6 paroles puissantes du bon berger pour vous

La description du bon berger dans le psaume 23 est une vérité indéniable du fait que Jésus veut pourvoir à vos besoins, vous conduire et vous protéger. Dans cette prédication, Bayless Conley vous élabore cela et montre combien la paix de Dieu peut changer votre vie.

  • Quasiment tout le monde connaît le psaume 23, qu’il soit croyant ou non. Beaucoup de gens l’ont écrit en belles lettres et l’ont affiché quelque part sur leur mur.
    Mais ce n’est pas seulement un beau morceau de poésie. Ce n’est pas seulement un langage pittoresque.
    Ce verset est rempli de promesses et de déclarations de Dieu que les croyants doivent absolument comprendre.
    Nous allons parler du Seigneur Jésus-Christ comme notre berger et de ce que cela signifie pour nous. Vous allez entendre le psaume 23 comme vous ne l’avez jamais entendu auparavant.
    Bonjour, je m’appelle Bayless Conley.
    Dans la vie, nous sommes tous confrontés à l’incertitude.
    Qu’il s’agisse de problèmes financiers, de difficultés relationnelles, d’une crise de santé ou de la recherche d’un but,
    une chose est sûre : Dieu vous voit. Il vous aime.
    Et quelle que soit la situation à laquelle vous êtes confronté, il a les réponses.
    Jésus a dit en Jean 10:11 : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. »
    Nous connaissons tous Psaumes 23:1 : « L’Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien. »
    J’ai tellement de choses à dire et si peu de temps pour le faire, mais je vais simplement m’en tenir au psaume 23 pendant le temps qui nous est imparti aujourd’hui.
    Remarquez qu’il n’est pas écrit que l’Éternel est le berger du monde entier et qu’il guide la masse.
    Non, le Seigneur est MON berger.
    Jusqu’à ce qu’il devienne MON berger, je suis une brebis égarée.
    Ésaïe 53:6a dit : « Nous étions tous comme des brebis égarées : chacun suivait sa propre voie […] »
    Il parle de toute l’humanité : « Nous étions tous comme des brebis égarées. »
    Dieu n’a pas utilisé cette métaphore ou cet exemple au hasard.
    Les brebis peuvent complètement se perdre, même près de chez elles.
    Malgré tous ses progrès technologiques et scientifiques, l’humanité est toujours complètement perdue sur le plan spirituel.
    Nous avons marché sur la Lune, nous avons créé toutes les commodités modernes, mais nous avons toujours une solitude intérieure et un vide en nous qui ne disparaissent pas.
    La technologie ne peut pas combler ce vide, la science ne peut pas combler ce vide.
    La philosophie, l’art et la littérature ne peuvent pas combler ce vide, et les relations humaines non plus.
    Le fait de fréquenter d’autres moutons, aussi géniaux ou cool sont-ils, ne pourra pas combler le vide.
    Nous avons besoin d’un berger, et nous avons besoin d’être trouvés.
    Lorsque l’Éternel devient mon berger, que fait-il ?
    Il y a six choses fondamentales.
    Premièrement, il répond à mes besoins.
    « L’Éternel est mon berger, je ne manquerai de rien. »
    Deuxièmement, il me nourrit.
    Troisièmement, il me guide.
    Quatrièmement, il me protège.
    Cinquièmement, il me restaure.
    Sixièmement, il m’incite à donner ma laine.
    Les moutons ont été créés pour donner. C’est un processus qui se répète continuellement tout au long de leur vie.
    Un mouton qui ne donne pas est un mouton très malheureux.
    Lorsque le mouton donne sa laine, il est toujours satisfait, content et joyeux, parce que c’est pour cela qu’il a été créé.
    Nous sommes les fils et les filles de l’Être le plus généreux de l’univers.
    C’est dans notre nature d’être généreux.
    Il y a quelques années, j’étais orateur lors d’une conférence à l’étranger.
    De nombreux orateurs étaient invités et beaucoup étaient accompagnés de leur épouse et d’autres de leurs assistants.
    Tout le monde a été conduit dans la petite maison d’un couple âgé de l’église.
    Il s’agissait d’un couple d’Italiens adorables et, ils faisaient les meilleures olives que j’ai goûtées de ma vie. Ils avaient leurs propres arbres et préparaient les olives eux-mêmes.
    Il y avait une énorme quantité de nourriture délicieuse.
