritures nous disent que sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu.
    Ce n’est pas difficile, ce n’est pas très difficile, mais c’est impossible d’être agréable à Dieu sans la foi.
    Ainsi, mon objectif numéro un est d’avoir la foi, de comprendre la foi, de marcher dans la foi et de parler dans la foi, parce que sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu.
    Écoutez ce que dit Hébreux 10:38 :
    « Et le juste vivra par la foi ; mais s’il revient en arrière, je ne prends pas plaisir en lui. »
    C’est le Seigneur qui parle.
    « Le juste vivra par la foi, mais s’il revient en arrière, je ne prends pas plaisir en lui. »
    C’est pourquoi, avant tout autre chose, nous devons apprendre à marcher par la foi et à vivre par la foi.
    Je sais que pour certaines personnes, la foi est quelque chose d’abstrait et d’indéfinissable, mais les Écritures nous donnent une définition très technique de la foi, puis elles nous montrent comment la foi s’exprime de différentes manières.
    Hébreux chapitre 11 verset 1 déclare :
    « Or la foi, c’est la ferme assurance des choses qu’on espère, la démonstration de celles qu’on ne voit pas. »
    Voilà la définition technique de la foi.
    La version Darby le traduit ainsi :
    « Or la foi est l’assurance des choses qu’on espère, et la conviction de celles qu’on ne voit pas. »
    La Bible du Semeur dit : « La foi est une façon de posséder ce qu’on espère, c’est un moyen d’être sûr des réalités qu’on ne voit pas. »
    À partir de là, après avoir donné une définition de la foi, l’auteur de l’épître aux Hébreux nous présente les différentes manières dont la foi peut être exprimée.
    J’aimerais me pencher tout de suite sur l’une d’entre elles.
    Hébreux 11:4 nous donne un excellent exemple de la façon dont la foi s’exprime.
    Je vous le dis mon ami, cela s’applique parfaitement à vous et à moi.
    Voulez-vous être agréable à Dieu ?
    C’est un bon point de départ, car sans la foi, il est impossible de lui être agréable.
    Voici ce que dit le verset 4 :
    « C’est par la foi qu’Abel a offert à Dieu un sacrifice plus grand que celui de Caïn ; c’est grâce à elle qu’il a été déclaré juste, car Dieu approuvait ses offrandes, et c’est par elle qu’il parle encore bien qu’étant mort. »
    C’est par la foi qu’Abel a offert à Dieu un sacrifice plus grand que celui de son frère Caïn, lorsqu’il a présenté son offrande à Dieu.
    Nous lisons dans le livre de la Genèse que Caïn a offert des produits de la terre, ce qui, selon les Écritures, était tout à fait acceptable, mais il n’y a pas plus de détails que cela.
    Il est simplement écrit qu’il s’agissait d’une offrande des produits de la terre.
    Mais il est dit spécifiquement que lorsqu’Abel a apporté son offrande, il a apporté à Dieu son premier et son meilleur, ce qui correspond à ce que nous lisons ici en Hébreux 11:4.
    Abel a offert à Dieu un sacrifice plus grand que celui de Caïn.
    L’expression « plus grand » signifie « de meilleure qualité ».
    Abel a offert à Dieu son premier et son meilleur, tandis que Caïn a apporté quelque chose qui ne lui a quasiment rien coûté.
    Mon ami, il faut de la foi, surtout lorsque vous avez des factures à payer, pour donner à Dieu votre premier et votre meilleur.
    Tout le monde peut donner à Dieu ses restes.
    Une fois que toutes les factures ont été payées, que toutes mes obligations ont été remplies, que j’ai fait les choses que je voulais faire et que j’ai dépensé de l’argent pour moi-même, je me dis :
    « Oh oui ! J’ai un petit extra. Je vais le mettre dans l’offrande à la maison de Dieu à l’église, et je le donnerai à Dieu. »
    Mon ami, ce genre de dons ne touche pas le cœur de Dieu.
    Il faut de la foi pour donner à Dieu notre premier et notre meilleur, et il est honoré lorsque nous lui donnons notre premier et notre meilleur.
    Écoutez ce que dit Proverbes 3, versets 9 à 10 :
    « Honore l’Éternel… »
    Pensez-y.
    « Honore l’Éternel avec tes biens et avec les premiers de tous tes produits !
    Alors tes greniers seront abondamment remplis et tes cuves déborderont de vin nouveau. »
    C’est la version Segond 21 ici.