    Ils avaient tout payé, tout cuisiné, ils servaient tout le monde et la maison était remplie.
    J’ai parlé au pasteur qui nous avait invités, moi et les autres orateurs et je lui ai demandé de me parler de ce couple. Il m’a répondu : « Chaque fois que nous invitons des orateurs ou des pasteurs dans l’église, ils font toujours cela.
    Cet homme et cette femme survivent sur une pension.
    Ils ont un revenu très limité, mais ils insistent pour payer toute la nourriture et la cuisiner eux-mêmes et ils refusent d’être remboursés par l’église.
    Ils disent que c’est pour eux la plus grande joie de donner. C’est la meilleure façon pour eux de donner et de servir l’Église. »
    Ils ont fait de grandes dépenses et de grands efforts.
    Il y avait beaucoup de conférences et d’invités dans cette église et ils payaient toujours la nourriture et préparaient les repas pour eux.
    C’est la nature même du vrai croyant.
    Comme je l’ai dit, une brebis qui ne donne pas n’est pas heureuse.
    Si une brebis se perd et s’éloigne du troupeau, elle ne survit généralement pas longtemps à cause des prédateurs… mais si par miracle elle arrive à survivre et qu’elle n’est pas en mesure de donner sa laine, sa vie s’en trouve grandement menacée.
    Si je me souviens bien, en 2004, ils ont trouvé un mouton en Nouvelle-Zélande qui n’avait plus été tondu depuis six ans.
    Il s’était perdu et vivait dans une grotte.
    Quand ils l’ont retrouvé, ils l’ont appelé Shrek.
    Pour tous ceux qui regardent en ligne, je vous encourage à aller regarder la photo de ce fameux mouton dès que vous le pouvez.
    Lorsqu’ils ont enfin tondu ce mouton, ils ont obtenu 27 kilos de laine. Cela représentait assez de laine pour fabriquer six grands costumes pour hommes.
    Un autre mouton a battu ce record en Australie un peu plus tard et ils l’ont appelé Chris.
    C’était un mouton-ermite, et Chris avait 40 kilos de laine sur lui.
    Il ne voyait même plus où il marchait. C’est très dangereux, car s’il tombe, il ne pourra pas se relever et il mourra.
    S’il tombe dans l’eau, il se noie.
    Les moutons sont toujours remplis de parasites, et ces parasites peuvent causer de nombreuses maladies.
    Les moutons sont heureux d’être tondus, ils sont faits pour donner.
    Lorsqu’ils ne donnent pas leur laine, cela entraîne de nombreuses maladies et des parasites.
    Le croyant qui n’est pas généreux et qui ne donne pas invite des parasites dans sa vie et il invite la maladie dans son âme.
    L’Éternel est notre berger et exige de nous de la générosité.
    Il nous pousse à être généreux, car c’est sa nature, et c’est aussi la nôtre.
    Poursuivons notre lecture en Psaumes 23:1-3 :
    « L’Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien. Il me fait prendre du repos dans des pâturages bien verts, il me dirige près d’une eau paisible. Il me redonne des forces, il me conduit dans les sentiers de la justice à cause de son nom. »
    La deuxième chose qu’il fait, c’est de me nourrir.
    Il me fait prendre du repos dans des pâturages bien verts. C’est là que les moutons se nourrissent.
    Remarquez que je ne cours pas à travers les pâturages verts pour trouver à manger où je peux.
    Il me fait prendre du repos.
    Cela n’arrive qu’après que la brebis a mangé à satiété.
    Après avoir bu et mangé, la brebis se couche et rumine.
    C’est-à-dire qu’elle remonte la nourriture qu’elle a déjà avalée et recommence à la mâcher. Elle rumine, elle rumine.
    C’est l’image parfaite de la méditation.
    Lorsque je médite sur la Parole de Dieu, cela signifie se reposer, réfléchir, considérer, revenir sur quelque chose.
    D’ailleurs, le mot hébreu traduit par « méditer » signifie littéralement marmonner ou murmurer, se parler à soi-même à haute voix, encore et encore.
    Si vous écoutez le berger, cela n’est pas facultatif : il me fait prendre du repos dans des pâturages bien verts.
    Cela fait partie de son programme.
    Dans notre ère marquée par la technologie, dans la société frénétique dans laquelle nous vivons, vous pouvez être pris dans l’esprit du monde qui vous entoure et vous ne prenez jamais le temps de vous reposer, d’être tranquille, de méditer, de réfléchir à sa Parole, et de vous nourrir de sa Parole, de le faire dans la prière, sans vous presser.