    La version Darby dit : « Honore l’Éternel de tes biens et des prémices de tout ton revenu. »
    En d’autres termes, donnez à Dieu la toute première partie et la meilleure partie de tous vos revenus.
    La Segond 21 dit : « Honore l’Éternel avec tes biens et avec les premiers de tous tes produits ! »
    Cela demande de la foi.
    J’ignore ce qui va se passer demain ou la semaine prochaine et je me dis :
    « Je dois économiser, je ne peux pas me permettre de donner à Dieu. »
    Mon ami, je ne peux pas me permettre de ne rien donner à Dieu.
    Mon but est d’être agréable à Dieu, et je sais que cela rend certaines personnes nerveuses.
    Alors, écoutez-moi.
    Si nous pouvions nous asseoir à la table de votre cuisine et peut-être partager une tasse de thé et parler de ce dont nous sommes en train de parler…
    Vous êtes peut-être une mère célibataire, vous ne gagnez pas beaucoup, vous faites de votre mieux pour joindre les deux bouts et vous dites :
    « J’essaie de prendre soin de mes enfants. Tout mon argent part pour payer la garderie. J’ai du mal à joindre les deux bouts, et vous me dites de donner à Dieu le premier et le meilleur de ce que j’ai ? »
    Je vous le dis, il faut de la foi pour y parvenir, et il faut bien commencer quelque part.
    Écoutez.
    La parole de Dieu est vraie.
    Nous devons l’honorer avec tout ce que nous possédons et lui apporter notre premier et notre meilleur.
    En écrivant à des gens dans une société agraire, il a dit :
    « Tes greniers seront abondamment remplis et tes cuves déborderont de vin nouveau. »
    C’est ainsi qu’ils mesuraient leur prospérité.
    En d’autres termes, Dieu dit : « Je vais prendre soin de toi, et cela ouvrira un canal par lequel je pourrai déverser de l’abondance et des bénédictions dans ta vie. »
    Oui, cela demande de la foi.
    Vous êtes peut-être un homme d’affaires, et je suis assis à votre table, nous prenons une tasse de thé et vous me dites :
    « J’ai beaucoup d’employés, vous ne comprenez pas. J’ai des assurances à payer, et nous avons ceci et cela à faire. Nous avons des équipements qui doivent être réparés. »
    Je comprends tout cela.
    Vous dites : « Vous n’avez pas idée du genre d’impôts que mon gouvernement me demande de payer. Ils prélèvent 39 à 40 % de nos revenus totaux. »
    Je connais des endroits où c’est bien plus que cela.
    C’est la moyenne pour l’endroit où je vis, ici, aux États-Unis, selon la tranche d’imposition dans laquelle on se trouve.
    Le gouvernement veut simplement s’emparer de la première partie de l’argent.
    Je n’aime pas ça, mais je paie mes impôts.
    Mais vous savez quoi ?
    Je donne d’abord à Dieu.
    Quand je donne à Dieu mon premier et mon meilleur, ma femme et moi, nous le faisons sur notre revenu brut, pas sur notre revenu net, parce que j’estime que Dieu doit passer même avant le gouvernement.
    Vous vous dites peut-être : « Eh bien, Bayless, vous êtes manifestement béni. Vous pouvez vous permettre de faire ça. »
    Lorsque je travaillais à la cueillette des pêches, je donnais à Dieu le premier et le meilleur de chaque salaire que je recevais.
    J’ai aussi travaillé dans un verger de poires.
    Je donnais à Dieu le premier et le meilleur de mon salaire.
    Quand je construisais des maisons, je donnais à Dieu mon premier et mon meilleur.
    Quand j’étais serveur dans un restaurant mexicain, je donnais à Dieu mon premier et mon meilleur.
    Lorsque j’étais entre deux emplois et pendant une période de ma vie, j’ai même dû vivre dans une voiture lorsque j’étais jeune chrétien.
    Mais pour chaque dollar qui me parvenait, je mettais toujours de côté le premier et le meilleur pour Dieu.
    C’est ce que j’ai fait toute ma vie, contre vents et marées, dans la richesse et la pauvreté, pour le meilleur et pour le pire.
    Dieu a toujours été à la première place.
    Il a toujours été fidèle en prenant soin de moi et de ma famille.
    Il faut savoir que Dieu ne vient pas tous les premiers ou les 15 de chaque mois.
    Il y a eu des moments où il semblait que nous n’allions pas nous en sortir, mais avec le recul, je peux vous dire en toute confiance et en toute vérité que Dieu est fidèle.
    Je suis assis ici aujourd’hui grâce à la fidélité de Dieu.
    C’est l’un des domaines qui est agréable à Dieu si nous l’honorons avec la première partie de nos revenus, en lui donnant le premier et le meilleur de ce que nous avons.
    Je me souviens d’avoir entendu un jour l’histoire d’une famille qui est allée à l’église et puis qui est rentrée à la maison prendre le repas du dimanche.
    Le père de famille se plaignait de tout.
    Il disait que le sermon était trop long, que la musique était trop forte, que l’église était trop chaude et que les gens n’étaient pas assez amicaux.
    Il n’aimait pas les chansons qui avaient été choisies.
    Il se plaignait de tout.
    Son fils, son plus jeune fils, très observateur, lui a dit :
    « Papa, tu dois admettre que c’était un bon spectacle pour un dollar. »
    Parce que papa n’avait donné qu’un seul dollar pour les offrandes.
    Ami, si vous donnez un dollar, quelques centimes, ou quelque chose qui n’affecte pas votre vie, cela n’honore pas Dieu.
    Il est digne de recevoir bien plus que nos restes.
    J’espère vous entendre dire amen.
    Passons à quelque chose d’autre qui a trait à la foi et qui est agréable à Dieu.
    Au verset 5, nous l’avons lu dans le chapitre 11 du livre des Hébreux, il est dit :
    « C’est à cause de sa foi qu’Hénoc… »
    Nous l’avons lu il y a quelques minutes.
    « C’est à cause de sa foi qu’Hénoc a été enlevé pour échapper à la mort, et on ne l’a plus retrouvé parce que Dieu l’avait enlevé. Avant d’être enlevé, il avait en effet reçu le témoignage qu’il était agréable à Dieu.
    Or, sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu. »
    C’est donc par la foi qu’Hénoc a été enlevé.
    Si nous lisons le récit dans le livre de la Genèse, il est écrit en Genèse 5:24 :
    « Hénoc marcha avec Dieu, puis il ne fut plus là, parce que Dieu l’avait pris. »
    Revenons à la définition biblique de la foi.
    « La foi, c’est la ferme assurance des choses qu’on espère, la démonstration de celles qu’on ne voit pas. »
    Elle croit en la réalité des choses que nous ne pouvons pas toucher, goûter ou manipuler avec nos mains et qui ne sont pas perçues par nos cinq sens physiques.
    C’est donc par la foi qu’Hénoc a marché avec Dieu.
    Écoutez, Hénoc ne voyait pas plus Dieu que vous ne le voyez.
    Hénoc n’a pas plus senti Dieu que vous.
    Hénoc a marché avec Dieu par la foi, la démonstration des choses qu’on ne voit pas.
    Il faut de la foi pour marcher et parler avec un Dieu que l’on ne voit pas.
    Une traduction libre d’Hébreux 11:1 basée sur l’Amplified Bible dit :
    « La foi perçoit comme un fait réel ce qui n’est pas révélé à nos sens. »
    J’écoutais une de mes connaissances parler d’une autre de mes connaissances.
    À mon humble avis, parmi toutes les personnes que j’ai connues personnellement, l’homme dont il parlait était plus proche de Dieu que toutes les personnes que j’ai eu le privilège de fréquenter.
    Il est au ciel depuis de nombreuses années maintenant, mais cet homme avait une relation avec Dieu qui était remarquable.
    Cet homme et l’homme qui me racontait l’histoire étaient, je pense, à une conférence ensemble, et ils avaient des chambres d’hôtel adjacentes.
    Ma connaissance me raconte donc l’histoire de cet homme qui avait une marche extraordinaire avec Dieu.
    Il m’a dit qu’il l’entendait prier dans la chambre voisine tard dans la nuit.
    Il m’a dit qu’il n’avait pas la même façon de prier que lui.
    C’était comme s’il avait une conversation, comme si Dieu l’écoutait.
    Il posait des questions à Dieu, puis le silence s’installait.
    Ensuite, il répondait comme si quelqu’un lui parlait.
    Il était littéralement en train de converser avec Dieu.
    Cela l’avait profondément affecté.
    Vous savez, Dieu veut que nous marchions et parlions avec lui.
    Quand nous ne pouvons pas le sentir ni le voir, nous levons les mains et nous disons :
    « Père céleste, je veux juste que tu saches que je t’aime.