    Mais cela fait partie du programme du berger.
    Ralentissez et nourrissez-vous.
    Écoutez les versets suivants en Psaumes 1:1-2 :
    « Heureux l’homme qui ne suit pas le conseil des méchants, qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs et ne s’assied pas en compagnie des moqueurs, mais qui trouve son plaisir dans la loi de l’Éternel [dans la Parole de Dieu] et la médite jour et nuit ! »
    Que se passe-t-il lorsqu’il médite la Parole jour et nuit ?
    Verset 3 : « Il ressemble à un arbre planté près d’un cours d’eau : il donne son fruit en sa saison, et son feuillage ne se flétrit pas. Tout ce qu’il fait lui réussit. »
    Le fait de nous reposer dans la Parole de Dieu et de la méditer et l’étudier, fait en sorte que nous devenons solides, stables, féconds, dynamiques et prospères.
    C’est le résultat, mais nous devons prendre le temps de le faire, sinon cela n’arrivera pas et nous le savons.
    Si quelqu’un vous demande de faire quelque chose pendant votre temps de repos, répondez : « Non, non, non, tu ne comprends pas. Je ne fais rien aujourd’hui. C’est mon jour de repos. Je vais méditer. J’ai quelques versets à méditer. Je vais passer l’après-midi à méditer sur eux ».
    Écoutez, plus vous passez de temps à méditer, moins vous aurez besoin de médicaments.
    D.L. Moody a déclaré : « Il vaut mieux lire le même chapitre encore et encore pendant un mois que de lire plusieurs passages de la Bible au hasard pendant un mois. »
    Je suis tout à fait d’accord avec cela.
    La chose suivante que fait le berger est de restaurer mon âme.
    Les moutons sont incapables de se nettoyer eux-mêmes.
    D’autres animaux, comme les chats, lèchent leur fourrure ou, par d’autres moyens, peuvent se nettoyer et rester propres, mais pas les moutons.
    Tout s’accroche à leur laine, surtout près de l’arrière-train.
    Les crottes et les excréments des moutons, la saleté, la graisse et la végétation s’accrochent à la laine des moutons et une foule de parasites y élisent domicile.
    Les infections et les affections cutanées se développent rapidement si elles ne sont pas soignées.
    Les moutons ne peuvent pas se soigner eux-mêmes, c’est le berger qui doit les soigner.
    Dans les pays où l’on élève des moutons, il existe des lois obligatoires qui stipulent que les moutons doivent être traités une à deux fois par an.
    Le traitement des moutons est un mélange d’insecticide et de fongicide.
    Voilà où je veux en venir : si votre âme est blessée par les calamités de la vie ou si vous avez laissé quelque chose d’impur s’accrocher à votre âme, le berger et le berger seul peut vous restaurer.
    Il n’y a personne d’autre, ni aucun autre moyen d’être restauré.
    Certains ont absolument besoin d’être restaurés, parce que leur âme est fatiguée, accablée et effrayée.
    J’aimerais vous dire ceci : ralentissez.
    Remarquez que le fait de se reposer dans de verts pâturages et d’être au bord d’eaux paisibles précède la restauration.
    Les verts pâturages sont la Parole de Dieu.
    Les eaux paisibles sont le symbole du Saint-Esprit.
    Par la Parole et la prière, laissez Dieu vous apporter son aide et revivifier et restaurer votre âme fatiguée.
    Si vous avez laissé des choses impures s’accrocher à vous, à votre âme, remerciez Dieu pour 1 Jean 1:9 : « Si nous reconnaissons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner ET pour nous purifier de tout mal. »
    Ce sont deux choses bien distinctes.
    Si je confesse mon péché, il est fidèle et juste pour me pardonner ET me purifier.
    Deux choses distinctes.
    Le pardon supprime la pénalité pour notre péché alors que la purification élimine la pollution causée par le péché.
    Il s’agit de faire régner la sainteté en moi.
    Il s’agit de faire régner la sanctification en moi, et cela prend parfois un peu plus de temps.
    Je pense que nous sommes parfois trop pressés.
    Imaginons que j’ai quelque chose sur le bras.
    J’ai une sorte de furoncle ou d’ulcère sur le bras.