    Je te remercie d’être avec moi.
    Tu ne me quittes jamais et tu ne m’abandonnes jamais.
    Je te remercie que le Saint-Esprit soit avec moi.
    Je te remercie d’avoir envoyé tes anges pour moi, car ta Parole déclare qu’ils sont envoyés pour apporter de l’aide aux héritiers du salut.
    Père, je te remercie que ta main soit sur moi et sur ma famille. »
    Louez-le même quand vous ne ressentez rien de tout cela.
    En fait, vous pouvez même avoir l’impression que ce n’est pas vrai pour vous dans votre vie.
    La foi dit : « Dieu, tu es là. »
    La foi dit : « Dieu, tu es tout ce que les Écritures disent que tu es, et tu feras tout ce que les Écritures disent que tu feras.
    Je vais marcher avec toi, je vais parler avec toi et je vais vivre ma vie comme si ton regard était sur moi.
    Je vais prendre les décisions qui s’imposent dans la vie en me basant sur ma conviction que tu es là tout le temps, que tu vois quand personne d’autre ne voit, et que tu entends quand personne d’autre n’entend. »
    Lorsque vous ordonnez votre vie en fonction de cette foi profonde et permanente que vous savez que votre Père céleste a les yeux sur vous, qu’il vous observe et qu’il est présent avec vous, mon ami, cela lui est tellement agréable.
    Je pense que Dieu donne un coup de coude aux anges en disant : « Regardez ma fille.
    Beaucoup de choses ont mal tourné dans sa vie en ce moment, et elle est persécutée, mais regardez-la.
    Elle me bénit, elle me loue, elle me parle.
    Gabriel, descends et ouvre-lui des possibilités. »
    La foi attire l’attention de Dieu.
    La foi est agréable à Dieu.
    Sans la foi, il est impossible de lui être agréable.
    Ensuite, nous arrivons au verset 7 d’Hébreux 11, où nous trouvons une autre façon d’exprimer la foi.
    « C’est par la foi que Noé, averti des événements que l’on ne voyait pas encore et rempli d’une crainte respectueuse, a construit une arche pour sauver sa famille.
    C’est par elle qu’il a condamné le monde et est devenu héritier de la justice qui s’obtient par la foi. »
    C’est par la foi que Noé a construit l’arche.
    C’est par la foi qu’Abel a donné à Dieu son premier et son meilleur.
    C’est par la foi qu’Hénoc a marché et parlé avec un Dieu qu’il ne pouvait pas voir.
    C’est par la foi que Noé a construit.
    Dieu l’a averti de choses qu’il ne voyait pas encore.
    Dieu lui a dit qu’il allait y avoir un déluge.
    Or, il n’y avait jamais eu de déluge auparavant, Noé ne pouvait donc pas le voir et il n’avait pas d’autre preuve que la parole de Dieu.
    Mais il s’est mis au travail et a commencé à construire une arche.
    Pendant les 100 années qui ont suivi, il a construit cette arche et, ce faisant, il a sauvé sa famille.
    Nous connaissons l’histoire du déluge.
    La foi exige que l’on se prépare.
    Je me souviens avoir entendu parler d’un couple au Botswana.
    Ils étaient missionnaires là-bas et avaient travaillé et travaillé pendant très longtemps, mais n’avaient eu pratiquement aucun fruit, aucune conversion.
    L’organisation missionnaire qui les avait envoyés les a contactés et leur a dit :
    « Voulez-vous revenir ? Avez-vous besoin de prendre une pause ? De quoi avez-vous besoin ? »
    Ce couple de missionnaires au Botswana a dit :
    « Ce que nous aimerions, c’est que vous nous envoyiez un service pour la communion, parce que nous allons devoir apprendre aux nouveaux convertis à communier. »
    Ils n’avaient pas encore de convertis, mais ils se préparaient.
    On leur a donc envoyé un magnifique service de communion, et tout de suite après, ils ont eu leur premier converti, leur deuxième converti, leur troisième converti, et ensuite beaucoup de gens sont venus à Christ, et ils ont eu un ministère florissant.
    Qu’ont-ils fait ?
    C’est par la foi qu’ils se sont préparés.
    C’est par la foi que nous plaçons notre confiance en un Dieu que nous ne pouvons pas voir et que nous plaçons notre confiance en son Fils, Jésus-Christ, qui est mort et ressuscité pour nous.
    Mettez votre confiance en lui aujourd’hui.

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