    Je vais chez le médecin, il m’ausculte et me soigne, mais ensuite, j’enfile une manche sale par-dessus.
    La même manche sale que j’ai portée, pas propre du tout.
    Il est plus que probable que cet ulcère va refaire surface, et que très rapidement, je vais devoir retourner chez le médecin.
    Faites-vous soigner, mais prenez le temps de changer de vêtements.
    Confessez votre péché, mais prenez le temps de changer votre façon de penser.
    Sinon, vous risquez de devoir reconnaître et confesser le même péché, encore et encore et encore.
    Parfois, nous sommes trop pressés, et Dieu veut faire un travail plus profond et plus approfondi en nous.
    Je suis sûr qu’il y a quelqu’un ici qui se dit : « Pasteur, c’est très bien, mais il faut revenir en arrière, parce que vous avez oublié de parler de quelque chose. »
    Le verset 1 dit : « L’Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien. »
    « ‘Je ne manquerai de rien.’ Ce n’est pas mon cas. »
    Tout d’abord, je pense que c’est lié au fait qu’une brebis doit être prête à donner sa laine.
    Proverbes 11:25 dit : « L’âme généreuse sera comblée, celui qui arrose sera lui-même arrosé. »
    Mais juste après « Je ne manquerai de rien », nous lisons ceci au verset 2 : « Il me dirige près d’une eau paisible. »
    Au verset 3 : « Il me conduit dans les sentiers de la justice. »
    Si mes besoins sont satisfaits, c’est seulement parce que je suis ses directives.
    Comment nous dirige-il ? Mêmes métaphores, par la Parole et par l’Esprit.
    « Il me fait prendre du repos dans des pâturages bien verts. » Dieu nous conduit premièrement par sa Parole.
    Deuxièmement, par la prière et par l’Esprit.
    Si la Bible le dit clairement, pas besoin de prier, il suffit de le faire.
    Si nous lisons simplement notre Bible, nous saurons comment régler 90 % des choses qui nous troublent.
    Dieu est très clair sur toutes les situations auxquelles vous serez confrontés dans la vie.
    J’ai déjà raconté cette histoire.
    Un jour, dans les premiers temps de notre église, une jolie jeune femme est venue me voir et elle m’a dit : « Pasteur, j’ai vraiment besoin d’un conseil. »
    Elle m’a dit : « J’ai une liaison avec un homme marié, et il me promet sans cesse de quitter sa femme et ses enfants et d’emménager avec moi, mais il traîne les pieds. Je suis très frustrée et je ne sais pas quoi faire ».
    Je lui ai dit : « OK, arrête ! L’un des dix commandements stipule que tu ne commettras pas d’adultère. Tu pèches contre Dieu. Tu pèches contre toi-même. Tu pèches contre la femme de cet homme et tu pèches contre ses enfants. Arrête !
    La Parole est claire. Pas besoin de prier, pas besoin de conseil. Il suffit d’arrêter. »
    Si la Parole est claire, faites-le.
    Je vous ai déjà raconté ceci également : Janet et moi étions jeunes mariés et nous vivions dans un petit appartement.
    J’étais pasteur adjoint et un homme voulait me voir.
    Il vient à l’appartement, et je lisais ma Bible depuis environ une demi-heure. J’étais assis sur le canapé, et un passage me sautait aux yeux, il me parlait vraiment.
    Il entre et me dit : « Je suis heureux de pouvoir te parler. Voilà ce qui se passe. » Il parle d’un problème qu’il rencontre au travail et de certaines choses qu’on lui fait subir.
    Je lui réponds : « Regarde ce que j’étais justement en train de lire. » Je lui ai donné la Bible et lui ai demandé de lire.
    Il dit : « C’est incroyable ! C’est exactement ce que je viens de te dire ! J’ai même utilisé ce mot-là. C’est exactement ce qui s’est passé. »
    J’ai dit : « Continue à lire. » Il lit encore quelques versets, et il dit : « Hors de question ! »
    J’ai répondu : « Mais c’est ce qu’il dit. Quand cela arrive, c’est comme ça que tu dois réagir. » Il a refusé.
    J’ai dit : « Je n’ai rien d’autre à te proposer. Le Seigneur dit que quand ça arrive, c’est ce qu’il faut faire. »
    Il a fermé la Bible, s’est levé et a dit : « Je n’ai pas fait tout ce chemin pour écouter ça. »
    Il est sorti en claquant la porte et il n’est jamais revenu à l’église après cela.
    Si c’est dans le Livre, faites-le.
    Faites-le.
    Dieu a tellement de choses à dire sur presque tous les sujets, mais il y a des choses qui ne sont peut-être pas clairement abordées dans les Écritures.
    Dans ce cas, priez.
    Il nous guidera par son Esprit.
    Demos Shakarian, fondateur du Full Gospel Business Men’s Fellowship International, était une connaissance.
    Ce n’était pas un ami, car je ne le connaissais pas bien, mais nous avions dîné ensemble et discuté.
    Il était crémier à Downey, en Californie et c’est grâce à lui que la ville de Downey, en Californie a prospéré.
    Il possédait le plus grand troupeau de vaches laitières détenu par des particuliers au monde, ici même à Downey, en Californie – pas seulement en Californie, pas seulement aux États-Unis, mais dans le monde entier.
    Il s’est ensuite lancé dans la vente de viande et de bien d’autres choses, mais il était le plus grand employeur de Downey.
    Le nom Shakarian est toujours vénéré dans cette ville pour tout ce qu’il a apporté et tout ce qu’il a fait.
    Demos était une légende lorsqu’il s’agissait de choisir des taureaux pour l’élevage.
    Chaque fois qu’il achetait un taureau en tant qu’éleveur, il réalisait un grand chelem.
    C’était littéralement une légende dans ce secteur.
    Un homme lui a demandé un jour comment il faisait et Demos lui a répondu : « Il y a quelqu’un qui les choisit pour moi, et il ne se trompe jamais. J’aimerais bien te le présenter. »
    L’homme répond : « Absolument ! »
    Et il pense que ce sera un concurrent, quelqu’un d’une autre crêmerie.
    Ils déjeunent ensemble et l’autre homme attend patiemment que cet homme magique se montre.
    Il dit : « Je pensais que j’allais rencontrer cet homme. » Demos lui répond : « Il est déjà là. Il s’appelle le Saint-Esprit. »
    Il dit : « Je prie, et le Saint-Esprit me guide. »
    Il a prêché Christ à cet homme et je pense qu’il l’a conduit au baptême du Saint-Esprit.
    Jésus a dit en Jean 16 que quand le Saint-Esprit viendra, il nous conduira.
    Il nous conduira dans toute la vérité, il nous annoncera les choses à venir, il prendra les choses du Père et du Fils, et il nous les révélera.
    D’ailleurs, écoutez ce que Jésus a dit en Jean 14:26 :
    « Mais le défenseur, l’Esprit saint que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble pas et ne se laisse pas effrayer. »
    Jésus a lié la venue du Saint-Esprit et sa direction à la paix.
    Il parle de la même chose.
    Le Saint-Esprit viendra et vous enseignera toutes choses et il vous guidera.
    Il a dit : « Je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde donne. Je vous donne ma paix. »
    Le Saint-Esprit nous guide principalement et premièrement par la paix dans notre cœur.
    La Bible dit dans le livre des Proverbes : « Tous ses sentiers sont des sentiers de paix. »
    J’aimerais partager quelque chose.
    Je suis incapable d’exprimer à quel point ce que je vais partager avec vous a été précieux pour moi personnellement.
    La Bible dit en Colossiens 3:15a : « Que la paix de Christ règne dans votre cœur. »
    « Que la paix de Christ règne dans votre cœur. »
    Le mot grec traduit par « règne » était littéralement le mot utilisé pour désigner l’arbitre dans les anciens Jeux olympiques.
    L’arbitre disait : « C’est hors des limites du terrain » ou « Non, c’est toujours en jeu. Vous pouvez continuer. »
    C’est ce que fait l’arbitre : « C’est un strike. C’est dans le terrain. C’est hors jeu. C’était en plein milieu. La balle est en jeu. »
    C’est ce que fait l’arbitre.
    La Bible Classique Amplifiée en anglais fait ressortir la saveur du verset en grec, voici ce qu’elle dit :
    « Que la paix (l’harmonie de l’âme qui vient) de Christ règne (agisse continuellement comme arbitre) dans votre cœur [en décidant et en réglant définitivement toutes les questions qui se posent à votre esprit]. »
    Jésus a dit : « Le consolateur vient. Le défenseur, le Saint-Esprit, vient. Je vous donne ma paix. »
    Il nous guide principalement par la paix. Il est arrivé que le Saint-Esprit me donne des rêves.
    C’est arrivé à de rares occasions.
    Il y a eu quelques fois dans ma vie où il m’a adressé des paroles, et en ce qui me concerne, c’était audible, et je savais que c’était Dieu qui me parlait.
    Mais la plupart du temps, il m’a conduit par la paix.
    Disons que je pense à quelque chose.
    Il est écrit : « Que la paix de Dieu, la paix de Christ, agisse continuellement comme arbitre, en décidant et en réglant définitivement toutes les questions qui se posent à votre esprit. »
    Toutes les questions. « Dois-je investir ici ? Dois-je faire des affaires avec ce type ? Dois-je m’associer avec elle ?
    Mes enfants reviennent de l’université et je ne les reconnais plus. C’est comme s’ils avaient subi un lavage de cerveau. Ce n’est plus mon fils, ce n’est plus ma fille. Que s’est-il passé ?
    Quelles que soient les questions qui se posent à votre esprit, laissez la paix de Dieu agir continuellement comme arbitre, décidant et réglant définitivement toute chose.
    Imaginons que j’ai un problème.
    Je prends mon temps, car, souvenez-vous, il me dirige près d’une eau paisible.
    Je ne fais pas ça en passant, en écoutant la radio devant un feu rouge.
    Ce n’est pas cela.
    Je me repose dans des pâturages bien verts et je prie sincèrement.
    En priant à ce sujet, en me concentrant sur cela, je demande : « Dieu, est-ce que c’est ce que tu me dis de faire ? Dois-je le faire ? »
    Si, dans ces moments de calme, je ressens de la paix en priant, je sais que l’arbitre prend une décision.
    Il y a d’autres moments où je prie et où je me concentre et même si je veux que cela se produise, même si c’est quelque chose que je veux faire, je ne ressens pas de paix.
    Si je n’ai pas de paix, c’est que l’arbitre a pris une décision.
    Une fois que je reconnais la décision de l’arbitre, je fonce et je ne reviens jamais en arrière.
    Je prends les plus grandes décisions de ma vie en fonction de la décision de l’arbitre.
    Tout au long de l’histoire de Cottonwood Church, j’ai pris des décisions qui, dans le naturel, auraient coulé le ministère, en me basant strictement sur la décision de l’arbitre.
    Bien sûr, je reçois des conseils avisés de la part d’autres personnes, je ne prends pas de grandes décisions tout seul.
    D’autres facteurs entrent en ligne de compte.
    C’est le principal moyen par lequel le Saint-Esprit vous guidera et vous parlera, et cela vaut pour chacun des enfants de Dieu.
    Cher ami, Dieu veut que vous soyez aussi conduit par l’Esprit, dans votre famille, dans votre entreprise et dans votre ministère.
    Je suis appelé au ministère de l’Évangile, je suis prédicateur, et je pense personnellement qu’être pasteur ou être appelé au ministère et ne pas savoir comment être conduit par l’Esprit doit être l’appel ou la vocation la plus frustrante qui soit au monde.
    Le ministère serait extrêmement difficile si l’on ne savait pas comment être guidé par le Saint-Esprit.
    C’est pour tous les enfants de Dieu.
    Mon ami, il veut vous guider.
    Bien sûr, en premier lieu, il nous guide par sa Parole, qui est notre autorité finale pour toutes les questions de conscience et de vie.
    Mais certaines questions ne sont peut-être pas explicitées directement dans la Bible.
    Un principe peut s’appliquer, mais est-ce que vous déménagez ici ? Faut-il mettre fin à une relation avec cette personne ? Comment dois-je faire ceci ou cela ?
    Le Saint-Esprit a été envoyé pour nous guider, et vous pouvez vous laisser guider par lui.

  • Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

    1. Bonjour pasteur nous sommes sauvé par la prédication très riche.Nous sommes les moutons du seigneur Jésus Christ que le seigneur Jésus Christ nous donnent un coeur de donner pour aider Aux besoins de l’église
      Que le seigneur nous donne du repos en Méditant sa parole et être guider par le Saint-Esprit notre consolateur.

Avez-vous aimé l’émission ?

Alors n’hésitez pas à la partager sur les médias sociaux pour encourager les autres !

Cela pourrait aussi vous intéresser
Émission de la semaine

Intrépide et saint : les clefs pour une vie d’impact – Harrison Conley

Soutenez notre travail

Joignez-vous à nous pour apporter de l’espoir aux gens à domicile !

Nous considérons que c'est un privilège de pouvoir apporter aux personnes une nouvelle espérance à travers la Parole de Dieu.